Été 2020 (21/30)

J’aidais la jeune fille à s’allonger sur le canapé pour pouvoir enfin plonger entre ses cuisses et récolter son nectar. Elle était vraiment adorable, et délicieuse. Tout comme l’était Laura, la fille de mon ex qui m’avait presque initiée aux plaisirs entre filles. J’en avais connu d’autres, ensuite, Orlane sa meilleure  amie et Albane, sa petite sœur. Et puis, il y avait eu Rosalie, ma cousine et Céliane, ma nièce.  Et Maud, il y a quelques heures seulement. De toutes, Josiane était certainement la plus délicieuse, celle qui avait le meilleur goût. C’était sûrement dû au fait que notre rencontre, ici, était fortement improbable. Je l’avais très souvent aperçue sur la plage ou au camping, toujours entourée de garçons de son âge qui devaient baver d’envie sur ses formes. Josiane était certainement hétéro, mais jamais je n’aurais cru qu’elle puisse être Maîtresse, de sa belle-mère en plus. J’étais pourtant heureuse, ces deux-là s’étaient trouvées grâce à moi. Je laissais ma place entre les cuisses de la jeune fille pour Marie-Rose qui souhaitait la goûter, elle aussi. Céline, se sentant délaissée, rampa jusqu’à moi et entrepris de me lécher à son tour. Elle était vraiment douée, comme si elle avait attendu tout ce temps pour se découvrir une passion pour les amours saphiques. Quand nous fûmes toutes rassasiées de plaisir, nous nous sommes rhabillées en se promettant de se revoir très vite. Josiane pouvait difficilement continuer à dominer sa belle-mère devant son propre père. Elle devrait le faire chez Marie-Rose, ou bien quand il partait pêcher en haute mer. Après une après-midi aussi riche en émotions, j’avais toujours envie … D’un homme. Le seul à ma disposition, c’était Jérôme qui logeait dans un chalet tout proche. Ingrid, sa femme, a dû me comprendre et elle a emmené ses enfants et Dylan à la piscine du camping, me laissant seule avec mon frère, mon amant depuis presque huit mois. Pas vraiment besoin de préliminaires entre nous, j’étais prête à me faire défoncer et j’ai été servie. Il a fini par me retourner pour décharger sa semence à l’intérieur de mon cul. J’étais toute guillerette lorsque je suis retournée auprès de Fanny et de Joël.

La soirée a été beaucoup plus calme, heureusement. Fanny était seule avec sa fille et Gaëtan qui logeait lui aussi dans une chambre réservée aux apprentis. Joël dormait déjà lorsque nous sommes montées nous coucher. J’ai aidé Fanny à se déshabiller et nous avons pris notre douche ensemble. Elle ne pouvait plus atteindre certaines parties de son corps et avait demandé mon aide. J’étais ravie de la voir nue de nouveau et entièrement à ma disposition. Elle-même ne s’est pas gênée pour poser ses mains sur moi, quand elle le désirait. Je l’ai séchée et nous avons rejoint le lit toutes nues. Elle avait un tel appétit de caresses, d’affection, que je ne pouvais rien lui refuser. Elle a profité de mon corps à sa guise et, lorsqu’elle l’a demandé, je me suis glissée entre ses cuisses pour la faire jouir intensément, comme je sais si bien le faire. Elle s’est endormie paisiblement, les sens comblés. Je me suis blottie contre elle et, presque machinalement, sa main s’est posée sur mon sein et l’a emprisonné. Je me suis réveillée plus tard dans la nuit, la tête face à sa fabuleuse poitrine. Je n’ai pas pu résister à l’envie de la téter avidement encore une fois. Dans son sommeil, elle a posé tendrement sa main sur ma tête pour accompagner mes coups de tête. J’étais son bébé et je la tétais. Une nouvelle fois, j’ai eu la chance de pouvoir goûter à son lait maternel.

J’ai bien entendu Joël se lever vers trois heures du matin, mais il était un peu trop tôt pour moi. Je me suis donc rendormie et, deux heures plus tard, j’étais à nouveau réveillée. Avide de plaisirs. Juste habillée d’un grand tee-shirt, j’ai rejoint Joël dans le fournil. Jérôme était déjà là, lui aussi et mon arrivée n’est pas passée inaperçue. Les deux hommes sont venus me saluer en me serrant de très près. Coincée entre eux deux, je sentais leur excitation qui devenait palpable, tout comme leurs sexes qui grossissaient à vue d’œil. Joël devant retourner à son pétrin, c’est Jérôme qui, le premier, me pénétra. Mais Joël n’en perdait pas une miette et dès qu’il fut disponible, il vint prendre la place occupée par mon grand frère. Jérôme se contenta simplement de ma bouche. Mais il bandait vraiment beaucoup et, sans que je ne puisse rien faire, je me suis retrouvée embrochée par les deux hommes. Joël devant, Jérôme derrière. J’étais sur le point de jouir lorsque Gaëtan arriva à son tour. Cela faisait un moment qu’il ne m’avait plus revue ici et il ne put s’empêcher de caresser sa queue qui devait se développer à vitesse grand V. Dans ma semi inconscience, je lui fis signe de s’approcher de nous et, dès qu’il fut assez près, je posais ma main sur la bosse de son pantalon. Il a su immédiatement qu’il aurait encore la chance de pouvoir me posséder, je le voyais à son sourire de vainqueur. J’avais envie de lui, moi aussi, de sa douceur, de sa tendresse. De son inexpérience aussi un peu. Il devrait juste patienter jusqu’à ce que les deux hommes qui se déchaînaient en moi en aient fini. Jérôme exulta le premier dans mes entrailles. Joël appuya sur ma tête pour la mettre à hauteur de sa queue et il m’a remplie la gorge de sa bonne semence. Il a dû rapidement retourner à son pétrin pour ne pas rater sa fournée du matin. Gaëtan était resté seul près de moi et m’aida à m’asseoir sur la table qui avait déjà vu tant de choses. Celle-là même où j’avais été prise par les trois étalons, chacun leur tour. Elle était restée dégagée de tout ce qui aurait pu gêner, comme si elle n’était là que pour moi. Exténuée, je me suis allongée dessus et le jeune apprenti a simplement relevé mon tee-shirt pour découvrir de nouveau mes jambes, mes cuisses. Ma chatte. Ses mains sont remontées jusqu’à ma poitrine tandis que sa bouche s’engouffrait entre mes cuisses.

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