MAXIME (07/07)

Armance n’en attendait pas moins de son tourmenteur et jouit de nouveau avec énormément d’intensité. Max la suivit de peu, éjaculant sur le ventre et les seins exposés. Ce n’est qu’après avoir joui qu’elle se rendit compte de notre présence. Rahela remarqua le regard insistant de Max vers sa … Culotte. Elle resta ainsi, sans bouger. Le regard vide. Max la considérait comme sa petite sœur, et c’était réciproque. Aucune envie d’inceste entre eux deux, mais simplement une admiration du corps de l’autre. Les deux amants prirent leur douche ensemble, tandis que je servais un apéritif pour Rahela et moi. En les attendant, nous avons parlé de ce que serait sa vie, bientôt en France. La sentant au bord des larmes, je lui laissais mon téléphone pour joindre sa famille et je quittais la pièce. Pas de sortie de prévue ce samedi soir, repas à la maison. Puis soirée DVD. Personnellement, je n’en ai regardé qu’un seul avant de rejoindre ma chambre. Je sais que Max et Armance en ont regardé un second, un film X, je crois. Ou bien c’était eux qui baisaient encore. Armance et Max avait prévu de dormir ensemble. Armance voulait en profiter au maximum. Une chambre étant libre, j’avais déposé la valise de Rahela dedans. Comme je montais dormir, Rahela me suivit. Pour laisser les amants ensemble, ou pour ne pas tomber dans un plan à trois. Sans doute était-elle fatiguée aussi après une longue journée riche en émotions. Je dormais nue, comme très souvent. Juste avant d’éteindre la lumière, on gratta à la porte, qui s’ouvrit sur Rahela. Un ange de beauté enveloppé dans une liquette immaculée. Pas un mot. Elle entre et referma la porte avant de se glisser sous les draps, près de moi. Le moment de surprise passé, j’éteignais la lumière et me lovais contre son corps. Elle acceptait le contact. Mais, dès que mes mains partaient à la découverte de son corps, elle les repoussait. Soit, je dormais heureuse, blottie contre elle. Le lendemain matin, c’est pourtant sa bouche sur mes tétons qui me réveilla. Je comprenais qu’elle avait des envies mais qu’il fallait que je la laisse les exprimer elle-même. J’avais prévenu Fatima et Vanessa qu’elles auraient un, ou une, locataire. Temporairement. L’une comme l’autre avaient accepté sans problème. Le vol de retour se passa sans soucis. Rahela ne voulait pas me quitter d’un centimètre. Elle me broya les doigts au moment du décollage.

Arrivés à l’immeuble de Fatima, je descendais directement au parking souterrain. Vanessa, qui n’avait pas de voiture, m’avait donné son badge d’accès. Puis l’ascenseur jusqu’à l’étage. C’est de manière aléatoire que j’avais décidé de loger, temporairement, Max chez Fatima et Rahela chez Vanessa. Les deux filles devraient bien s’entendre et étaient amenées à travailler ensemble pour Fée du Logis. Premier arrêt chez Fatima. C’est Kaïs qui nous a ouvert la porte. Il a tout de suite été très impressionné par la carrure de Max. Il a tenu à le guider jusqu’à sa chambre. Restée avec Fatima et Rahela, elle m’avoua qu’elle n’avait jamais vu son fils comme ça. Immédiatement à l’aise avec cet inconnu. Voyant que Fatima semblait souffrir du dos, je lui rappelais que Max était aussi masseur et kiné. Et même, un très bon. Rahela le lui confirma. Je le laissais entre de bonnes mains et je les quittais en leur donnant rendez-vous le lendemain. Direction l’appartement de Vanessa qui nous attendait impatiemment. Cela faisait longtemps que je ne l’avais plus revue. Seule à seule, je précise. Ses clients n’avaient que des éloges à son sujet. Elle ne déclarait pas toutes les heures qu’elle passait chez eux, mais ne se plaignait plus, niveau salaire. Vanessa emmena Rahela dans sa chambre, puis on la laissa s’installer tranquillement. Elle m’offrit un café mais resta debout près de moi. Je compris tout de suite ce qu’elle attendait. Je la faisais languir exprès jusqu’à ce que, pensant que je ne la toucherais pas, elle tenta de s’éloigner. Je glissais alors ma main entre ses cuisses pour remonter lentement vers sa culotte que je trouverais certainement déjà humide. Ce qu’il y a de bien, avec des coquines comme Vanessa, c’est qu’elles sont toujours prêtes à décoller. Et j’adore les piloter jusqu’au paradis, les chevaucher à en perdre haleine. Rahela vint nous rejoindre et Vanessa lui offrit également un café. Mais elle restait entre nous deux, debout, ne sachant que faire. J’intervins alors.

« Vanessa. Montre à notre nouvelle amie à quel point tu es  très obéissante.  »

Sans hésiter une seule seconde, elle ôta sa robe pour se présenter en sous-vêtements. Rahela était éberluée par ce geste qu’elle avait effectué tellement naturellement.

« J’ai dit « très » obéissante.  »

Vanessa passa les mains dans son dos pour défaire son soutif. Elle le maintint en place avant de l’ôter totalement. Une petite hésitation pour la culotte qui retrouva le reste des vêtements, sur le sol.

« Approche.  »

Elle s’approcha de moi pour que je puisse enfin embrasser ses jolis tétons. Une main sur ses fesses, l’autre sur son sein.

« Rahela. Tu veux goûter toi aussi ?  »

« Lève-toi et approche. Je ne vais pas te manger. Pas encore. Viens.  »

« Seras-tu Maîtresse ou soumise ? Ôte ton chemisier. Le pantalon. Bien. Tu es vraiment très jolie, Rahela. Encore un petit effort. Ôte-moi ce soutif. Oui, oui, fais le. Bien. Tu seras une bonne soumise, toi aussi. Tu sais que c’est une position très avantageuse. Vous en parlerez ensemble. Plus tard. Dernier effort. Enlève ta culotte. Oui, je sais que c’est difficile pour toi. Tu préfères que ce soit …  »

« Vanessa. Vas lui ôter sa culotte. Oui. Doucement. Voilà. Regardez-vous comme vous êtes belles, toutes les deux. Je vais vous laisser faire connaissance toutes les deux.  »

« Vanessa. Un petit bisou ?  »

Elle vint m’embrasser à la limite de mes lèvres.

« Rahela. Un petit bisou ?  »

Elle vint rapidement m’embrasser à son tour. Mais au moment où j’allais ouvrir la porte, elle se jeta dans mes bras.

« Merci. Merci encore pour tout ce que tu fais pour moi, pour ma famille.  »

« Je suis certaine que tu en ferais beaucoup plus si les rôles étaient inversés. Bien. Je dois vraiment y aller maintenant. Rahela. Je te rappelle une seule chose. La plus importante. Tu es désormais seule maître de ta vie, de tes choix. Si tu ne peux pas, ou ne veux pas, faire ce qui va contre tes convictions, alors ne le fait pas. Toi seule sais ce qui est bon pour toi, et ce qui ne l’est pas.  »

« Bisous, mes chéries. Je reviens demain matin. Et surtout, ne soyez pas sages, cette nuit.  »

Je me sauvais enfin avant d’avoir une furieuse envie de passer la nuit avec elles deux.

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