Février 2015 (05/07)

Charlène nous rejoint la première, avec juste un t-shirt comme moi. Je le soulevais pour dégager son joli postérieur. Elle ne fit rien pour le rabaisser et se promena ainsi. Passant près de sa mère, celle-ci ne put s’empêcher de caresser son p’tit cul. Charlène s’offrit impunément aux caresses, tendant les fesses vers Corinne, puis elle alla s’asseoir. Corinne, rougissante, se leva pour lui servir son chocolat. Je vis la main de Charlène s’engouffrer sous la robe de sa mère et, en voyant son visage, je sus exactement quand les doigts atteignirent leur but. La caresse dura un moment et Corinne se laissait doigter. Amélie arriva à ce moment précis. Elle vint m’embrasser et vit le visage de sa mère, congestionné, sa position, mains sur la table et jambes écartées et vit à ce moment la main de sa sœur sous la robe. Elle passa derrière elle et souleva le vêtement, découvrant que sa mère portait des bas, et une bien jolie culotte.

« Maman, tu es super sexy comme ça.  »

Amélie lui fit un bisou sur la joue tandis que sa main empaumait un sein. Cela suffit à déclencher la déferlante qui gonflait en elle. Cette fois-ci, c’est Amélie qui récolta son nectar. La culotte était vraiment trop trempée pour qu’elle la garde. Amélie la lui ôta en précisant.

« Tu ne peux pas garder une culotte trempée comme ça. Au juste, nous serons toutes à égalité ainsi.  »

Elle se releva et souleva son t-shirt pour montrer qu’elle aussi était nue dessous. On resta ainsi toute la journée. Charlène ou Amélie jouant à caresser les fesses de Corinne quand elles étaient à portée. Et Corinne qui s’y mettait également. Tout le monde se rhabilla pour nous accompagner, Amélie et moi à la gare. Mais Corinne resta sans culotte, à la demande de ses filles. Seconde semaine de stage. Rien de particulier à signaler,  je devais juste rappeler Nicole pour confirmer ma venue samedi. Retour à Saint Malo le vendredi soir et j’appelais Selma pour lui préciser à quelle heure elle devait être à la gare. C’est Francis qui m’emmena à la gare ce matin-là. Il devait acheter une composition florale pour la Saint Valentin. Il osa me demander ce qu’il s’était passé le week-end dernier car il avait retrouvé sa femme plus amoureuse que jamais. Avant de me laisser répondre, il ajouta.

« Non. Ne dis rien. Je préfère ne pas savoir. Mais le résultat est vraiment concluant.  »

Selma m’attendait dans le hall de la gare avec sa maman, Vika. Je ne pense pas vous avoir présenté Vika. Elle est néerlandaise d’origine, d’Amsterdam pour être plus précise. C’est là-bas qu’elle a rencontré Bernard qui deviendra son mari et le père de Selma. C’est une très belle femme, blonde, avec un joli grain de beauté près de la lèvre. Elle me confia sa fille et me demanda la prudence. C’était la première fois qu’elle confiait la chair de sa chair. Je lui promis de veiller sur elle comme si elle était la petite sœur que je n’ai jamais eue. On monta dans le train et d’office, Selma s’est installée près de la fenêtre. Elle prit ensuite ma main pour la poser sur ses cuisses.

Impossible de la récupérer, elle la tenait à deux mains. Enfin, surtout une. Je sentais ses doigts qui bougeaient en cadence. La coquine était en train de se caresser. Elle tira ma main vers son entre cuisses pour que mes doigts  reprennent ce qu’elle avait commencé. Je m’exécutais avec joie. Tout doucement, elle releva le bas de sa jupe écossaise. Dessous, elle portait une paire de collants en laine.

Selma plaça ma main sous sa jupe avant de la rabattre le plus possible. Je sentais beaucoup d’humidité sous mes doigts. C’est sa culotte de coton que j’effleurais. Elle m’expliqua plus tard qu’elle avait elle-même décousu l’entrejambe pour accéder directement à sa culotte, puis à sa fente. La tête contre la vitre le plus souvent, on aurait pu croire qu’elle dormait, si ce n’était les frémissements qui traversaient son corps à intervalles réguliers. Je stoppais mon doigtage dès que je la sentais prête à exulter. Je reprenais ensuite et la maintenais dans un état de manque. Connaissant parfaitement le trajet, je savais que nous arrivions bientôt. Pas, question de la faire jouir ici. Je me levais pour remettre ma veste et je fus (légèrement) bousculée par une jeune fille qui s’excusa. Je laissais passer Selma et je restais bien derrière elle. Une secousse un peu plus violente que les autres. Selma fut obligée de poser sa main sur l’épaule de la jeune fille (qui m’avait un peu bousculée) et approcha son visage de son oreille pour s’excuser, je pense.

En fait, non. Elle la remerciait au contraire. Cette jeune fille avait tout de suite compris pourquoi Selma se contorsionnait sur son siège. Elle avait fait en sorte de se placer juste devant elle dans la file d’attente pour sortir, et mis sa main derrière elle. Juste à la bonne hauteur pour caresser l’intimité de Selma qui rêvait de jouir enfin. Ce qui ne tarda pas à arriver rapidement. Je n’ai su tout cela que bien plus tard. Dommage, j’aurais aimé participer aussi, et, pourquoi pas, prendre les coordonnées de la jeune fille, on ne sait jamais. Arrivées à Rennes, nous étions en avance pour le rendez-vous. Je proposais à Selma de faire du lèche-vitrine. Elle accepta, trop contente. C’était la première fois pour elle, sans sa mère, et dans une grande ville. On se promenait sans but précis, jusqu’à ce que je me rende compte qu’on était près du magasin d’Élodie, une enseigne très connue de lingerie et vêtements. Je guidais Selma vers la devanture. Ses yeux brillaient devant les modèles affriolants.

« On entre ?  »

Elle baissa la tête et me suivit. D’un signe de la main, je fis comprendre à la vendeuse de me considérer comme une cliente lambda.

« Bonjour, Mademoiselle.  »

« Bonjour Madame. En quoi puis-je vous être utile ?  »

Nous étions déjà dans les rayons et les deux seules « clientes » de la boutique.

« J’aimerais renouveler la garde-robe de cette jeune fille. Les sous-vêtements en coton, c’est pour les gamines. Selma, montre lui ce que tu portes.  »

Selma rougissait de plus en plus en écoutant mes paroles et baissa la tête pour finir, incapable de bouger.

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