Été 2020 (12/30)

Il me suivit dans la cuisine et je pensais qu’il allait retourner au fournil. C’était bien son intention mais avant, il souleva mon maxi-tee-shirt pour caresser mes fesses. Très vite, il se frotta à moi et son sexe trouva le chemin vers mon intimité. Il me fit jouir très fort et très vite. C’était merveilleux. J’avais très peur que son fils nous surprenne mais cela était tout aussi excitant. Le risque donne de l’adrénaline. Je ne pense pas qu’il nous ait vus, mais il pouvait nous avoir entendus. Mais il n’en a rien laissé voir. Je l’accompagnais jusqu’au ponton où ses copains l’attendaient. Il semblait très fier de se présenter à mes côtés devant eux. Je suis retournée à la boulangerie pour m’occuper de Lucie jusqu’à ce que sa maman se lève à son tour. Je rentrais par la boutique, cette fois, et je saluais la vendeuse qu’il était déjà là. Gaëtan arriva à son tour pour remplir les casiers de pains bien chauds. Je passais dans l’arrière-boutique pour rejoindre l’appartement de Fanny. Gaëtan m’avait suivie de près, il avait les yeux emplis de désir. Je ne pouvais décemment pas lui offrir ce qu’il souhaitait mais, en compensation, je me suis accroupie devant lui pour lui offrir une bonne fellation, dont j’avais le secret. À un moment, je l’ai senti qui se crispait. J’ai cru comprendre que la vendeuse était en train de nous observer. Il se détendit de nouveau lorsqu’elle retourna dans la boutique. Et c’est heureux comme un pape que Gaëtan retourna près de Joël et d’un autre ouvrier que je ne connaissais pas. Pas encore, lol.

Je retournais m’allonger auprès de Fanny qui, je le pensais, dormait encore. Dès qu’elle a senti ma présence, elle a saisi ma main pour la poser entre ses cuisses. Je comprenais parfaitement le message. Je me suis glissée hors du lit pour me retrouver entre ses cuisses. Ma bouche est alors entrée en action jusqu’à l’orgasme dévastateur. Elle me serra ensuite contre elle, déplorant de ne pouvoir me donner autant de plaisir que je lui donnais. Je lui répétais que j’étais très heureuse ainsi et que Joël me rendait tout le plaisir que je lui donnais, à elle. Je lui précisais que j’avais d’autres compensations avant de lui parler de la fellation que j’avais donnée à son apprenti. Elle me regarda, surprise que je puisse m’intéresser à de très jeunes garçons. Je lui parlais alors de Léandre, de Romuald et d’Alex, pour qui j’avais été un fantasme, et qui avait pu enfin me faire l’amour, quelques années plus tard. J’osais même lui parler de la douche, prise avec Gaëtan et ses copains. Pendant que je lui racontais tout cela, j’avais bien évidemment ma main entre ses cuisses et elle a joui plusieurs fois. Surtout avec l’épisode de la douche, au camping, avec Gaëtan et ses potes. Elle se leva, les sens apaisés, nous avons pris notre douche ensemble et elle s’est ensuite occupée de sa fille. J’avais rendez-vous avec Marie-Rose qui devait m’emmener dans sa boutique de fringues favorite. J’arrivais près de son bungalow juste à temps pour voir Céline qui en sortait. Je n’étais pas la seule à l’observer. Josiane, elle aussi, l’avait parfaitement vue sortir de chez Marie-Rose. Quand elle me vit, elle me fit un signe, haussant les épaules et les bras ballants et qui semblait dire.

« Quelle salope, celle-là ! Il lui faut sa dose, chaque jour.  »

Marie-Rose n’avait même pas eu le temps de remettre sa robe quand je frappais à sa vitre. Elle vint m’ouvrir telle qu’elle était, seins nus et offerts à mes caresses. Et je ne m’en privais pas. Par la baie vitrée, j’aperçus Josiane qui nous observait de loin. Intéressée, la jeune fille ? Je commençais à la téter avidement, elle adorait ça, la coquine. Elle répétait sans cesse que cela lui rappelait sa jeunesse, lorsqu’elle donnait le sein à son fils. C’est à ce moment-là que je lui disais que, moi aussi, j’avais aspiré les tétons de Fanny et que j’avais pu boire un peu de lait maternel. Marie-Rose sembla visiblement très intéressée pour y goûter, elle aussi. J’étais certaine que Fanny ne serait pas contre. Bien au contraire. Je finis par allonger Marie-Rose sur sa banquette pour la faire jouir intensément. Elle a mis un peu de temps à se remettre. Elle s’est rhabillée et nous sommes allés au magasin où elle achetait ses robes. C’était une petite boutique qui ne payait pas de mine, vue de l’extérieur, mais en y entrant, je m’y suis sentie immédiatement comme chez moi. L’ambiance colorée et parfumée, un parfum de patchouli qui était diffusé et une musique d’ambiance qui invitait à la méditation. Une jeune vendeuse nous accueillit chaleureusement, elle connaissait évidemment Marie-Rose qui venait régulièrement.

Nous avons fait le tour des portants et j’ai repéré deux ou trois robes qui me plaisaient bien. J’avais bien sûr prévu qu’il y aurait des essayages et je ne portais qu’un léger débardeur et une mini-jupe. Une envie soudaine et j’ôtais mon petit haut avant de passer la robe par-dessus ma tête. Une fois en place, bien ajustée, je fis descendre ma mini-jupe. La vendeuse s’approcha de moi pour m’indiquer les cabines d’essayage. Je lui répondais que nous n’étions que nous trois et que cela ne me dérangeait pas. Puis, je lui demandais à elle si cela la gênait. Elle me répondit que non, avec un petit rire gêné tout de même. Ni une, ni deux, je baissais légèrement le haut de la robe pour lui présenter de nouveau ma poitrine. Elle la fixa intensément, sans pouvoir dire un mot. J’en fis de même avec la robe de Marie-Rose. Et la vendeuse tourna la tête vers mon amie. Elle ne savait plus où donner de la tête. Sans se concerter, Marie-Rose et moi, je prenais sa main pour la poser sur mon sein, Marie-Rose avait fait de même. Et la jeune vendeuse ne refusa nullement, même quand je lâchais sa main, elle resta bien en place. Je posais alors gentiment ma main sur ses petites fesses pour y trouver celle de Marie-Rose. Nous avions les mêmes envies.

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