J’ai fait de très belles rencontres dans les transports publics de Nice. Je vous en ai déjà raconté quelques-unes. Celles que j’avais provoquées moi-même. Il y en a eu bien d’autres, certaines plutôt surprenantes. Je prends souvent le bus mais parfois, je ne trouve pas de coquine. C’est le hasard qui décide. Ce jour-là, je rentrais donc déçue de n’avoir trouvé personne. J’avais pourtant fait le tour de la galerie commerciale, mais je rentrais seule. Le bus allait partir quand une femme arriva, avec son chariot à roulettes. Le chauffeur, plutôt sympa, retarda son départ de quelques minutes. Elle monta difficilement et resta debout. Je n’y faisais déjà plus attention quand je sentis qu’elle se collait à moi. J’avançais au maximum, pensant qu’elle avait besoin de place. Mais plus j’avançais, plus elle se collait à moi. J’étais bloquée, comme les proies que j’avais coincées auparavant. Très vite, je sentis sa main sur mes fesses. Elle me pelotait carrément et, je dois dire, j’adorais ça. J’aurais pu la laisser continuer, subir ses caresses. Mais je souhaitais lui faire comprendre que j’étais consentante. Je réussis à me retourner, difficilement, pour me trouver face à elle.
Pensait-elle que j’allais faire un scandale, lui crier dessus ? Je la sentais sur la défensive. À sa grande surprise, j’attrapais entre mes doigts ses deux tétons qui tentaient de percer le tissu de sa robe. Elle tenta de se rebeller, je serrais plus fort. Quand elle comprit que je lui voulais du bien, elle me laissa enfin triturer ses tétons à ma guise. Personne ne s’intéressait à nous et surtout ne pouvait voir ce que je faisais avec ses seins. Je devrais dire, ses mamelles, tellement ils étaient imposants. Je voyais sur son visage le plaisir qui l’envahissait peu à peu. Si j’avais insisté, j’aurais pu la voir jouir debout. Mais je voulais plus. La punir, la soumettre intégralement. Je stoppais net mes caresses mammaires. Elle me regarda, stupéfaite, ne comprenant pas pourquoi j’arrêtais là. Elle tentait encore de se frotter à moi pour prolonger son extase. Puis elle voulut passer sa main sous ma jupe. Je l’arrêtais aussitôt mais c’est ma main qui pénétra sous sa robe. Elle jeta un regard inquiet autour de nous pour s’apercevoir que personne ne nous calculait. Elle se laissa alors emporter par un flot de sensations. Mes doigts avaient trouvé son clito. D’une taille impressionnante. Entre mes doigts, je pensais tenir le sexe d’un petit garçon de trois ans. Je la branlais comme si c’était un petit homme. Elle réussit à murmurer.
« C’est mon arrêt. Je dois descendre ici. »
Je réajustais sa robe pour qu’elle soit présentable et elle demanda l’arrêt. Je voyais bien qu’elle était triste de me quitter ainsi. Mais elle ne savait pas encore que ma décision était prise. Il n’était pas question pour moi non plus d’en rester là. Elle s’approcha de la porte sans un regard vers moi. Le bus stoppa, la porte s’ouvrit. J’intervenais à ce moment précis.
« Laissez-moi vous aider, Madame. Descendez doucement. Je m’occupe de votre caddie. »
Elle tourna la tête vers moi, surprise que quelqu’un veuille l’aider. Elle sourit quand elle s’aperçut que c’était moi, le bon samaritain. Je descendais après elle et je la suivais sans un mot. J’aurais pu lui dire qu’on était à deux rues de chez moi. Mais je gardais ça pour plus tard. Escalier sans ascenseur. Elle habitait au second étage. Je la suivais toujours et, à partir du premier palier, je glissais de nouveau ma main sous sa robe. Elle eut un temps d’arrêt. Puis elle recommença à monter. Plus doucement. Les cuisses écartées. Elle dut s’arrêter à la dernière marche, incapable d’aller plus loin. Elle a joui abondamment sur mes doigts. Deuxième stop devant son appart. Elle fouillait son sac à la recherche de ses clés. J’avais chopé ses deux grosses mamelles entre mes mains pour les peloter à nouveau. Elle était fébrile, ne trouvant pas immédiatement le trou de la serrure. Ce qui m’arrangeait bien. J’aurais bien voulu qu’un voisin, ou une voisine, nous trouve comme ça, collées l’une à l’autre. On entra enfin chez elle. Sur la porte, j’avais pu voir son prénom : Jacqueline. Une fois la porte refermée, je pris les choses en main.
« Chut. Tu ne dis rien, Jacqueline. Pas un mot, ou je repars aussitôt. Voilà. Laisse-toi guider. Tu vas être très obéissante et tu vas jouir comme rarement avant. »
Elle me croyait suffisamment pour ne pas prendre le risque.
« Tu es vraiment grosse, cochonne. Tu as un cul d’enfer. Je n’ai jamais vu un cul aussi gros. De tout près, je veux dire. Le tien est impressionnant. Relève ta robe, que je l’admire. Oh oui ! Magnifique. Au moins le double de moi. »
Elle se laissait manipuler docilement, déjà soumise.
« Quand je dis que tu es grosse, ce n’est nullement une insulte. Juste une vérité. Et j’aime bien ton gros cul, ma cochonne. Alors comme ça, tu dragues les jeunes filles dans les transports publics ? C’est du propre, hihihi. Je dois t’avouer que j’en fais autant. »
Je baisse sa robe à la taille et je l’oblige à se pencher en avant. Les deux mains sur ses genoux. Elle reste comme ça, cul offert et mamelles pendantes. Je dégrafe le soutif pour les libérer totalement. Ça pendouille allègrement sous elle. Dès qu’elle remue un peu, ça ballotte de droite à gauche. J’ai recommencé à la doigter, par derrière. Elle semble vraiment apprécier la situation. Tranquillement, je la guide vers le salon, près du canapé. Elle avait posé ses mains sur l’accoudoir et gardait les cuisses écartées au maximum. J’avais un accès complet à son intimité. J’écartais ses grosses fesses pour trouver son anus. Là aussi, je la doigtais et elle n’était nullement rétive à cette caresse. Elle se pencha un peu plus en avant, ouvrant devant mes yeux une chatte béante. Je rentrais un doigt, puis deux, puis trois. Je la baisais avec une main et je la doigtais de l’autre. Mon petit doigt vint rejoindre les autres. Il me semblait que la main entière pourrait entrer en elle. Elle en demandait toujours plus et je n’avais rien de mieux à lui proposer.
J’ai de petites mains, des mains de pianiste, dit-on. Il me fallut quand même forcer un peu pour pénétrer cette chatte si accueillante. C’était la première fois pour Jacqueline. Jamais elle n’avait dû avaler un si gros membre, réel ou factice. Une fois à l’intérieur, je fermais le poing pour la baiser sauvagement. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle s’écroula sur le canapé quand l’orgasme l’envahit. J’étais moi-même déchaînée, j’avais envie de la voir jouir, encore et encore. Toujours plus, toujours plus fort. Elle jouit une dernière fois, plus fort encore et sembla s’évanouir de plaisir.