J’avais gardé ma main en elle et je la sentais vibrer sous mes caresses internes. Elle réussit à se retourner pour se retrouver, allongée sur le dos, m’offrant à nouveau ses tétines délicieuses. Comment résister à l’appel de ses seins si majestueux ? Je gardais ma main bien au chaud au plus profond de son intimité et je tétais amoureusement ses grosses tétines. J’étais véritablement au paradis. Puis, c’est son clito que j’aspirais, comme une petite bite, et je l’emmenais une fois de plus au septième ciel. Une femme qui vient de jouir, c’est vraiment beau. Au-delà de son corps, jeune ou vieux, décharné ou bien en chair, le visage resplendit de sérénité intérieure. Je m’étais écartée pour l’observer. Elle tendit les mains vers moi pour que je la rejoigne. Sans un mot, elle m’attira au-dessus de sa bouche. Soumise jusqu’au bout, elle voulait me donner du plaisir à son tour. J’acceptais, bien évidemment. Elle écarta le string et elle entreprit un magnifique cunni. J’ai la chance d’avoir connu de merveilleuses suceuses, comme Henriette, mais Jacqueline était vraiment impressionnante. Jamais je n’avais joui aussi rapidement sous une caresse buccale. Et elle a continué pour m’offrir un véritable orgasme.
Je l’avais comblée au-delà de ses désirs et elle avait su me rendre la pareille. Je suis retournée la voir souvent chez elle, mais nous en reparlerons plus tard. Je pense l’avoir déjà dit mais pour moi, toutes les femmes sont belles, et méritent mon attention. Certaines me repoussent gentiment, tant pis pour elles. Qu’elles soient grosses ou maigres, jeunes ou vieilles, blanches ou noires, quelles que soient leurs particularités, elles ont toutes, mon attention. Je vous avais déjà parlé de Marla, la jeune black qui s’était refusée à mes caresses. Je l’ai revue plusieurs fois, dans un bus. Je ne me préoccupais pas d’elle, mais elle regardait attentivement ce que je faisais à mes nouvelles proies. Elle a pu se rendre compte à quel point je pouvais leur offrir du plaisir. Un jour, c’est elle-même qui vint se coller à moi, s’offrir en tant que proie. Je n’osais pas la toucher, de peur d’un nouveau refus, ou d’un scandale. Peut-être était-ce un piège pour me confondre ? Toujours est-il que je ne la touchais pas, malgré l’envie qui me taraudait. Une seconde fois, elle s’offrit encore à moi, sans plus de succès. Elle retenta sa chance et j’acceptais enfin de la caresser. Mais très soft. Je voulais lui faire payer son premier refus. Mais gentiment. Le bus allait stopper près d’un parc. Je lui soufflais à l’oreille.
« Si tu en veux plus, descends et suis-moi. »
Elle n’hésita pas une seconde et elle descendit du bus, me suivant de près. Je stoppais net en entrant dans le parc, la laissant me rejoindre. Je pris sa main dans la mienne et nous avons commencé à discuter. C’est là qu’elle m’apprit qu’elle s’appelait Marla, qu’elle avait 25 ans et qu’elle travaillait pour une administration départementale. Elle m’avoua ce que je savais déjà, à savoir qu’elle avait très longtemps regretté son attitude à notre première rencontre, et elle ignorait encore à ce moment-là si nous nous reverrions un jour. Je serrais sa main à ce moment et je la rapprochais de son entrejambe. Le dos de ma main frottait sur son mont de Vénus et elle ne faisait rien pour m’en empêcher. Je lâchais sa main et je retournais la mienne pour commencer à la doigter. Immédiatement, elle ramena son grand sac devant elle pour cacher à tout le monde le plaisir que je sentais grandir en elle. Je ne souhaitais pas la voir jouir tout de suite, mais la maintenir dans un état d’excitation extrême. Quand je décollais ma main, elle avançait plus vite pour retrouver le contact de ma paume, de mes doigts. Je savais pertinemment qu’elle était totalement à ma merci. Je jouais avec elle, avec ses envies. D’ailleurs, si elle m’avait suivie jusqu’ici, c’était uniquement pour satisfaire ses désirs inavoués.
Je connaissais parfaitement ce parc pour y avoir passé des heures quand j’étais lycéenne, puis étudiante. Un endroit en particulier, à l’écart du passage, où l’on pouvait se retrouver, entre amoureux. C’est Charlie qui m’avait fait découvrir cet endroit, mais bien d’autres ensuite m’y ont amenée pour des caresses plus que poussées. Marla ne semblait pas connaître, pas encore. Elle se laissait guider par ma main qui la doigtait continuellement. À une bifurcation, je stoppais pour lui demander.
« Relève ta jupe. Et ne t’inquiète pas, personne ne s’occupe de nous. »
Ce qui était vrai. Son grand sac cachait parfaitement le haut de ses cuisses et elle réussit à relever sa jupe comme je lui avais ordonné. Je pouvais maintenant glisser la main dans sa culotte, sur sa touffe. Car oui, elle était poilue. Cela me changeait des jeunes filles imberbes. Je l’entrainais dans un chemin reculé, puis derrière un ensemble d’arbustes où se cachait l’entrée secrète. Une fois à l’intérieur, personne ne pouvait nous surprendre mais nous pouvions les voir, les entendre. Dernière consigne.
« À partir de maintenant, plus un mot. Tu fais simplement ce que je te dis, ou bien tu pars immédiatement. »
Juste un signe de tête pour dire qu’elle avait compris. Son sac et sa veste déposés au sol, elle était à ma merci. Je lui passais les bras dans le dos, chacune de ses mains tenant un coude, avec ordre de garder la position. Je pouvais donc, à ma guise, caresser ses fesses, ses seins et même sa chatte. Elle avait écarté les pieds pour se maintenir en position. Je commençais par relever son tee-shirt que je passais par-dessus la tête. Ainsi, elle projetait sa poitrine en avant pour mieux l’offrir. Ses mamelons étaient déjà gonflés, en attente des caresses qui ne tarderaient pas. Le soutif s’ouvrait par devant, ce qui est bien pratique parfois. Elle était maintenant torse nu, sa magnifique poitrine exposée. Je tétais amoureusement ses seins et elle commença à gémir doucement. D’un signe, je lui fis comprendre de rester silencieuse, pour ne pas nous faire repérer. N’importe qui pourrait nous trouver, en se fiant au bruit. Tout en tétant ses seins magnifiques, je caressais ses fesses, tendues à souhait.
J’aime toutes les femmes, mais je préfère celles qui ont des formes, des volumes. Je roulais sa jupe dans la ceinture pour qu’elle reste relevée, derrière et devant. Juste un petit gémissement craintif quand je baissais sa culotte. La voilà pratiquement nue, au milieu des bois, attendant mon bon vouloir pour l’amener enfin au septième ciel. Je commençais à la doigter, par devant, et par derrière. Quand les gémissements s’amplifièrent, je posais enfin mes lèvres sur les siennes pour un tendre baiser. Elle fondait littéralement sous mes caresses et elle ne tarda pas à jouir une première fois. Mais moi, je continuais encore et toujours.