À bout de ressource, Jean-Jacques a finalement éjaculé, remplissant le réservoir du préservatif. Ce qui eut pour effet de déclencher l’orgasme de ma Maîtresse. Elle resta un bon moment, allongée sur le torse de son nouvel amant. Un de plus, aurait dit si frère. Il est vrai que, depuis que je la connais, elle a multiplié les rencontres, principalement juste pour un soir, pour un coup. C’est Clothilde qui a décidé qu’on pouvait maintenant le détacher. Il se leva et me remit dans la même position que Clothilde m’avait demandée, et il me prit lui aussi sauvagement. J’étais vraiment aux anges. Clothilde avait remis le gode ceinture et elle avait une idée en tête. Elle se glissa sous moi, éjectant mon partenaire et enfonça de nouveau le gode en moi. Jean-Jacques avait compris le message et il approcha sa grosse queue de mon anus, devenu très serré du fait que le gode remplissait l’autre cavité. Il eut plus de difficultés que d’habitude pour m’enculer mais il y parvint pourtant. J’étais véritablement remplie, et j’aimais ça. Ils ont continué de longues minutes à me baiser, l’un et l’autre, en cadence ou en léger décalage.
J’ai joui de nombreuses fois et je crois bien que je me suis même évanouie de plaisir. Quand j’ai émergé de nouveau, Jean-Jacques était en train de prendre Clothilde en levrette, dans la même position où j’étais précédemment. Elle est restée avec nous jusqu’à midi, utilisant mon corps et celui de mon amant, qui appréciait particulièrement de me voir entre les cuisses ouvertes de Clothilde. Je n’allais pas m’en plaindre. Dans la semaine qui a suivi, j’ai été convoquée dans le bureau de mon directeur, il souhaitait que je prenne connaissance des nouveautés qui allaient changer nos institutions. Tout le monde n’est sûrement pas familier avec ces institutions. Dans chaque département, il y a une préfecture et des sous-préfectures. Il y a aussi des directions départementales interministérielles. La Direction Départementale des Territoires, la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et la Direction Départementale de la Protection des Populations.
Chaque direction possède son service RH, Achats et Secrétariat général, pour la gestion courante. L’idée était de regrouper en une seule entité, ces différents services qui faisaient la même chose. Un seul Secrétariat général, un seul service des Relations Humaines, etc… C’était donc ce document, qui expliquait le processus de mise en œuvre du futur SGCD que Francis, mon directeur, voulait me faire lire. Il posa le document papier sur la grande table de réunion et m’invita à m’approcher. Je m’apprêtais à m’asseoir pour lire sereinement quand il poussa le document hors de ma portée. Je fixais son regard et j’y aperçus une étincelle de malice. Il voulait jouer avec moi. C’était la première fois depuis que je l’avais rencontré dans la soirée de la Comtesse. La première fois, dans le cadre du travail.
Je restais donc debout, posais mes avant-bras sur la table et commençais ma lecture. Je ne tardais pas à sentir ses mains caresser mes fesses, relever ma robe au-dessus de la taille. Je tournais les pages du document tandis qu’il baissait mes collants, puis ma culotte. Il embrassa amoureusement mon cul avant de me lécher divinement. La lecture était finie depuis longtemps mais je ne bougeais pas, attendant la suite. Quand il se leva, son pantalon glissa sur le sol et il ne lui fallut que quelques instants pour trouver l’entrée de ma grotte bien préparée. Il m’a baisée en silence, on ne souhaitait surtout pas être entendus par son assistante, dans le bureau voisin. Cela n’a pas duré très longtemps mais c’était suffisamment intense pour que je jouisse une nouvelle fois avec mon directeur. C’était une première fois, je savais qu’il y aurait de nouvelles occasions.
Et cela n’a pas tardé. La semaine suivante, je fus de nouveau appelée dans son bureau. Mais il n’était pas seul, cette fois-ci. Un collègue à lui, aussi directeur mais dans un autre département, venait lui rendre visite. Comme j’en avais l’habitude, je suis allée à la supérette pour acheter ce qui était nécessaire pour un apéro. Alcool, petits gâteaux. Une demande particulière, du saucisson avec sa planche à découper et le couteau qui va avec. Je retrouvais évidemment Caro dans ses rayons et elle me fut d’une grande utilité pourtant trouver tout ce qui était exigé. Retour dans le bureau du directeur pour faire le service. Le collègue de Francis se nommait Wilfrid. Il m’invita à me servir un verre moi aussi. J’acceptais, après l’approbation de mon directeur. L’alcool au travail n’étant pas bien vu, même dans l’administration, contrairement à l’idée préconçue que l’on se fait des fonctionnaires.
L’alcool aidant, les discussions devinrent plus personnelles, le langage plus châtié. Quand Francis osa poser une main sur ma fesse droite, Wilfrid posa la sienne sur ma fesse gauche. Voyant que je les laissais faire, leurs doigts commencèrent à bouger, à caresser, à palper mon cul que je leur offrais. C’est la main de Wilfrid qui, la première, glissa sous ma robe. Très vite rejointe par celle de Francis. Le crissement de leurs mains sur mes collants devint bientôt le seul bruit qui émanait de ce grand bureau. Avec évidemment nos respirations qui devenaient plus saccadées. Quand Wilfrid tenta de me caresser par devant, je m’écartais de mes deux tourmenteurs. Je m’excusais avant de quitter le bureau précipitamment. Certains (Certaines) me diront sûrement que je n’avais pas à m’excuser. Qu’ils étaient tous les deux fautifs. Si je me suis excusée, c’est parce que, moi aussi, je les avais laissés faire, au début. J’avais même trouvé cela très agréable de me laisser peloter ainsi. Le midi, j’ai mangé au restaurant inter-administration avec mes collègues. Ma cheffe, Christiane, mangeait comme souvent avec son mari, dans une brasserie toute proche, et c’est lui qui venait la chercher, le plus souvent. J’ignore ce que cette journée avait de particulier, était-ce la lune ? Ou bien une combinaison spéciale de nombres ? Toujours est-il que rien ne se passait comme d’habitude, ce jour-là.
Christiane revint plus tôt que d’habitude, avec son mari. Je les trouvais tous les deux enlacés quand j’apportais le parapheur contenant des documents à signer dans son bureau. Elle m’attira contre elle, me serrant sur sa volumineuse poitrine. Son mari profita de mon abandon pour se coller contre mes fesses. Je sentais sa grosse queue qui gonflait ostensiblement dans son pantalon. Je laissais leurs mains parcourir mon corps, surtout ma poitrine que son mari caressait allègrement. Ils me laissèrent en plan, avant que je n’aie eu le temps de jouir de ce moment.