Elle ne pouvait utiliser ses mains qui étaient bien occupées à branler des queues bien raides. Qu’à cela ne tienne, elle fit entrer le gland en elle par une manœuvre de ses hanches. Idrissa ne bougeait plus, laissant la femme blanche impatiente s’empaler d’elle-même sur le pieu. La queue, parfaitement lubrifiée, pénétrait lentement le corps de sa victime d’un soir. Il pensait « victime » mais Katia était entièrement consentante. C’est elle-même qui s’empalait sur la queue monstrueuse. Aucun son ne pouvait sortir de sa bouche, tellement elle était prise par les différentes sensations qui l’envahissaient. Serait-elle la même après cette soirée ? Physiquement non, certainement. Mais mentalement aussi. Elle, et son mari également, avait franchi une étape, un pas d’importance. Plus rien ne serait jamais comme avant. Et c’est tant mieux. Dans la douce brume émanant des corps en chaleur, elle apercevait parfois son mari, pris par le cul, et par la bouche. Et, comme elle, ses mains donnaient du plaisir à qui en voulait. Prise totalement dans l’ambiance, je n’avais pas remarqué qu’une femme s’était agenouillée devant Edna et lui dévorait la chatte. Ma nouvelle amie l’avait laissée faire et se tordait de plaisir sous les coups de langue de cette femme qui avait soulevé la robe pour mieux s’agripper aux fesses de la jeune serveuse.
Un homme s’approcha par derrière et se mit à lui bouffer la rondelle. Edna était au paradis, du moins, elle n’en était pas loin. Je laissais les deux pervers s’occuper d’elle. Jeux de langue n’est pas interdit, quand c’est du plaisir qu’ils donnent. Roland était toujours pris de tous bords. Une jeune femme, fluette, s’accroupit devant lui et goba sa queue qui bandait dur. En fait de jeune femme, il s’agissait d’une transsexuelle. Il, ou elle, se redressa pour s’empaler sur la queue bien dressée. Les jambes bien écartées, une main au sol pour se maintenir en position et de l’autre, il se branlait. Sa poitrine à peine développée était déjà plus grosse que la mienne. Roland lâcha une des queues qu’il masturbait pour s’agripper à cette jeune poitrine. La queue abandonnée trouva rapidement une bouche disponible, celle du jeune trans. Tous étaient comblés, et moi la première devant le spectacle vivant offert par tous les protagonistes. Idrissa, sentant son plaisir prêt à exploser, rejeta Katia qui tomba à ses pieds. Les femmes présentes, et aussi quelques hommes, avaient compris la raison et faisaient cercle, à genoux devant le monstre qui continuait à se masturber. Telle l’eau sortant d’une lance à incendie, il éjacula enfin longuement, arrosant les visages à sa portée. Cette semence fut ensuite partagée de bouche en bouche.
L’homme derrière Edna se releva et se présenta à moi comme le gérant de l’établissement. Il me présenta également sa femme quand elle se leva à son tour, le visage maculé de la mouille odorante de ma jeune protégée. Il nous guida tous les quatre vers un salon privé. Roland et Katia suivaient, toujours au bout de la laisse. Via l’interphone, il commanda une bouteille de champagne, nous assurant qu’il prenait tout à sa charge. Il voulait nous remercier à sa façon pour avoir animé une bonne partie de la soirée. C’était très rare que de nouveaux membres s’impliquent autant pour une première fois. Il voulut tout de même vérifier si Edna était vraiment mineure, comme je l’avais affirmé. Je le rassurais en demandant à la jeune serveuse de lui dire elle-même son âge. C’était juste une astuce pour que tous ne lui sautent pas dessus. En sortant, il nous laissa son épouse. À nous de l’utiliser comme bon nous semblerait. Il précisa que c’était une très bonne lécheuse, prenant Edna à témoin. Je me levais pour m’approcher d’elle et je récoltais sur ses lèvres les restes du plaisir qu’elle avait déjà donné. Je défis sa robe qui tomba au sol et je l’attirais entre mes cuisses.
Edna caressait ma poitrine amoureusement, Katia s’occupait de celle de la patronne et Roland commença à lui bouffer le cul. Il faut dire que c’était réellement une bonne suceuse. Mon plaisir monta rapidement. Un peu trop vite. Je levais sa tête pour la regarder droit dans les yeux quand Roland lui pénétra le fondement. Elle devait être habituée à être prise ainsi, sans préparation, ou presque. Le patron revint à ce moment avec une seconde bouteille. C’est Katia et Edna qui s’occupèrent de le remettre en forme. Puis, Katia s’empala sur la queue, face à lui. Il la tenait par les fesses, ce qui avait pour effet de les écarter, dévoilant la rosette frétillante. Edna, qui avait bien apprécié la caresse du patron, se chargea de rendre la pareille à Katia. Ce fut un concert de soupirs et de gémissements jusqu’à l’explosion finale. Tous se rafraichirent avec la boisson aux mille bulles. La femme du patron me souffla une idée à l’oreille que je mis aussitôt à exécution. On vida la table basse des verres et bouteilles et j’ordonnais à Edna de s’allonger. J’arrosais son corps de champagne et tous se mirent à la lécher, récoltant la précieuse boisson. Pris par le jeu, le patron fit venir une autre bouteille.
Je me plaçais cette fois entre les jambes de la jeune serveuse pour lui bouffer la chatte, arrosée de champagne. C’était véritablement exquis. Je dois vous avouer que c’était la première fois que je goûtais à une chatte de black. L’occasion ne s’était jamais présentée. J’avais bien sûr rencontré des jeunes filles de couleur, au lycée, puis à l’université. J’avais même fait du sport avec elles. J’avais pu remarquer que, très souvent, elles dégageaient un parfum très fort, une odeur entêtante. Pas désagréable, mais simplement différente. J’avais adoré les admirer, dans les douches communes. Je ne suis ni raciste, ni xénophobe, vous le savez bien. Pour une première fois, je dois vous dire que j’ai adoré. Et toute prête pour de nouvelles expériences. Nous avons quitté le club au petit matin, ivres de plaisir. En promettant de revenir souvent. Edna nous a guidés jusqu’à son appart. Nous avons échangé nos numéros de téléphone, lui promettant de la recontacter à ma prochaine visite à Lyon. Ce qui ne saurait tarder, vu comment Katia me dévorait déjà des yeux.