Seulement pour le dos, elle ne pouvait pas le faire elle-même. Et c’est Dany qui lui massa le dos avec la crème solaire. Les deux jeunes filles se protégèrent l’une l’autre sous les yeux de Robert qui n’en perdait pas une miette. Le reste de l’après-midi se passa beaucoup plus calmement. Pour moi. Dany est rentré chez lui aussitôt en partant de chez Robert. Melody monta en voiture, les deux filles derrière, je dis au revoir à Robert et il put, une dernière fois, caresser mes fesses. Dans sa tête, il devait imaginer de nouveaux scénarii, où nous nous retrouvions seuls, lui et moi. Une petite biche apeurée devant le grand méchant loup. Pas si méchant que ça, j’en étais consciente. Il rêva certainement de moi, cette nuit-là. Je savais. J’avais décidé que Dany serait mon premier. Mais, si je devais choisir un homme adulte ensuite, pour profiter de son expérience, ce serait sûrement Robert que je choisirais. Ou bien un de mes professeurs. Dans la voiture, Flora demanda si Clara pouvait rester dormir avec elle, ce soir. Melody devait avoir l’assentiment de ses parents. Elle s’arrêta devant la maison et descendit avec Clara. Je restais seule avec Flora. Perdue dans mes pensées, j’écoutais ma musique. J’ai été surprise, en arrivant à la maison, de voir Clara descendre avec Flora. Elles sont allées directement dans la chambre de Flora et j’aidais Melody à préparer le repas du soir. La journée avait été pleine d’émotions et j’allais me coucher tôt. Melody et les filles restèrent devant la télé. J’étais déjà dans un demi-sommeil lorsque j’entendis une sorte de conciliabule, tout près de la porte de la chambre. En écoutant mieux, je me serais rendue compte que cela venait de ma chambre. Des bruits de tissus froissés, encore des rires étouffés. Un long silence et je sentis soudainement une présence près de moi. Dans le lit. Je pensais à Robert à ce moment-là et je craignais que ce fût lui qui s’était introduit dans ma chambre. Je me tournais pour allumer la lumière lorsque Flora s’allongea à son tour près de moi, m’empêchant d’allumer. Clara, derrière moi, avait profité de mon mouvement pour relever ma chemise de nuit. Comme je me rallongeais sur le dos, Flora tira de son côté et je fus presque nue, entièrement à leur disposition.
Elles voulaient jouer avec moi, avec mon corps. Et je ne trouvais aucune raison pour leur demander d’arrêter. Sûrement que j’en avais autant envie qu’elles. Elles repartiraient dans la chambre de Flora, lorsqu’elles auront obtenu ce qu’elles désiraient et je pourrais dormir sereinement ensuite. Chacune tétait le sein à sa portée. J’étais si bien que je ronronnais presque comme une chatte en chaleur. Mais Clara était très intéressée par le bas de mon corps. Elle glissa doucement vers mon ventre, mon nombril. Mon pubis. Elle dégagea ma culotte et je l’aidais tant bien que mal à ôter mon dernier rempart. Soulevant une fesse, puis l’autre, j’étais totalement nue sur mon lit, sous les yeux brillants de désir d’une Clara de plus en plus perverse. J’ai appris, beaucoup plus tard, que c’est Flora qui lui avait raconté comment Dany m’avait léchée. Et combien j’avais adoré. Clara n’avait pas eu de mal à trouver une adulte pour sa première expérience. Et elle avait pu voir à quel point cette caresse buccale pouvait être efficace. Elle avait aussi essayé avec Flora, mais sans grand effet. J’étais donc la deuxième personne à subir cette caresse maléfique. Mais terriblement efficace. Elle avait déposé de petits baisers à l’intérieur de mes cuisses en remontant vers le haut. Elle avait ensuite déniché mon clito qui n’avait jamais été à pareille fête. Et comme je commençais à mouiller, sa langue a commencé à écarter mes grandes lèvres, pénétrant dans mon intimité. Elle me léchait terriblement bien et je pouvais croire que Dany lui avait tout appris. Ce qui était faux, évidemment. Cela a duré très longtemps et je crois bien que je me suis assoupie un moment. J’émergeais pour retrouver Flora, entièrement nue, allongée sur moi. Et Clara toujours entre mes cuisses. Et celles de Flora, par le fait. Elle me léchait souvent, mais devait en faire de même pour Flora, de temps en temps. Un peu plus tard, c’est les petites fesses de Flora que je voyais face à moi. Clara était en train de lui enseigner comment me donner du plaisir.
Et je suis certaine que, parfois, c’était bien la bouche de Flora qui se collait à ma vulve. Je dus m’endormir encore une fois. Combien de temps ? Impossible à dire. Il faisait nuit noire dehors. Ma chambre était juste éclairée par les rayons de la pleine lune qui passaient par les ouvertures de mon volet roulant. Cette fois-ci, c’était clairement Flora entre mes cuisses. Et Clara au-dessus de moi. Elle était nue également et sa fente de jeune fille à quelques centimètres de ma bouche. Assise sur mon buste, ses mains derrière elle, près de ses fesses, elle pinçait mes tétons pour me réveiller. Je faisais toujours semblant de dormir. Elle se mit à frotter sa fente sur mon visage. Sur ma bouche. Mon nez venait parfois de frotter à son clitoris, lui arrachant des plaintes de plus en plus explicites. Cette petite chipie avait réveillé ma libido, j’avais terriblement envie de sortir ma langue pour goûter enfin à son jus d’amour. Elle se frotta un peu plus fort et je fus incapable de résister plus longtemps. Elle avait parfaitement senti la différence. Entre une personne inerte, et une femme réveillée. Elle resta un moment sans bouger, laissant ma langue parcourir les replis de son intimité. Puis, elle prit mes mains qu’elle remonta jusqu’à ses seins. Ils n’étaient pas très gros encore, mais excessivement sensibles. Elle avait lâché mes mains et je continuais à peloter ses deux protubérances. J’étais parfaitement réveillée désormais et ma bouche entra en action. Je suçais, léchais, aspirais son bouton d’amour. Et elle se pâmait au-dessus de moi. Elle commençait à mouiller abondamment et je récoltais sa sève. Mon excitation était à son comble lorsque Flora réussit enfin à me faire atteindre le nirvana.