Mars 2015 (04/10)

Delphine m’avoua à voix basse qu’elle n’aurait jamais osé se proposer. Je lui affirmais que si je lui demandais de se mettre nue devant toutes les femmes, elle le ferait. Elle rougit en baissant les yeux, sans me répondre. Les participantes arrivant peu à peu, on s’installa toutes dans la grande salle, Delphine et moi un peu à l’écart, nous n’étions pas des acheteuses potentielles. Jenny commença à présenter différentes crèmes de jour et masques de beauté, des parfums. Enfin, tout ce que l’on trouve dans un salon de beauté, où elle avait travaillé comme vendeuse. Elle connaissait parfaitement les produits qu’elle présentait pour être les meilleurs de la gamme. Chaque participante avait un dépliant qui servait de bon de commande où elles notaient les quantités qu’elles souhaitaient devant les produits qui les intéressaient. La présentation des produits de beauté était terminée. Cela allait être à moi d’entrer en piste. Jenny annonça à toutes que le mannequin pour présenter les dessous sexy n’avait pas pu venir. Déception unanime. Mais que j’avais accepté de la remplacer au pied levé, mais que par contre, c’était ma première fois et qu’il fallait être indulgentes, et m’encourager. Toutes les participantes applaudirent en même temps. La cliente m’emmena dans une pièce toute proche pour me changer. Delphine me suivit. Je me mettais nue rapidement pour passer le premier modèle quand j’entendis la cliente, dans l’embrasure de la porte.

« Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à demander. Appelez-moi Michelle.  »

Je me tournais face à elle et je lui demandais un verre d’eau. Elle resta un instant bloquée sur la vision de mon corps nu. Puis elle réagit enfin et m’apporta un plateau avec le verre demandé et une bouteille d’eau de source. Je sentais qu’elle avait du mal a quitté son regard de mon corps.

« Je suis prête. Vous pouvez annoncer le premier modèle ?  »

Elle leva les yeux vers moi, me sourit et sortit pour rejoindre les autres. Mon entrée fit sensation. Je défilais entre les participantes qui pouvaient voir de près l’ensemble que je portais, en apprécier la forme, le tissu, et l’effet qu’il ferait sur elles. En passant devant Michelle, elle demanda à Jenny si elle pouvait toucher, pour apprécier la texture du tissu. Jenny accepta, à condition que cela ne me gêne pas. Aucun problème pour moi. Michelle toucha le tissu de la culotte, le pinçant entre ses doigts. Le pouce à l’extérieur et les autres doigts sous la culotte. Elle effleurait ainsi impunément mon intimité. Je la regardais droit dans les yeux pour lui faire comprendre que j’acceptais, d’un sourire. Toutes les autres participantes voulurent également que je repasse devant elles pour toucher également. Uniquement le tissu, cette fois. Jenny, quant à elle, présentait le modèle, en expliquant les avantages et répondant à toutes les questions. J’allais enfiler le second modèle avec l’aide de Delphine. Elle aussi semblait très excitée, mais elle restait professionnelle. Et le défilé continua ainsi. Toutes osaient me toucher maintenant, posant une main sur ma fesse pour me faire tourner devant elles. Michelle était la plus entreprenante, et je lui montrais bien que ce n’était pas pour me déplaire. L’ambiance devenait de plus en plus chaude, dans la grande salle et dans la petite pièce. Je voyais dans le regard de Delphine son envie de participer elle aussi. Avant de présenter ce nouveau modèle, je lui ordonnais de lever sa jupe, très haut. Je m’approchais d’elle comme une chatte s’approche de la souris qu’elle va croquer. Elle fondait littéralement, sa culotte en témoignait. Je me baissais pour lui ôter ce dernier rempart.

Plus le temps passait, et plus les mains devenaient baladeuses. Et je ne m’en plaignais aucunement. Une jeune fille, d’à peine vingt ans, accompagnait une femme plus âgée, sa mère ou sa future belle-mère, je ne sus pas trop. Elle se leva et se mit face à moi, très près. Elle me pelota carrément les seins, pinçant les tétons qui réagirent aussitôt. Elle se mordait la lèvre inférieure en me regardant essayer de garder mon calme. Une autre, plus âgée et certainement mère de famille, posa sa main sur mes fesses tout en posant une question à Jenny. Elle écouta la réponse et en discutait avec ses amies, tandis que sa main me caressait les fesses. Personne n’y faisant attention, elle insinua un doigt sous le tissu pour titiller mon anus. La salope savait s’y prendre. Elle m’amena aux portes de l’orgasme. De retour dans la petite pièce, je « forçais » Delphine à se mettre à genoux et à me soulager. Je dis « forcer », mais je n’ai pas eu besoin de beaucoup insister. Elle en avait envie autant que moi. Michelle entra pour voir si tout se passait bien. Elle resta bête en nous voyant. Je lui fis signe d’approcher et lui roulais une pelle dès qu’elle fut à portée. Elle s’abandonna au plaisir, une main sur ma fesse, tandis que je pelotais ses grosses miches. Je jouis la première cette fois, intensément. Delphine resta en position mais changea de partenaire. Michelle ne résista même pas, trop heureuse de se faire bouffer à son tour. Je la sentis jouir très fort. Arriva enfin la présentation du dernier modèle. Un ensemble string soutif en lycra, blanc, orné de plumes blanches aussi, accompagné d’un déshabillé transparent. Jenny le présenta ainsi.

« Voici notre dernier modèle pour aujourd’hui. Nous avons parmi nous, je crois, une future mariée. Ce modèle s’appelle « Nuit de Noces ». Je vous laisse l’apprécier vous-même.  »

J’entrais à ce moment sous les applaudissements. La future mariée se mit à rougir en s’imaginant se présenter ainsi devant son homme. Presque sûre qu’elle mouillait à ce moment précis. Toutes les femmes voulurent toucher encore une fois, et l’ensemble, et mon corps. Je frissonnais sous leurs doigts, parfois coquins. Ce fut le moment de faire une pause dans la présentation. J’étais si bien que je décidais de garder cet ensemble sur moi encore un peu. Il faisait de moi une ingénue, une oie blanche que je ne suis plus depuis très longtemps. Toutes les participantes avaient noté sur le dépliant, les modèles qui les intéressaient, avec leurs tailles. Une femme, sans doute la plus âgée, entraina Jenny à l’écart pour lui demander quelque chose de particulier. Jenny m’en parla que beaucoup plus tard.

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