Émeline soumise (08/12)

Ses couilles, recouvertes d’un fin duvet, viennent frapper mes fesses à chaque pénétration. Je me sens aspirée lorsqu’il se retire, et tellement bien remplie quand il revient en moi. Puis soudain, c’est le vide total. Il est sorti et ne revient pas immédiatement. J’ouvre les yeux que j’avais fermés pour profiter pleinement du moment. Je vois les petites fesses de Céline au-dessus de mon visage et, sans réfléchir, je commence à lécher le fond de sa culotte. Je n’hésite pas à écarter ce tissu pour accéder librement à toute son intimité. Elle, pendant ce temps-là, n’était pas restée inactive. Si elle avait demandé à JR de sortir, c’était pour l’habiller d’un préservatif. Elle avait pincé la goutte entre ses lèvres et se concentrait pour faire rentrer la grosse queue dans la pellicule en latex. Ce sont ses lèvres qui déroulaient le préservatif le long du membre gonflé à bloc. Je suppose que de voir Céline dans cette position lui donnait des idées qu’il n’osait avouer. Le voilà prêt de nouveau, Céline lui abandonne la place avant que j’ai pu la faire jouir. J’aurais vraiment aimé la satisfaire mais c’est vrai que, aujourd’hui, c’est moi, la Reine de la journée. JR et moi, pour être précise. Il est entré d’une seule poussée, puissante et vigoureuse. J’étais de nouveau sa chose, son jouet, ballottée sous ses coups de butoir. Les filles avaient repris leurs caresses sur moi, caresses et baisers. Tantôt l’une, tantôt l’autre. J’étais encore une fois envahie de ces nouvelles sensations, ne plus savoir où j’étais, qui j’étais mais avec un sentiment extrême de plénitude. Deux petites mains malaxaient ma poitrine. Une des filles avait ôté ses vêtements pour se positionner sur ma bouche. Ce parfum unique, je le reconnaissais parfaitement. C’était Céline qui souhaitait que je finisse ce que j’avais commencé. Et j’en étais ravie.

Je m’accrochais à ses hanches pour garder le contact avec son corps, ses lèvres intimes tandis que JR accélérait déjà la cadence. Il eut l’idée de m’écarteler au maximum. Il prit mes chevilles et leva les bras le plus haut possible, en les écartant au maxi. Je faisais le grand écart pendant qu’il me baisait. Il me martelait de son pieu et semblait y prendre énormément de plaisir, presqu’autant que moi. Céline réagissait également à ma caresse buccale. Elle frottait sa vulve sur mon visage, mon nez venait parfois au contact de son clito et cela semblait la faire frémir de bonheur à chaque fois. Elle a fini par prendre ma tête entre ses mains pour jouir enfin sur mon visage. J’étais bien, j’étais heureuse, et comblée. JR, qui devait avoir vu des tas de films porno, resserra mes jambes, mes deux chevilles prisonnières dans une seule de ses mains. J’étais ainsi plus serrée encore, plus de sensations pour lui et son sexe avide de possession. Oui, il me possédait totalement. J’étais à lui, sa chose, son objet de plaisir. Pour mon plus grand bonheur, je vous l’assure. Il me retourna pour me reprendre aussitôt en levrette mais, au lieu de se placer entre mes cuisses, il l plaça mes jambes serrées entre ses jambes à lui. Il replaça son gland contre ma vulve et trouva très vite l’entrée. Mais, dans cette position, c’était comme un nouveau dépucelage. J’étais pourtant plus humide que nécessaire mais il a dû forcer pour me posséder de nouveau. Son doigt joua avec mon petit trou mais ne s’aventura pas plus loin. Il savait qu’il aurait d’autres occasions pour jouer avec mon cul, et pourquoi pas, un jour, m’enculer à sa guise. Je frissonnais d’effroi en imaginant cette grosse queue pénétrant mon petit cul. Mais, finalement, j’avais eu pratiquement les mêmes craintes avant qu’il n’investisse ma chatte et pourtant, il était entré sans me déchirer. Je pense qu’il en sera de même pour mon cul. En attendant ce moment, je partis dans un délire orgasmique puissant. Je pense même m’être évanouie quelques instants. Lorsque je revenais sur terre, j’avais la grosse tête de JR entre mes cuisses qui me lapait méthodiquement. Je ne voyais plus Céline dans mon champ de vision.

Océane s’approcha pour vérifier si JR avait bien accompli sa tâche. Elle sembla satisfaite et releva sa jupe, prenant place près de moi sur le lit. JR s’empressa de lécher cette chatte providentielle. C’était très rare quand il pouvait la voir, encore moins la lécher et il s’en donna à cœur-joie. Très vite, je vis qu’Océane appréciait grandement sa prestation. Il tenait à la remercier de la meilleure des façons pour tout ce qu’elle lui avait offert depuis qu’il la connaissait. Je n’eus pas l’occasion de la voir jouir sous la caresse car Céline apparut au-dessus de ma tête. Elle m’embrassa tendrement et je lui rendais son baiser. Mais très vite, elle descendit vers ma poitrine qu’elle embrassa. Par chance, j’avais la sienne juste au-dessus de moi et je pus lui rendre tous les baisers qu’elle me donnait. Baisers qui devinrent succions, elle aspirait mes tétons un à un, prenant plaisir à les garder en bouche le plus longtemps possible. Sa langue tournait autour, très rapidement, puis elle l’aspirait tout à coup. Et moi, je lui rendais coup pour coup. Océane avait pris ma main dans la sienne et elle la serra très fort au moment où elle a joui sous la langue de JR. J’imaginais la bouche du jeune homme remplie de ce nectar odorant et parfumé que j’avais maintes fois goûté.

Je sentis du mouvement dans la pièce. Sûrement JR puisque Céline était toujours au-dessus de moi et Océane n’avait pas lâché ma main. Je devinais qu’il devait frotter son membre le long de la chatte de Céline, vu comment elle réagissait. Je connaissais désormais cette sensation et j’enviais mon amie qui découvrait ce plaisir. J’avais évidemment compris, depuis que j’avais été intégrée au groupe, que Céline avait une préférence non feinte envers les femmes, les jeunes filles. Et que donc, cette grosse queue qui se promenait si près de son intimité devait la déranger un peu. Mais elle avait confiance en JR, et surtout en Océane qui ne l’aurait pas laissé faire. Océane se leva à son tour pour rejoindre le jeune homme. Je l’entendis lui murmurer quelque chose à l’oreille. Que je n’ai pas compris, évidemment. Céline non plus. Mais nous avons su, plus tard, ce qu’elle lui avait dit.

« Tu ne pourras lui faire l’amour que si elle te le demande. Par contre, son petit cul, je te l’offrirais un jour. Et nous serons trois pour la préparer à te recevoir. « 

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