Janvier 2015 (03/15)

« Ici, c’est une caméra haute définition. Donc, je peux te garantir qu’il a tout vu de toi, en gros plan. Autre chose, nous ne sommes que deux, trois avec toi maintenant, à savoir que cette caméra existe. Si quelqu’un vient me voir à ce sujet, je saurais que tu as parlé. Et tu seras sévèrement punie pour cette trahison.  »

 » Bien compris ?  »

« Oui, Madame.  »

« Rhabille toi maintenant, et retourne dans la salle de formation. Il te reste beaucoup à apprendre. Mais je suis contente de toi, tu es très obéissante, et j’apprécie énormément les soumises comme toi.  »

Elle l’embrassa furtivement avant de sortir et de la conduire dans la bonne salle. Une petite claque sur les fesses et elle retourna à son bureau. Francine apprit plus tard qu’elle avait demandé une copie de la vidéo au vigile, et qu’elle la regardait très souvent, à l’abri, dans son bureau.

« Ma pauvre chérie, tu me donnes encore envie de te faire visiter les paradis de Sappho.  »

Elle baisse les yeux, et, … Écarte les cuisses pour m’inviter à venir. Elle est maintenant au bord du lit, les jambes pendant dans le vide, souriante mais tendue. Je m’agenouille devant son entrejambe, j’ai une vue splendide sur sa délicieuse petite chatte déjà pleine de mouille. J’en profite pour l’admirer. Elle est si belle, et désirable, sa foufoune. C’est ainsi qu’elle la nomme. Je n’en peux plus, j’ai besoin de la goûter, encore une fois. Je me précipite pour la lécher, je récolte son jus d’amour avec ma langue. Elle est délicieuse, il m’en faut plus. Je joue avec ses lèvres avant d’aller titiller le clitoris. Il est déjà très gonflé. Elle gémit, cela m’excite de lui faire du  bien. Je veux aller plus loin, je veux la rendre folle avant de la faire jouir de nouveau. Je veux qu’elle se souvienne de ce moment pendant longtemps, car moi, je ne risque pas de l’oublier. Je redescends pour la pénétrer avec ma langue, je vais aussi loin que je peux aller comme si c’était une bite. J’aspire pour avaler sa cyprine qui coule abondamment, puis je ressors pour parcourir à nouveau les lèvres juteuses. J’évite autant que je peux les zones érogènes, je cherche à la frustrer un peu. Je tourne autour de son clito sans jamais le toucher. Lorsque je le sens à l’agonie, je la prends par surprise en le lui pinçant avec mes lèvres avant de le sucer. Son corps ondule sous les sensations. Je fais monter son plaisir avant de l’abandonner à nouveau pour lui laisser le temps de se calmer. Je répète mon manège plusieurs fois en m’assurant de lui refuser l’orgasme. Elle me laisse entièrement faire. Elle ne dit rien, ne m’encourage pas, ni ne se plaint. Elle me fait entièrement confiance. Je lève les yeux pour observer ses réactions. J’ai d’ici, une vue splendide sur sa poitrine magnifique. Je cesse mes caresses buccales et je passe à l’étape supérieure. Je retire une de mes mains qui lui caressaient les cuisses et la remonte vers sa chatte pour enfoncer mes doigts dedans. Je démarre doucement, en faisant du va-et-vient, puis j’accélère le rythme au fur et à mesure. Je les courbe comme pour chatouiller l’intérieur de la chatte, trouver son point G. Je vais super vite comme pour chercher à la baiser. Elle mouille tellement que mes doigts font des bruits de clapotis.

« Aaaah! Oui ! S’exclame-t-elle. Steffiiiiiiiiiie !  »

Elle n’arrive plus à tenir en place, elle gigote dans tous les sens. Je retourne sur son clito avec ma bouche. Je le fais vibrer violemment avec ma langue tout en la fouillant avec mes doigts. Je ne cherche plus à jouer avec elle, mais à la finir. Déjà, je sens qu’elle n’en peut plus. Elle semble lutter quelques instants, son corps se fige quelques secondes, puis elle explose soudainement en poussant un cri de jouissance.

 » Aaaaaaaah ! Ouuiiiiiiii! ! Steffiiiiiiiiiiiie !  »

Je suis assez fière de moi. Je suis très heureuse de savoir que je suis l’instigatrice de cet orgasme. Elle convulse tellement que je ne peux plus rester le visage collé à sa vulve brûlante, tout juste si je parviens à garder mes doigts dans son conduit.

« Jouis, ma chérie. Profites de ton plaisir. Tu le mérites. Et tu es si belle quand tu jouis.  »

Je finis par sortir mes doigts pour la laisser profiter pleinement de ce moment et la laisser redescendre doucement. Je restais près d’elle à la maintenir légèrement, de peur qu’elle ne tombe du lit. Après un long moment de silence, de câlins, elle me raconta la suite de son récit. Dès le soir même, elle avait appelé Geneviève pour la tenir au courant. Elle lui avait conseillé la prudence, et de porter son plug à la prochaine visite chez la DRH. Cette seconde convocation n’intervint que le vendredi suivant, dernier jour de sa formation. Elle passa aux toilettes après le repas pour ôter ses sous-vêtements et insérer son plug. Ainsi équipée, elle se présenta devant Fabienne. Bien évidemment, elle releva sa robe directement pour lui permettre de constater que ses consignes étaient respectées. Par contre, quand elle se retourna pour lui présenter son cul, Fabienne lui posa immédiatement la question au sujet du bijou.

« Hummm ! Intéressant. Je vois que tu portes un plug. Que signifie le  » G » ?  »

« C’est le symbole de mon appartenance à ma Maîtresse, Geneviève ».

« Ah ! Ta Maîtresse. Tu lui as parlé de moi ?  »

« Oui, bien évidemment. Et elle m’autorise à jouer les soumises avec vous également, tant que cela reste raisonnable, et surtout entre femmes. Jamais d’hommes.  »

« Bon, bien. C’est Bienvenue qui va être déçu.  »

« Justement, pourriez-vous lui dire de ne pas insister avec moi ? Une plainte pour harcèlement sexuel ferait tâche à votre société.  »

« OK. À genoux, tout de suite. Et viens me faire jouir.  »

Les choses ayant été mises au point, tout se passa mieux pour elle. Elle avait dû supporter la main baladeuse du vigile dès le mardi, quand elle a dû aller chercher son badge dans son bureau. Il avait glissé sa grosse main sous sa robe pour lui peloter les fesses, malgré ses protestations.

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