Mars 2015 (03/10)

Elle sursauta elle aussi. Puis elle chercha à renouveler ce contact. Doucement, elle glissait de son fauteuil qui roula derrière elle. La voilà sur la moquette et moi qui la couvrait. Chatte contre chatte. On réussit cette fois à jouir toutes les deux, ensemble. Je me plaçais en 69 pour finir de récolter son nectar fabuleux. Jamais je n’aurais imaginé qu’elle aussi se mettrait à me lécher amoureusement. Elle devinait tout ce qu’il fallait faire pour me combler. Elle répétait les caresses que ma langue lui offrait. Pour une première fois, elle avait vraiment du potentiel. Je retrouvais ensuite sa bouche pour un tendre partage. Difficile de dire combien de temps nous sommes restées à nous cajoler, toujours est-il que dehors, le ciel s’assombrissait. Je l’aidais à se relever, réajustais sa jupe. Je récupérais sa jolie culotte pour la lui remettre. Un dernier bisou sur son clito pour lui dire « À bientôt ». Je l’aidais à remettre son soutif avant de rabaisser son t-shirt. De nouveau présentable. Elle comme moi. On échangea nos téléphones en se promettant de se revoir très vite. C’est là qu’elle me précisa qu’elle fêtait son anniversaire en fin de mois. Je rejoignais Delphine qui finissait sa semaine. On passa voir Dany pour l’avertir que l’on dinait ensemble ce soir. On s’occupait de tout préparer. Je prévenais aussi Corinne que je ne rentrais pas de suite.

Sachant qu’elle finissait plus tôt que Dany le samedi, Delphine avait pris sa voiture. C’est donc elle qui me raccompagna chez elle. En roulant, sa robe remontait, découvrant ses cuisses et ses lèvres luisantes. Même si j’avais encore envie d’elle, je restais sérieuse. Elle me proposa un thé et je lui expliquais comment je voyais son avenir. J’avais pris tous les renseignements auprès de Roselyne et de Jenny et je tentais d’expliquer à Delphine ce qu’était une VDI. Les avantages et les inconvénients. Je la sentais vraiment intéressée mais elle aurait voulu assister à une réunion pour se faire une idée plus précise. Je téléphonais de suite à Jenny qui en avait justement une de prévue le samedi suivant. On prit rendez-vous avec elle pour y assister. Delphine me fit remarquer qu’il devait falloir des fonds propres pour démarrer une activité. J’y avais pensé, bien sûr, et lui promis qu’elle aurait les fonds nécessaires. Je savais que je pourrais compter sur Geneviève. Puis, on prépara le dîner en attendant Dany. C’est d’ailleurs elle qui me ramena chez Corinne après le repas. Elle me remercia encore de lui avoir permis d’héberger Delphine. Et d’avoir comblé sa solitude. Je rentrais discrètement par le garage et je retrouvais Corinne dans le salon, seule avec Charlène qui lui tétait les seins. Je savais qu’Amélie avait rendez-vous avec Helen et Jacky. J’appris plus tard que Francis était sorti avec ses amis. Charlène était donc restée avec sa mère et, de fil en aiguille, se retrouva la tête sur les genoux en train de téter le sein maternel.

Corinne m’aperçut et me fit signe d’approcher. De plus près, je vis que Charlène avait attrapé la main de Corinne pour la glisser dans son leggings. Je voyais ses doigts s’activer sous le tissu. Je pris place près de Corinne, je finis de dégrafer sa robe, je dégageais son second sein du soutif pour le malaxer à ma guise. Elle me tendit ses lèvres pour un baiser fougueux tandis que ma main s’engouffrait sous sa robe, entre ses cuisses qui s’écartaient. Elle jouit la première, en silence. Charlène cria sa jouissance juste après. Elle se redressa, m’aperçut puis remarqua ma main sous la robe de Corinne. Elle se mit à genoux devant sa mère et souleva la robe, trouva sa fente trempée de mouille et commença à la nettoyer. J’avais maintenant ses deux gros seins, juste pour moi et j’en profitais. Petit à petit, je l’allongeais sur le canapé. J’attrapais Charlène pour la poser en 69 au-dessus de sa mère. Je baissais leggings et string jusqu’aux chevilles. Charlène avait relevé la robe de Corinne et avait replongé sur sa fente baveuse. Et Corinne commença également à lécher sa fille. Je voyais le petit cul de Charlène qui se déhanchait sous les caresses buccales de Corinne. Je doigtais son anus qui frétillait sous mes doigts. Elle eut alors un orgasme très violent qui la laissa au bord de l’évanouissement. Corinne la porta jusqu’à sa chambre et la coucha tendrement. Elle allait redescendre, puis finalement, ôta sa robe et s’allongea près de son bébé. Elle détestait dormir auprès d’un homme bourré et son mari le savait. Il ne la chercha pas en regagnant sa chambre.

Le lendemain, réveillée de bonne heure comme d’habitude, j’allais prendre ma douche. À peine avais-je commencé que Corinne entra et, du regard, me demanda de me rejoindre. Je lui tendis les bras et un sourire illumina son visage. On se lava mutuellement mais vous pensez bien qu’on s’est aussi beaucoup caressées. Cette femme est vraiment divine. Donc, ce samedi-là, Delphine entra pour saluer Corinne et on partit, direction Angers. On arriva chez Jenny à l’heure prévue. En bas de chez elle, je l’appelais comme convenu. On la suivit en voiture jusqu’à un emplacement de parking gratuit. Inutile de payer une journée de stationnement. Elle sortit de sa voiture pour nous saluer et je lui présentais Delphine. Tout de suite, le courant passa entre mes deux amies. Puis, direction le rendez-vous chez la cliente. Delphine, assise à l’arrière, écoutait attentivement tout ce que disait Jenny. Arrivées tôt chez la cliente, elle nous proposa un café, thé pour moi, que nous acceptions. Son mari lui avait laissé la maison pour la journée, il ne tenait pas à se retrouver le seul homme parmi quinze femmes. Seule ombre au tableau, la jeune fille qui devait présenter les modèles de lingerie ne serait pas là. Un empêchement de dernière minute. Je demandais à Jenny.

« Et personne pour la remplacer ?  »

« Non, personne de disponible maintenant. De plus, je n’ai pris qu’une taille et le mannequin doit avoir les bonnes mensurations ».

« Puisqu’on est là pour observer, Delphine ou moi, on pourrait le faire, non ?  »

« Delphine non. Mais toi, tu serais parfaite. Tu ferais ça pour nous ?  »

« Alors, c’est OK, vous avez votre modèle.  »

Tout le monde me remercia. Jenny la première, mais aussi la cliente, qui me regarda d’un œil différent.

 

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