Il devait certainement se retenir d’éjaculer trop rapidement, prolongeant ainsi son plaisir, et le mien. Je commençais à avoir comme une crampe au niveau des mâchoires, je décidais donc d’accélérer la cadence. Je compris très vite que j’étais sur la bonne voie. Il rugissait presque, et il avait cessé définitivement de lécher mon intimité. Je continuais jusqu’à ce qu’il se lâche enfin au plus profond de ma gorge. Ce n’était pas la première fois, je commençais à prendre l’habitude. Et surtout, j’aimais ça, le goût de sa semence. Vidé de son jus, il avait vraiment besoin de récupérer. Il me reprit entre ses bras et recommença ses caresses subtiles. Pas énormément de bruit dans la maison. Gilles et Melody étaient partis à leur travail.
Je pensais que Flora dormait, jusqu’à ce que j’entende sa petite voix. Elle devait certainement parler avec Flora. Je pense qu’elle avait dû se lever pour aller aux toilettes et qu’elle n’avait pas bien refermé la porte de sa chambre à son retour. Je comprenais qu’elle essayait de convaincre son amie de venir avec nous chez le « Tonton Robert ». Elle lui expliquait qu’il n’y avait pas vraiment de lien de parenté entre nous, mais qu’il était gentil comme tout. Surtout avec elle. Des chuchotements incompréhensibles suivirent. Encore des confidences ? Je n’entendais évidemment pas ce que disait Clara. Mais je pouvais le deviner aux réponses que ma petite sœur lui apportait.
« Oui, elle sera là, elle aussi. »
Elle parlait bien évidemment de moi. Elle précisa que c’était moi qui étais chargée de la surveiller, de veiller sur elle. Et donc de l’accompagner là où elle était invitée. Et, bien sûr, qui dit piscine, dit maillot de bain. Et même seulement le bas pour moi. C’était ce qu’elle espérait, en compagnie de Clara.
« Oui, il sera là, lui aussi. Je crois que j’ai entendu sa voix, tout à l’heure. Il doit déjà être avec elle, dans sa chambre. Dans son lit ? »
Elle riait à moitié de sa blague légèrement salace. Je ne pense pas que Dany ait capté le moindre mot de cette conversation, trop occupé qu’il était entre mes seins. J’entendis encore quelques conciliabules, puis le bruit de son lit, elle se levait. Sa chambre étant face à la mienne, je vis soudain ma porte qui s’ouvrait et sa petite bouille d’effrontée qui passait par l’ouverture. Elle regarda intensément Dany qui me léchait amoureusement les tétons. Je lui fis signe de ne rien dire, de ne pas intervenir. Elle sembla comprendre et elle disparut dans sa chambre, sans avoir refermé complètement ma porte. La conversation reprit entre les deux coquines. Je suppose qu’elle lui expliquait ce qu’elle venait de constater. Encore des chuchotements inaudibles, comme si elles préparaient un bon coup. À mes dépens, certainement. Je suppose que leur conversation s’arrêta là, quand j’entendis de nouveau son lit grincer légèrement. Elle s’était levée et revenait vers ma chambre. Cette fois-ci, elle entra carrément, sans vraiment demander la moindre permission. Elle s’approcha jusqu’à mon lit et commença par caresser le sein à sa portée. J’étais entièrement nue et incapable de de cacher mon intimité. Heureusement, Dany l’aperçut et il posa sa main entre mes cuisses. De toute façon, ce n’était pas cette partie de mon anatomie qui l’intéressait. Elle s’allongea d’autorité près de moi et commença à me téter, comme Dany précédemment. Ils trouvèrent chacun leur place, un sein à chacun, et je fermais les yeux de bonheur. Flora était collée contre moi, ce qui faisait qu’elle était toute proche de la main de Dany. Je ne l’avais pas remarqué mais il lui arrivait de caresser sa cuisse à elle aussi. Un peu pour l’embêter, la faire réagir, il remonta sa chemise de nuit sur sa taille. Il pouvait ainsi caresser ses fesses. Elle ne refusa pas la main de son cousin. Même si elle n’avait que dix ans, elle était bien plus perverse que je ne l’avais été.
Elle ne devait sans doute pas ressentir de plaisir comme moi je le ressentais, mais elle connaissait parfaitement les barrières de l’interdit. Se laisser caresser les fesses par son cousin en était une, évidemment. Elle semblait se complaire à briser les codes, repousser ces barrières que d’autres avaient imposées. Je compris réellement ce qui se passait lorsqu’elle s’allongea sur moi. Dany devait caresser ses fesses pour atteindre mon intimité. Et sans doute même la sienne, de temps à autres. Je pense vraiment qu’elle ne pouvait pas encore ressentir le plaisir d’être caressée, mais le fruit défendu, savoir que l’on fait ce que la morale réprouve, ça, elle en était parfaitement consciente. Et consentante. Elle ne réagit brutalement que lorsque Dany tenta de baisser sa culotte. Elle se leva en courant vers la porte, lui faisant un pied-de-nez, arrivée à la porte. Qu’elle referma avant d’aller déjeuner. Dany m’a suivie sous la douche et nous avons recommencé à nous caresser, tout en nous lavant. Flora a pris notre place dans la salle de bain, et nous la sienne dans la cuisine, un peu plus tard. Le reste de la matinée se passa calmement. Mais je suppose que chacun pensait à ce qui allait se passer, près de la piscine. En tous cas, moi, j’y pensais énormément. Entre craintes et envie de m’exhiber. Encore une fois. Nous sommes partis vers 14 heures et, comme je m’en doutais, nous avons croisé Clara au détour d’une rue. Aussitôt, Flora a insisté pour qu’elle vienne avec nous. Qu’elle était certaine que « Tonton Robert » serait ravi lui aussi qu’elle lui présente sa meilleure amie. Dany n’y voyait pas d’inconvénient et moi, je savais déjà ce qui se tramait. Sans vouloir véritablement l’empêcher. Robert nous a accueillis avec un grand sourire. Qui m’était surtout adressé. À moi et à ma poitrine. Mais il était aussi très tactile avec Flora. Et même avec Clara qui le laissa frôler ses petites fesses lorsqu’il l’embrassa. Robert connaissait Dany depuis sa naissance et il ne voyait pas d’objection à ce qu’il soit présent, vu qu’il l’avait invité en même temps que les filles. Il nous emmena près de sa piscine.
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