Il a léché méthodiquement toutes les sécrétions qui s’échappaient de moi avant de se redresser, fièrement. Le sexe bandé et prêt à me pourfendre. J’étais prête et je n’attendais que son bon vouloir. Il est retourné travailler avec m’avoir faite jouir intensément une nouvelle fois. Je précise de nouveau que tous les rapports se font avec préservatif, sauf évidemment lorsque cela est indiqué spécifiquement. Ce qui est très rare, mais cela aura sûrement son importance, un jour ou l’autre. J’étais comblée comme toujours avec mes trois amants et je suis retournée me blottir sous les draps, près de Fanny. Elle aussi avait des envies inassouvies et j’étais là pour l’aider à passer ce cap. Elle attendait impatiemment la naissance du nouveau-né pour que son mari reprenne enfin son rôle et ses obligations maritales. La libération était prévue début Octobre, ce qui n’était pas si loin. En attendant, j’étais à sa disposition. Elle avait glissé sa main entre mes cuisses pour me réveiller en douceur et, lorsque ce fut fait, elle attira ma tête sur sa poitrine somptueuse. Je la tétais amoureusement, jusqu’à ce que son lait maternel vienne emplir ma bouche. Ma main entre ses cuisses, elle a joui très fort et très rapidement. Elle était toute guillerette en se levant. Je l’aidais encore une fois à prendre sa douche et ce furent encore des caresses et des gémissements qui s’élevèrent de la salle de bain. Je la guidais jusqu’à la cuisine avant d’aller réveiller sa petite puce. Une petite toilette s’imposa, ainsi qu’un changement de pyjama, mais tout ça resta entre nous deux. La mère et sa fille étaient très heureuses ce matin. En effet, c’était aujourd’hui que Renan devait revenir de son escapade maritime, prévue en début d’après-midi. Fanny se mit sur son 31 et habilla elle-même sa fille d’une jolie robe de princesse. Joël nous rejoignit pour le déjeuner et nous annonça qu’il viendrait avec nous pour retrouver son fils. La boulangerie pouvait continuer à vivre sans eux, quelques heures. Un nombre impressionnant de personnes se tenaient sur le quai où devaient aborder les voiliers des jeunes navigateurs. Après une grosse demi-heure de retard, nous pûmes apercevoir les premières voiles vers 14 heures. Encore quelques minutes d’attente pour des parents angoissés. J’avais convaincu Marie-Rose pour qu’elle soit là également, près de moi.
Et c’est bien elle que Renan aperçut en premier, même si elle était un peu en retrait du groupe des parents qui attendaient leur progéniture. Surtout les mamans devant. J’étais juste un peu en retrait quand je sentis Joël derrière moi. Il s’est collé à mes fesses en me tenant par les hanches. J’aurais aimé qu’il ose monter ses mains vers ma poitrine mais nous étions trop exposés et tout le monde, ou presque, le connaissait. Par contre, il se frottait très fortement sur mes fesses, ce qui faisait remonter ma robe déjà courte. Je n’avais pas envie de m’exposer aux yeux de tous et je le repoussais gentiment. Je réajustais ma robe tandis qu’il allait rejoindre sa famille et son fils. Je jetais un rapide coup d’œil circulaire pour voir si quelqu’un l’avait vu faire. Il m’a semblé que non, quoique j’aie eu un petit doute. Tout le monde regardait vers le quai où arrivaient un à un les voiliers des jeunes aventuriers. Fanny accueillit son fils comme un héros. Il semblait très fier de lui, comme la plupart de ses camarades. Cela n’avait rien d’un exploit extraordinaire mais, pour beaucoup, c’était la première fois qu’ils étaient véritablement éloignés de leurs parents. Lucie se jeta littéralement dans les bras de son grand frère qui cherchait désespérément des yeux Marie-Rose. Petit à petit, la foule des badauds se dirigea vers l’estrade qui avait été installée pour l’occasion. J’avais (presque) complètement oublié le frottement avec Joël lorsque j’entendis quelqu’un me chuchoter.
« Quelle salope tu fais ! Il te les faut tous. »
J’étais tellement abasourdie que je n’ai pas réagi immédiatement à cette réplique. Quand je me suis enfin tournée, plus personne en vue. La plupart des personnes se dirigeait vers la suite de l’événement. J’ai bien aperçu une femme, de dos, qui se préparait à monter sur l’estrade. Je compris rapidement que c’était l’adjointe au maire de la ville qui allait nous faire un petit discours. J’ignorais donc qui nous avait observés et pourquoi il m’interpellait moi, et pas Joël. Je sentais les ennuis arriver à grand pas mais je ne pouvais rien faire que d’attendre, malheureusement. Le discours fut très court et tous se dirigèrent vers un petit buffet. Gâteaux et jus de fruits pour les enfants, toasts et Clairette de Dié pour les adultes. Joël s’était écarté de sa famille, attiré par le bar tout proche et ses copains qui l’invitaient à rester avec eux. La jeune serveuse semblait très heureuse de le revoir. Et Joël se laissa entraîner par l’ambiance festive. Fanny était toujours près de ses enfants et l’un des moniteurs de voile, qui avait accompagné les enfants, s’approcha pour lui tenir compagnie. J’étais loin du groupe mais j’ai cru voir qu’elle faisait comme un malaise. Aussitôt prise en charge par le moniteur très attentionné et deux autres femmes. Inutile pour moi de me joindre à l’attroupement. Renan profita de l’occasion pour s’éloigner de sa mère pour retrouver Marie-Rose. Ils s’écartèrent de la buvette et Marie-Rose trouva une place pour s’asseoir sur un petit muret. Renan devait lui raconter ses exploits, ses aventures. Vu que le muret était plutôt bas, Renan devait avoir une vue plongeante sur le décolleté de Marie-Rose. En effet, pour changer de ces robes élastiquées, elle arborait une robe couleur souris, avec un profond décolleté. J’avais déjà pu remarquer qu’elle ne portait rien dessous. Le meilleur ami de Renan vint le rejoindre et, tous les deux placés entre les genoux de la femme, purent admirer le haut de ses seins. Deux autres camarades vinrent les rejoindre, faisant un mur devant Marie-Rose qui commençait à avoir très chaud. Un peu obligée d’écarter ses genoux, le bas de sa robe descendait inexorablement vers le haut de ses cuisses. J’ai eu la chance, de là où j’étais placée, de pouvoir apercevoir sa lingerie, d’un rouge intense.