Émeline soumise (09/12)

Cela avait certainement dû renforcer sa vigueur et sa queue se promenait désormais dans la raie culière. Le gland pointa évidemment vers l’anus, sans jamais le pénétrer. Mais Céline avait compris ce qu’il voulait, ce qu’il souhaitait. Elle n’était pas encore sûre de vouloir lui faire ce présent mais elle n’était pas forcément contre. Elle sentait cette queue monstrueuse qui frémissait tout près de son trou du cul. Puis soudain, l’explosion. Un flot de sperme inonda son cul, son petit trou. Et le bas de ses reins. Elle avait cessé depuis plusieurs minutes de me lécher, c’est pourquoi je me retournais pour voir son dos, ses fesses maculés de bonne semence. Il fallait nettoyer tout ça et je le fis avec ma langue. Je nettoyais le dos, les fesses et sa chatte aussi un peu. Et je n’oubliais pas de lécher également la queue devenue flasque de mon amant et ami. C’est Florence, venue frapper à la porte de la chambre qui mit fin aux ébats amoureux. Elle nous avait préparé un goûter et nous attendait en bas. Je suppose qu’elle avait certainement dû m’entendre crier et se doutait bien évidemment de ce que nous faisions ici, ensemble. Katia, ma mère, ne se serait sûrement pas gênée pour entrer dans la pièce pour vérifier, surtout si c’était moi qu’elle avait entendu hurler. Florence, elle, restait discrète et je préférais qu’elle ne me voie pas entièrement nue. Seule Océane était restée habillée. Nous avons remis nos vêtements avant de descendre dans la cuisine où on nous attendait. J’étais assise face à Océane, JR à mes côtés et donc Céline près de son amie. Florence faisait le service, debout, tournant autour de la table.

Je ne suis pas sûre, mais j’ai cru voir la main d’Océane frôler les fesses de Florence. Et elle n’a rien dit, même pas esquissé un recul. La voilà qui recommence. Et elle garde sa main sur les fesses offertes. Je suis sidérée de voir cette femme mûre se laisser faire ainsi. Devant témoins. Enfin, Céline et JR ne pouvaient pas voir ce qui se passait. Mais moi, j’étais aux premières loges. J’ai vu clairement la petite main disparaître sous la jupe, tandis que Florence écartait négligemment les pieds, pour se maintenir droite. Je regardais le visage de la maman de Céline qui, elle, n’osait pas regarder dans ma direction. Puis, je regardais Océane qui semblait amusée de me voir si étonnée. La conversation tournait autour des critères de la beauté féminine et, justement, nous avions un garçon pour nous donner son avis. Il essayait de rester vague pour ne froisser personne car surtout, il ne comprenait où Océane voulait en venir. Elle nous demanda soudain à tous, comment nous trouvions notre hôtesse, Florence. Céline était hors-jeu puisque c’était sa maman. Je m’empressais de dire que je la trouvais très jolie, très bcbg, bien comme il faut. JR hésitait encore lorsqu’Océane lui posa une question directe, qui demandait une réponse claire et précise.

« Florence m’a dit un jour qu’elle trouvait son cul un peu trop gros. Qu’en penses-tu, JR ?  »

Il était bien embêté pour répondre. Il est vrai qu’il était un peu gros, plus gros que les nôtres, oui. Mais pour son âge, je la trouvais bien proportionnée. Vu qu’il ne répondait pas, Océane lui demanda de s’approcher pour mieux l’observer. Il hésita un instant puis se leva quand Florence se tourna vers lui, exposant son derrière. JR essayait de baragouiner un vague compliment lorsque, de nouveau, Océane intervint.

« Oui, tu as raison. Difficile de se faire une idée exacte. Florence, veux-tu remonter ta jupe jusqu’à la taille que l’on puisse t’admirer ?  »

J’étais habituée avec Océane qui aimait donner des ordres, mais jamais je n’aurais imaginé que Florence s’exécuterait. Avec pourtant un peu de réticence, elle releva sa jupe jusqu’à sa taille, offrant à la vue de JR son cul et sa culotte. Le jeune garçon resta sans voix, admirant le spectacle. Océane n’en avait pas fini.

« C’est vrai qu’on voit mieux mais il faudrait baisser cette culotte. Émeline, mets-toi à genoux devant elle. Tu vas glisser tes mains sous sa jupe pour ôter sa petite culotte.  »

Évidemment que je m’exécutais immédiatement. Malgré Florence qui faisait non, non, non de la tête, je glissais mes mains sous sa jupe, j’attrapais sa culotte que je tirais vers le bas. Je lui fis lever un pied, puis l’autre afin de dégager ses chevilles. JR pouvait admirer ce cul dans toute sa splendeur. Et il put affirmer avec beaucoup de convictions que jamais, il n’avait vu un cul aussi beau. Florence frissonna lorsqu’il posa ses mains sur les rotondités mais elle n’eut aucun mouvement de recul. Par contre, elle me fixait, droit dans les yeux, dans l’attente de ce que j’allais faire ou, pour le dire plus précisément, dans l’attente de ce qu’Océane allait me demander de faire. Moi, je restais là, à genoux devant elle, mes mains toujours posées sur ses mollets. Océane me regarda fixement, puis se tourna vers Florence. Avec beaucoup de délicatesse, elle releva la jupe jusqu’au-dessus de ma tête, pour la laisser retomber sur mes épaules. J’étais désormais sous la jupe, le visage à portée de son intimité. Je n’avais pas d’autre choix que de lécher cette chatte si gentiment offerte. Un peu réticente au début, Florence finit par poser ses mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements. Moi, j’étais aux anges. Je dégustais enfin une femme, une vraie. J’entendis un téléphone sonner mais ce n’était pas le mien, donc je continuais de lécher cette fente délicieuse. Je me retrouvais soudain dans la pénombre. La jupe qui était restée relevée derrière venait de descendre. Je me concentrais uniquement sur ce que je devais faire. Je voulais qu’elle jouisse dans ma bouche.

C’est Florence. Je reprends là le récit pour préciser ce qui se passait pendant qu’Émeline me léchait admirablement. Il est vrai que j’aurais préféré que ce soit Céline ou mieux, Océane. Mais ma Maîtresse avait décidé. Même JR aurait pu me donner du plaisir. J’étais toujours en colère contre Émeline, mais beaucoup moins que lorsqu’elle est arrivée chez moi en début d’après-midi. C’était la première fois que Céline ramenait un garçon à la maison, même pour des révisions ou des travaux de groupe. J’avais bien entendu été intriguée et, comme toutes les mères, il me fallait savoir ce qui se passait dans cette chambre. Après la stupeur passée d’avoir revu Émeline, je suis montée sans bruit près de la porte de la chambre.

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