Je la retourne, la fais se pencher en avant. Elle pose les mains sur la cuvette, fermée lol. Je relève sa jupe, blanche. Une jolie culotte blanche apparaît, avec une large bande de dentelle en bas. Doucement je la descends. Elle ne dit rien, ne se défend même pas. Le fond de sa culotte est déjà humide, pourtant je l’avais entendu s’essuyer après s’être caressée. Docile et soumise, comme je les aime. Elle sait qu’elle va jouir de nouveau mais sans se toucher cette fois. Et ce sera une femme qui va la doigter. Une femme qui vient de bien faire jouir sa partenaire. Elle les a entendues, et elle s’est caressée ensuite, se croyant seule. Elle se remémore tout cela pendant que je lui soulève un pied, puis l’autre, pour dégager ses chevilles. Instinctivement, elle écarte les jambes pour me fournir le meilleur accès possible. Un bisou sur une fesse, sur l’autre. Mes mains sur ses mollets remontent doucement sur ses cuisses, ses fesses, passent sur son ventre. Elle porte un t-shirt rouge que je dégage de sa jupe pour glisser mes mains dessous. J’atteins enfin sa poitrine, pas énorme mais bien ferme. Elle porte un bien joli soutien-gorge rose pâle, que je remonte pour accéder directement à ses tétons déjà durs.
Je suis collée à ses fesses, elle se tord de plaisir sous la caresse de mes doigts. Elle halète, cherche sa respiration, la trouve. Puis halète à nouveau. Elle vibre sous mes doigts, comme un instrument à cordes dont il suffit de pincer les cordes pour obtenir des sons qui formeront la musique, la mélodie. Et c’est la mélodie du bonheur que j’écoute en jouant sur son corps. Ma main droite quitte sa poitrine pour descendre entre ses cuisses. Son clito déjà sorti n’attendait que ça pour la faire exulter, encore une fois. Je rentre un doigt puis un second aussitôt dans son vagin prêt à m’accueillir. Je la baise avec mes deux doigts. Elle va hurler son plaisir. Sa première jouissance pas encore évacuée que déjà le second orgasme pointe son nez. Je m’acharne sur sa chatte dégoulinante. Ma main gauche descend sur ses fesses et mon pouce s’approche de son petit trou. La première phalange entre sans problème. Déclenchant son orgasme. Je n’arrête pas pour autant. Je la baise par ses deux trous et elle jouit en continu. Elle lâche enfin son cri, toute la galerie a dû l’entendre. Mais peu lui importe. Elle a joui comme jamais dans sa vie. Elle redescend lentement sur terre, se retourne pour s’asseoir, elle me sourit. Elle est belle, après l’amour. Elle est comblée et ça se voit sur son visage. Accroupie entre ses cuisses, je récupérais son délicieux nectar et j’allais l’embrasser pour lui faire goûter à son tour. Puis ce sont ses seins que j’embrassais, que je cajolais. Je la sentais prête à repartir pour un tour.
« Non. Pas encore. Pas tout de suite ». Se plaint-elle.
Je la laissais sortir pour se rafraîchir au lavabo. Je la regardais dans le miroir, belle et désirable. Penchée en avant, son cul tendait magnifiquement le tissu de la jupe blanche et, en y regardant de près, il était évident qu’elle était nue dessous.
« Tu travailles ici ? Dans une boutique de la galerie ? »
« Pas dans une boutique. À l’administration. Je suis comptable. »
« Et tu bosses un samedi après-midi ? »
« Exceptionnellement, oui. Mais je suis seule en haut, tu veux visiter ? »
« Je te suis. »
« Je peux remettre ma culotte ? »
« Je te la rendais en haut. On y va ? »
Résignée, elle me guida jusqu’à l’escalier qui menait aux bureaux du centre commercial. Elle était effectivement toute seule à cet étage. Elle se dirigea directement vers une grande pièce où siégeaient trois bureaux. Le sien était reconnaissable, des dossiers y étaient restés ouverts.
« C’est ton bureau ? Assieds toi. Penche toi en arrière. Écarte les jambes. Là. Tu es parfaite. Relève ton top. Splendide. Tu aimes t’exhiber ? »
« Non, mais je … C’est la première fois … »
« Que tu te fais surprendre ? Oui, ça, je te crois. »
« Avec une femme aussi, c’était la première fois. » m’avoua-t-elle dans un souffle.
« Et tu as aimé ça ? »
« Tout le centre a dû entendre mon cri. Oui, j’ai adoré. Je mouille rien qu’en y pensant. Tu vas … On va … Recommencer ? »
« Oui, ma belle. Je vais encore te faire jouir. Mais parle moi de toi, pendant que je redécouvre ton corps. »
Je caressais ses seins avant de les prendre en bouche, l’un après l’autre. J’aspirais, suçais, léchais à tour de rôle les tétons durcis par le plaisir. Tant bien que mal, elle me parla d’elle. Elle s’appelait Maryline, Maryline Sanchez comme l’indiquait la plaque sur son bureau. Elle avait 22 ans, bientôt 23, travaillait comme comptable dans ce bureau depuis la fin de son contrat en alternance. Célibataire, sans enfants. Hétéro convaincue jusqu’à aujourd’hui. Sa vie s’écoulait entre son travail, les visites à ses parents et les sorties hebdomadaires avec les copines. Un mec de temps en temps, rencontré par hasard. Sa plus longue relation n’avait duré que trois mois. Après avoir bien profité de sa poitrine, je descendis sur son ventre, puis entre ses cuisses. Totalement offerte. Et déjà trempée. Ma langue pénétra facilement son intimité, baveuse à souhait. Mes doigts courraient sur son corps. Mon index se positionna sur son petit trou. Elle frémit.
« Non, pas là. »
« Et pourquoi non ? »
« C’est sale. Non ! … Ouiiiiii. C’est si bon. Ne t’arrête surtout pas. Tu es diabolique. J’adore tout ce que tu me fais. On croirait que tu sais à l’avance ce que mon corps attend. »
« C’est exactement ça, ma chérie. Cela s’appelle être à l’écoute de son partenaire. »
« Et je suis la meilleure dans ce domaine. Tu aimes ? »
« Hummmm !! Hummmm ! »
La bouche recouverte de sa mouille, je me redressais pour l’embrasser à nouveau. Maryline gardait la bouche fermée, mais j’enfonçais mon index un peu plus et elle goûta enfin à son propre jus. Et elle appréciait tellement qu’elle se mit à me lécher le visage pour récolter tout ce qu’elle pouvait. D’une main, j’écartais mon string pour me frotter contre sa chatte en feu. Je reçus comme une décharge électrique à son contact.