Son regard est fixé sur mes jambes. Il semble apprécier leur pâleur et l’absence de tout poil. Elles sont laiteuses. Il prend en bouche mes orteils, les suce un à un. Ça me chatouille. Bien vite, il remonte le long de ma jambe, tantôt en déposant des baisers, tantôt en laissant courir sa langue. À certains endroits, cela m’envoie comme des décharges électriques qui me font me cambrer et gémir doucement. Je ne suis plus moi-même et je sens mes jambes qui s’écartent automatiquement lors de sa progression, pour lui donner un meilleur accès à toutes les parties de moi qu’il désire. Il embrasse enfin mon pubis, imberbe. Un de ses doigts se permet d’aller tâter mon intimité pour découvrir l’humidité qu’elle dégage. Il avait vu Océane et Céline me donner du plaisir. C’est sûrement pour les imiter que sa bouche remplaça son doigt. C’était chaud, et humide. Tellement bon. Il me mange le pubis, lape tout le liquide qui s’échappe de mon corps. Sa langue s’attarde parfois sur le petit bout de chair de mon intimité, et cela me rend folle de désirs. C’est encore plus fort quand il écarte mes lèvres intimes pour s’introduire en moi, au plus profond de mon conduit. Sa langue tourne en moi, il la pousse aussi profondément que possible, puis revient butiner mon clitoris. Les poils de sa barbe naissante me lancent des pics, des frissons incontrôlables. J’appuie sur sa tête pour multiplier les sensations ressenties. Je ne contrôle plus les muscles de mon bas-ventre, ils se contractent, vont d’eux-mêmes au contact de cette bouche affamée. L’humidité augmente d’un coup, je m’affale sur le matelas, épuisée mais heureuse. Était-ce un orgasme ?
Encore toute tremblante des fortes sensations qu’il venait de me donner, je me redresse pour embrasser JR. Sa respiration est rapide, il est déjà luisant de sueur, le visage recouvert de mon liquide intime. Il me tire au bord du lit et écarte mes jambes, plus largement. Son membre est gros comme lorsqu’il était prêt à exploser dans ma bouche. Il frotte le gland contre mes lèvres intimes. Elles s’écartent, comme par magie, je ne contrôle plus mon corps, il est devenu autonome, happé par les sensations nouvelles qu’il ressent. C’est une sensation incroyable de voir son propre corps réagir sans que vous ne lui en donniez l’ordre. Il ne se frotte pas longtemps avant de trouver l’entrée de ma grotte. Il y présente son gland, il pousse légèrement. Il est entré, sans coup férir. Il s’installe en moi, il est chez lui. D’une seule poussée, il brise enfin l’hymen pour faire de moi une femme à part entière. Je ne crie pas de douleur, mais plus de surprise. J’aime me sentir m’écarter sur son passage. Il m’embrasse tendrement, autant pour me faire taire que pour me rassurer, me remercier de ce moment unique que je viens de lui offrir. Il pousse alors plus fort, pour entrer entièrement à l’intérieur de mon corps. Je suis à lui, et il est à moi. J’oublie les deux spectatrices qui n’ont rien perdu de mon dépucelage. JR reste immobile, profitant pleinement de ce moment d’extase. Puis, il sent mon corps se relâcher, il commence alors à aller et venir en moi. Le plaisir est là, grandissant inlassablement. Je crois défaillir chaque fois qu’il tape au fond de moi, et mourir chaque fois qu’il se retire de moi. Mais il revient aussitôt à la charge et le plaisir de nouveau m’envahit.
Il augmente la vitesse, petit à petit. Il me bouge pour s’enfoncer plus profondément en moi. Ses gémissements sont bruyants, mais je n’entends pas les miens qui doivent l’être tout autant. Plus il est bruyant, plus il se démène, plus il y va fort et plus j’aime ça. Je laisse mes hanches accompagner ses mouvements. J’apprécie de plus en plus de me faire baiser. Du liquide s’écoule de moi, rendant sa progression plus facile, plus profonde. Il soulève mes fesses pour me prendre toujours plus loin. Dans cette position, il peut enfin sucer ma poitrine et j’aime cette variation des plaisirs. Je réponds à chacun de ses coups de rein en bougeant mes hanches. Je me perds dans toutes ces nouvelles sensations. J’agrippe ses cheveux lorsque mon corps se met trembler. Je suis extrêmement fatiguée quand les tremblements s’arrêtent enfin, fatiguée mais heureuse. JR continue pourtant à me pilonner. Ce qui vient de se passer lui à redonner de la vigueur et le pousse à me retourner sur le lit. Il sort et je me sens toute vide tout d’un coup. Je suis sa chose et il fait de moi ce qu’il veut. Il lève mon postérieur pour le placer à la bonne hauteur, me positionne en levrette avant de me pilonner plus ardemment encore, plus vigoureusement. Je grogne autant que lui à chaque pénétration. Il est comme un animal sauvage. Il me bourre sans aucune douceur. Il me mord l’oreille et pince mes mamelons. Je hurle et je me contracte. Nous atteignons ensemble le summum du plaisir. Nous sommes hors contrôle, hors du temps et de l’espace. Deux corps qui se font du bien, qui ne font qu’un. Deux esprits qui communient dans l’extase d’une première fois.
Quelques poussées amples encore et JR me remplit de son sperme. Aucun de nous n’a pensé au préservatif. Je reste allongée sur le lit, ma respiration est rapide et saccadée. JR se retire moi et s’allonge à mes côtés. Des contractions agitent encore mon intimité. Cela expulse les liquides présents en moi. Sa queue, qui m’a si bien fait vibrer, devient flasque. Je me penche vers lui pour l’embrasser, le remercier encore une fois. Puis je descends vers son ventre, son sexe. Je le prends en bouche pour le nettoyer. Il est recouvert de nos sécrétions. Il m’attire au-dessus de lui et lui aussi entreprend de me nettoyer. Il boit tout ce qui s’écoule de moi. Cela semble lui plaire énormément. Sa queue reprend de la vigueur. Il est prêt à recommencer. Je jouis de nouveau dans sa bouche. Mais pas lui. Je me retourne pour l’embrasser de nouveau, recueillir sur ses lèvres l’odeur de mon intimité. Il joue alors avec mes seins qui sont devenus hypersensibles. Il se lève, prêt pour le second round. Je suis à nouveau jambes largement écartées, pendant dans le vide, et JR entre mes cuisses. Océane et Céline s’approchent de moi et jouent avec mes seins, m’embrassent l’une après l’autre. C’est tout juste si je sens que JR a repris possession de moi.