Papa resta adossé à son arbre, sous les feuillages, et nous étions juste devant lui. Il pouvait disposer de nous comme il le souhaitait, glisser ses mains sous nos jupes, ou bien sous nos maillots. Nous avons assisté à la fin du spectacle pyrotechnique à cette même place. La foule commença à s’éclaircir dès le bouquet final et nous avons pu apercevoir maman et Jérôme, avec les enfants. Nous sommes rentrés à pied, papa portait mon fils et Jérôme sa plus jeune fille. Je n’ignorais pas qu’Ingrid était toute nue sous sa jupe, et que sa culotte, je l’avais cachée dans la poche du pantalon de papa. Jérôme et sa famille sont rentrés chez eux aussitôt arrivés à la maison. Ils reprenaient le travail le lendemain. Dès le matin pour Jérôme, Ingrid ne reprenant que l’après-midi. C’est d’ailleurs elle qui prit le volant pour rentrer, cette nuit-là. Ceci n’était que le début de mes aventures avec mon Maître, vous imaginez bien que ce n’est pas fini. J’aurais dû conclure ce chapitre à ce moment-là mais j’ai pensé qu’il était préférable de rapporter maintenant ce que mon frère m’a avoué quelques semaines plus tard. Ce qui s’était passé avec maman, entre elle et lui. Je n’étais pas auprès d’eux, puisque j’étais un peu plus loin, derrière, avec Ingrid et papa. Je n’avais donc rien vu de ce qui s’était réellement passé.
Il était revenu avec les glaces dans ses mains pour les enfants. Il avait remarqué très vite que maman n’était pas du tout à l’aise, un peu trop serrée de près par un homme qui se frottait à elle. D’un simple regard noir, sans un mot, Jérôme l’avait fait partir pour prendre sa place derrière maman, et la protéger ainsi d’un nouveau pervers. Elle avait juste tourné sa tête vers son fils pour le remercier de son intervention. Puis, rassurée, elle ne s’était plus occupée que des enfants devant elle. Dès le début du spectacle pyrotechnique, un mouvement de foule les a rapprochés, l’un et l’autre. Impossible de faire autrement. Maman avait alors posé ses mains sur la rambarde, devant elle, pour ne pas écraser les enfants. Jérôme m’expliqua qu’il s’était retrouvé collé contre les fesses de maman, sans pouvoir s’en décoller. Au juste, c’était très agréable pour lui et maman comprenait qu’il n’y pouvait rien. Le problème, quand on est un homme, c’est que cela n’était pas sans conséquence. Il se mit à bander très fort et maman ne pouvait ignorer ce qui grossissait contre ses fesses. Elle bougea ses fesses pour positionner le bâton de chair confortablement, pour elle comme pour lui. Cela sembla le calmer un moment. Après les illuminations dans le ciel, le spectacle continuait au sol, avec des chandelles romaines et autres fusées. Ce fut l’occasion d’un nouveau mouvement de foule et Jérôme dut, cette fois-ci, poser ses mains sur les hanches de maman, pour éviter de l’écraser de son poids. La pression se fut plus forte et maman, inconsciemment, augmenta encore les effets en se frottant ostensiblement sur sa queue. En voulant le calmer comme précédemment, elle n’obtint que l’effet inverse.
Une envie irrépressible s’empara alors de lui et ses mains remontèrent inexorablement vers la poitrine maternelle. Elle ne pouvait pas se défendre, d’ailleurs, l’aurait-elle voulu ? Ce n’était pas sûr. Sa libido s’était réveillée depuis qu’elle avait enfin pu avouer sa relation incestueuse avec son frère. Certes, elle ne l’avait plus revu depuis des mois et elle se sentait enfin libérée de ce poids qui pesait sur sa conscience depuis des années. Elle laissa donc son fils caresser ses seins et elle continuait à se frotter contre sa queue qui semblait impressionnante. Un coup d’œil à droite et à gauche, tout le monde autour d’eux avait le regard vers les cieux illuminés. Personne ne faisait attention à ce qu’ils faisaient. Jérôme en profita pour relever la robe jusqu’à sa taille et, dans un même temps, il sortit sa queue, un peu trop à l’étroit dans son pantalon. Il promenait maintenant librement sa queue sur la fente de sa mère. Pour être totalement exact, lui ne bougeait plus. C’était elle qui se frottait sur ce monstre. Lui, il avait juste repris ses seins entre ses mains et s’accrochait à elle. Dire que maman était en manque serait un peu exagéré. Papa la comblait tous les soirs. Mais la situation présente lui rappela une autre soirée identique, où Roger l’avait baisée pendant un feu d’artifice. Ce souvenir était remonté dans sa mémoire et le revivre avec son fils devint une nécessité. Elle se positionna de façon à s’empaler entièrement sur la queue qui ne débandait pas. Il était enfin en elle et elle se déchaina, d’avant en arrière, pour faire jouir son fils en elle. Pour Jérôme, c’était un fantasme de jeune homme qu’il réalisait enfin. Notre mère s’était toujours occupée de nous, de très près. Jusqu’à nous laver, tous les deux, ensemble. Jusqu’au jour où Jérôme se mit à bander entre ses mains. Je n’en avais rien su, à l’époque, mais ce fut la dernière fois où j’ai pu me laver avec mon grand frère. Jusqu’à ce que nous devenions amants.
Maman nous lavait séparément et prenait toujours soin d’éviter la queue de son fils. Elle le chargeait de nettoyer lui-même cette partie de son anatomie. Et aujourd’hui, cette nuit, cette queue qu’elle avait tenue, petite, était devenue adulte et la labourait intensément. C’était tellement fort, pour les deux, que la jouissance arriva très vite. Trop vite. Jérôme regarda de nouveau autour d’eux et sembla rassuré de voir tout le monde, les yeux au ciel. Pas tout le monde, hélas. À quelques mètres d’eux, une jeune fille, 15 ou 16 ans, pas plus, les observait attentivement. Elle lui fit un sourire complice quand il se dégagea et rentra sa queue dans son pantalon. Elle paraissait avoir tout vu, tout compris. Mais son sourire n’était nullement menaçant. Jérôme préféra lui sourire à son tour et il oublia très vite cet incident. Maman n’avait rien vu de tout cela mais elle aussi regarda autour d’elle si elle reconnaissait quelqu’un. Personne de sa connaissance. Pleinement rassurée, elle ne s’occupa plus que des enfants et de la fin du spectacle pyrotechnique. Jusqu’au retour à la maison.
Jérôme et sa famille partis, je montais dans ma chambre et n’en ressortais que le lendemain pour prendre mon petit déjeuner avec maman. Ensuite, direction Angers et mon travail. Ce week-end eut des conséquences inattendues pour toute la famille, mais je vous en reparlerais un peu plus tard.