Il était une fois dans l’Est (02/11)

Je vais laisser Rosalie vous raconter la suite elle-même.

*******

Je m’approchais d’elle, posais mes mains sur ses épaules et lui murmurais que je serais heureuse de partager son lit encore une fois.

« Comme quand j’étais petite et que je faisais des cauchemars » avais-je ajouté.

On passa à table et on monta se coucher aussitôt que la cuisine fut rangée. Pas question de télévision ce soir. J’ai parfaitement reconnu la boite de somnifères sur sa table de nuit. Un verre d’eau à côté. Elle prit justement un comprimé avant de passer par la salle de bains. Elle revint simplement habillée de sa chemise de nuit.

Rien dessous. Je voyais ses gros nichons qui ballotaient de droite et de gauche. J’ai même pu apercevoir, par transparence, sa toison brune sous le léger vêtement. Avant de rentrer dans la salle de bains à mon tour, je la vis reprendre un second comprimé.

« Maman. Ce n’est pas trop ? Tu viens d’en prendre un, juste avant ».

« Mais non. Qu’est-ce que tu racontes ? Je ne suis pas folle, tout de même ».

En revenant dans la pièce, juste en culotte, elle dormait déjà. Je m’allongeais près d’elle et entrepris immédiatement de me caresser. Mais avec sa main, ses doigts. Et pas question d’attendre qu’elle se décide à le faire. J’attrapais sa main et la glissais dans ma culotte. Aussitôt, des doigts se remirent en action.

Je profitais pleinement de cette caresse sublime, tout en me demandant comment elle avait pu apprendre aussi vite les gestes qui me faisaient vibrer. J’imaginais alors qu’elle avait, comme moi, connu ses premiers émois avec une amie, au collège ou au lycée. Avait-elle recommencé ensuite ?

Avec le caractère de mon père, excessivement porté sur le sexe, je pense qu’il a certainement dû organiser une partie à trois. Et souvent. Avait-elle trouvé une amie de son âge pour continuer, ou recommencer, après son divorce ? Voilà une question que je devrais lui poser. En tous cas, elle était très douée et semblait elle-même y prendre beaucoup de plaisir.

Je ne tardais pas à laisser exploser mon orgasme. Mais je n’étais pas rassasiée, il m’en fallait plus encore. Il faisait chaud, et orageux. Une chaleur étouffante. Maman avait repoussé la couette jusqu’au pied du lit, si bien que seuls ses pieds étaient recouverts. Je voyais ses cuisses, légèrement écartées, sa chemise de nuit qui me cachait encore ses fesses.

Pas pour longtemps. Sous l’emprise des médicaments, elle était totalement à ma merci. Je pouvais faire ce qui me passait par la tête et j’avais des tas d’idées, toutes plus saugrenues les unes que les autres. En attendant d’expérimenter mes fantasmes, le vêtement ne cachait plus qu’une partie de son dos. Je pelotais avec délices ses fesses ainsi offertes.

Je finis par me lever et me glisser entre ses cuisses. L’une d’elles s’écarta comme par magie, me faisant ainsi découvrir son jardin secret. Il semblait très fourni, ce buisson charmant. Et luisant du plaisir qu’elle devait commencer à ressentir. À propos de sentir, mes narines étaient comblées.

Je soufflais doucement sur ce petit trou et les quelques poils autour commencèrent à la faire réagir. Tant et si bien qu’elle se retourna entièrement. Je découvrais enfin l’endroit dont j’étais sortie il y a quelques années. Je continuais à souffler doucement pour voir les jambes s’ouvrir progressivement.

Puis, ce fut au tour de sa fleur qui commença à éclore. Les lèvres intimes s’entrouvraient et laissaient suinter ce magnifique parfum qui m’enivrait déjà. Je plongeais amoureusement à la rencontre de cette féminité qui m’accueillit par des soupirs de bien-être. Elle aimait que l’on s’occupe de son corps, au moins autant qu’elle aimait s’occuper du corps des autres. Des autres femmes. Je ne pense pas qu’elle agirait ainsi avec un homme.

Je remontais sur le lit pour bouffer sa chatte avidement. Dans son sommeil, elle trouva les ressources pour se positionner en-dessous de moi et c’est en 69 que nous avons joui ensemble pour la première fois. Je me suis endormie tout de suite après. Mais la nuit n’a pas été calme pour autant. Dès que je me réveillais, près de ce corps si désirable, tellement désiré, je la caressais encore et toujours pour l’amener à l’extase finale.

J’avais fini par ôter ma culotte et il m’est arrivé plusieurs fois de me réveiller avec sa main entre mes cuisses. Je laissais alors ses doigts expérimentés m’amener au paradis, j’en profitais juste pour caresser mes seins. C’est d’ailleurs pendant qu’elle me doigtait savamment qu’elle se réveilla. Et moi, sournoisement, je faisais semblant de dormir.

Elle a hésité un instant mais voyant mon état, et croyant que je dormais profondément, elle reprit sa caresse sublime jusqu’à ce que j’explose de nouveau entre ses doigts. Il n’était plus question de faire semblant. Je la remerciais d’un regard langoureux.

« Oh maman. C’est si bon quand c’est toi qui me le fais. Tu veux bien continuer ? »

 » Mais ma chérie. C’est impossible. Je suis ta mère, tout de même, pas ta copine. Entre mère et fille, cela ne se fait pas. C’est interdit. Et d’ailleurs, peux-tu m’expliquer pourquoi je suis toute nue ?  »

 » …  »

Sans réponse de ma part, (est-ce qu’elle en attendait vraiment une ?) Elle se leva pour aller se laver. Je la suivais de près dans la salle de bains et tentais une dernière fois.

« Maman, je peux me laver avec toi ? Ou toi, tu peux me laver ? Tu sais, comme il y a deux ans, avec mon bras cassé. Tu me lavais, m’habillais et même aux toilettes, j’avais besoin de toi. Tu te rappelles ? »

Bien sûr qu’elle se souvenait parfaitement de mon accident de sport qui l’avait obligée à me materner comme un bébé pendant 6 semaines. Je l’aurais laissé faire beaucoup plus longtemps si cela avait été possible.

Lentement, elle s’écarta pour me laisser entrer dans la douche avec elle et, quand je lui tendis le flacon de gel douche, elle le saisit, s’aspergea les mains et commença à me caresser le corps. Ma poitrine d’abord, puis mon ventre, puis encore plus bas. Je dis bien « caresses », car cela n’avait rien à voir avec un lavage en bonne et due forme.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *