Mr Lambert aimait particulièrement ce rayon que l’on parcourut plusieurs fois, dans chaque sens. Toujours de nouvelles clientes. Il aimait beaucoup se frotter contre les fesses de celles-ci. Quand elles voyaient qu’il était aveugle, elles acceptaient tout ce qu’il faisait, presque tout. Certaines même s’en amusaient, frottant elles-mêmes leurs grosses fesses contre sa queue qui grossissait à vue d’œil. Il les prenait alors par la taille et il en profitait pleinement. Parmi toutes les clientes, je remarquais tout de même une vendeuse du rayon qui tentait de remettre en place ce que les clientes déplaçaient. Avait-elle remarqué le manège de Mr Lambert ? Elle s’est volontairement placée sur sa route, il a posé sa main sur sa hanche, puis est remonté jusqu’à sa poitrine. Je l’ai vue soupirer d’aise avant de se dégager de son étreinte.
Carole. C’était le prénom inscrit sur son badge, accroché à sa blouse. Elle resta dans le rayon et Mr Lambert l’a sûrement reconnue, à son parfum capiteux, lorsqu’il est repassé près d’elle. Ce sont ses grosses fesses qu’il s’est mis à caresser. Elle devait bien savoir que c’était le même homme, elle s’est pourtant retournée. J’ai vu la main de Mr Lambert disparaître entre les pans de la blouse. Elle a ouvert la bouche en grand pour … Mais il avait déjà atteint son but et elle a juste essayé de retrouver une attitude digne au milieu des clientes qui ne s’occupaient absolument pas d’eux. Tout juste s’ils étaient légèrement bousculés lorsque qu’une cliente trouvait enfin ce qu’elle cherchait depuis une heure. Je suis certaine qu’elle a joui sous ses doigts experts.
Il a porté ses doigts à sa bouche pour les lécher, et elle le regardait faire, imaginant ce qu’il pourrait faire d’autre avec cette langue. Elle s’est éloignée un peu, avant de se retourner vers lui, comme si elle lui faisait signe de la suivre. Elle fit encore quelques pas et sembla déçue qu’il n’ait pas bougé. J’expliquais à l’oreille de mon mentor ce qu’elle attendait de lui. Il posa simplement sa main sur mon épaule et se laissa guider vers les réserves du magasin. C’est là qu’elle nous demanda de la suivre. Elle a semblé un peu ennuyée que je sois là mais acceptait le défi. Elle nous entraîna dans un coin où il n’y avait aucun passage. Nous serions tranquilles. Elle revint se coller contre Mr Lambert, face à lui, et il retrouva le chemin de son plaisir, entre ses cuisses.
Elle pensait sans doute que j’allais m’éclipser pour les laisser seuls mais je voulais aussi participer. Je suis passée derrière elle, j’ai commencé à caresser ses gros seins avant de dégrafer un à un les boutons de sa blouse. Elle était de nouveau prête à jouir et elle dut s’asseoir sur une palette de cartons. Jambes largement écartées, Mr Lambert avait suivi son mouvement et s’était agenouillé devant elle. C’était maintenant sa bouche qui entrait en action pour le plus grand bonheur de la vendeuse. Je me préoccupais de sa merveilleuse poitrine et je défis le soutien-gorge. Elle faillit jouir de nouveau lorsque ma bouche se referma sur son téton bien érigé. Je tétais l’un de ses seins tout en caressant l’autre, et inversement. Pas de jaloux.
L’odeur caractéristique de son plaisir monta à mes narines. Elle venait de jouir une nouvelle fois. Sa main s’égara sur ma cuisse, remonta sur mes fesses avant de s’engouffrer dans ma culotte. Je me frottais à cette main curieuse et terriblement habile. C’était ma première véritable expérience avec une femme, une vraie furie. Je bloquais sa main pour qu’elle se calme. Je voulais profiter pleinement de cet instant magique. Elle a sûrement compris le message, surtout qu’une nouvelle vague s’apprêtait à la submerger. Elle pénétra mon petit trou au moment de jouir, ce qui me fit un drôle d’effet. C’était la première fois que quelque chose, un doigt, entrait par ici. J’imaginais autre chose, même si Mr Lambert avait promis de n’avoir aucun rapport purement sexuel avec moi. C’était ses règles et je les respectais.
Carole se remettait doucement de ses orgasmes à répétition et, avant de nous raccompagner vers la surface de vente, elle prit son téléphone pour que j’y inscrive mon numéro. Elle tenait absolument à nous revoir, dans d’autres conditions. Nous avons facilement retrouvé maman et mon petit frère dans le même rayon. Nous avons pu finir nos courses et nous sommes rentrés à la maison. Camel nous fit une vraie fête à nôtre retour, il était vrai que l’on sortait très rarement sans lui. J’aidais ma mère à ranger les commissions dans les placards de la cuisine, Camel toujours entre mes jambes, ou celles de ma mère. Elle le repoussait à chaque fois, comme si elle était énervée par son comportement. Jusqu’au moment où il réussit à la surprendre. Il avait glissé sa tête sous sa robe, par devant, et avait atteint son but directement.
Elle s’apprêtait à le repousser une nouvelle fois quand je lui demandais de le laisser faire, pour cette fois. Elle ne pouvait plus lutter contre cette envie qui la tiraillait de plus en plus souvent. Nous étions seules dans cette cuisine, personne d’autre ne saurait jamais. Elle se laissa convaincre et Camel put tout à loisir lécher le devant de sa culotte. Tout comme Alysson, elle avait écarté les jambes et s’était baissée légèrement. Je savais bien qu’elle ne bougerait pas, c’est pourquoi j’ai pris l’initiative de baisser sa culotte jusqu’à mi-cuisses. Camel redoubla d’intensité dans son léchage et je vis clairement le plaisir monter dans les yeux de ma propre mère. Toujours très pudique, elle me remercia avec les yeux pour le bonheur qu’elle venait de ressentir à nouveau.
Camel retourna voir son maître et nous laissa tranquilles pendant que nous préparions le repas. Je rejoignais Mr Lambert dans son bureau quelques minutes avant d’aller dîner et il m’a attirée sur ses genoux. Camel m’avait suivie et j’ai eu moi aussi droit à sa langue infatigable, tandis que mon mentor avait glissé ses mains sous mon tee-shirt et caressait ma poitrine. Le soir, après le repas, j’étais blottie entre eux deux sur le canapé, mon petit frère préférant rester allongé sur le tapis du salon, près de Camel. Le lendemain, c’était dimanche et j’ai rejoint la chambre parentale de bon matin. J’étais entièrement nue sous ma nuisette que j’ai ôtée sous le regard très intéressé de mon mentor.