C’est elle l’aînée et elle se doit de donner l’exemple aux plus jeunes. Sabina, 16 ans, la remplace auprès des plus jeunes quand elle est en cours. Comme sa jeune sœur, elle est passionnée de culture française, les grands auteurs comme Alexandre Dumas, Victor Hugo ou Émile Zola. Max m’affirma, en me voyant l’épier quand il parlait d’elle, qu’il n’était nullement amoureux d’elle. Simplement, il l’avait prise sous son aile, car elle lui rappelait trop sa petite sœur. Il l’avait aidée autant que faire se peut. Mais n’avait rien pu faire le jour de son examen pratique. Justement, elle s’approcha de nous, les yeux rougis par les pleurs. Elle savait pertinemment ce qu’elle avait raté mais espérait tout de même un miracle. Pourquoi pas ? Elle avait prié, catholique pratiquante, mais le miracle n’eût pas lieu. D’ailleurs, elle avait décidé de mettre un terme à ses études. Ses parents s’étaient saignés aux quatre veines pour qu’elle puisse apprendre un métier qui lui permettrait de les mettre tous à l’abri du besoin mais elle avait échoué. C’est ce qu’elle nous dit, les larmes aux yeux.
Max et moi, on a essayé de la raisonner, mais elle était bien décidée. Pourtant, au vu de ses notes à l’écrit, il lui suffisait de patienter trois mois pour se représenter en tant que candidate libre. Ou bien … Une idée commença à germer dans ma tête mais là, j’avais encore besoin d’infos de la part d’Armance. Je m’éloignais légèrement afin de l’appeler. Elle ne fit que confirmer ce que je pensais. Elle m’en apporterait la preuve écrite, pour confirmation. Je laissais Max retourner dans sa chambre pour faire ses bagages et je restais avec Rahela. Je lui expliquais en trois mots la raison de ma visite en Roumanie. Et que j’avais également quelque chose à lui proposer. Pour cela, elle devait venir le lendemain chez la DRH, je lui donnais l’adresse, pour parler de son avenir. Et celui de sa famille également. Réticente au début, elle finit par accepter le rendez-vous. Je l’invitais à venir après le repas de midi. Max arriva à ce moment avec ses bagages et ce fut les effusions de câlins, puisqu’ils ne pensaient plus se revoir. Max avait appelé un taxi auquel je donnais l’adresse de notre hôte. Durant le trajet, j’expliquais pourquoi nous ne partions pas directement. Armance voulait profiter de lui encore un peu. Il comprit à demi-mots que moi aussi, je profiterais d’elle, et de lui également. À voir son sourire ravageur, le programme semblait lui plaire. Je le rassurais malgré tout que tout cela resterait entre nous, même Betty n’en saurait rien.
Sauf si elle venait à lire mon blog, lol. Je rassure mes lectrices et lecteurs, ils se sont revus, se sont retrouvés et se sont racontés chacun la façon dont ils avaient été recrutés. Aucun malaise entre eux, ils sont en couple, désormais. Armance nous attendait impatiemment, elle nous désigna nos chambres respectives, sachant pertinemment qu’un seul lit servirait ce soir. Le sien. Je demandais à prendre une douche, elle m’indiqua la salle de bains et m’accompagna pour me fournir serviettes et produits. Seules toutes les deux, impossible de résister à l’envie de la caresser. J’empoignais ses seins majestueux et je commençais à les malaxer. Elle ne put résister elle non plus et se laissa manipuler, trop heureuse de me retrouver. De ressentir à nouveau ces sensations que seules des mains de femme peuvent te procurer. C’est une sensation unique, l’impression de se caresser soi-même, mais à l’aide de mains extérieures, que l’on dirigerait par la pensée. Aucun mot prononcé, mais toutes les envies satisfaites. C’est vraiment hallucinant. Seules des femmes qui ont eu des relations saphiques savent de quoi je parle. En est-il de même pour les hommes entre eux ? Je l’espère. De caresses en pelotage mammaire, je la dirigeais vers la douche. Max, un peu las de nous attendre tout seul, passa la tête par la porte que j’avais laissée entrouverte. Je lui fis signe de nous rejoindre. En deux mouvements, il fut nu comme au premier jour. Il se plaça face à moi, prenant Armance en sandwich.
Sa queue ne tarda pas à trouver sa taille maximale et finit par retrouver le chemin de la grotte tant convoitée. Il commença à donner des coups de reins qui soulevaient Armance. Elle décollait, au propre comme au figuré. J’essayais de la maintenir, m’agrippant à ses seins magnifiques. Quel bonheur, quel réel plaisir que de voir une femme jouir totalement. Elle se livrait entièrement à nos caresses, nos désirs, nos envies. Elle se tourna vers moi pour m’offrir sa bouche, me remercier pour ce nouvel orgasme. C’était sans compter avec l’étalon qui restait en pleine possession de ses moyens. Près à lui en remettre une bonne dose. Et c’est son cul qu’elle lui présentait innocemment. Enfin, j’en doute un peu. Il réinvestit cette chatte si accueillante, chaude et humide. Ne dit-on pas que, par derrière, on gagne trois centimètres ? Juste ce qu’il manquait pour atteindre la matrice. Il aurait pu se satisfaire de cela mais elle était trop bandante à tortiller du cul. Un appel flagrant à la sodomie. Il sortit de sa fente baveuse pour s’intéresser à son petit trou. Doucement, mais fermement, il pénétra cet antre si peu visité. Elle était serrée, Armance, presque vierge. Je titillais son clito pendant qu’il l’enculait. C’est en silence qu’elle finit par jouir, une énième fois. Incapable de sortir un seul mot. Max ne put se retenir et lui remplit le cul de sa semence, prolongeant d’autant son orgasme.
On finit de se laver, on se sécha mutuellement avant de sortir dîner. Armance avait réservé dans un grand restaurant. C’est au cours de ce dîner que j’expliquais en détail les termes du contrat à Max. Max sera en contrat avec ma société pendant trois mois, le temps qu’il se fasse une clientèle. Ensuite, je l’aiderais à créer son entreprise, salon de massage, kiné ou salle de fitness, selon sa volonté et les demandes des clientes. Je lui précisais bien que ce ne serait presque exclusivement des clientes. Avec, pour certaines, des demandes particulières qu’il devrait respecter. Je glissais ma main entre ses cuisses pour appuyer mes dires, et j’y trouvais la main d’Armance qui, déjà, lui massait la queue. Excité par nos caresses, il porta lui aussi ses mains entre nos cuisses respectives. Avant de partir, Armance et moi avions ôté notre culotte, si bien que Max fut surpris, mais ravi, de pouvoir nous doigter librement.