Saint-Sylvestre 2014 (15/15)

Je posais ses pieds au sol, bien écartés, et je me plaçais entre ses cuisses.

– Maman, tu me ferais un très grand plaisir si tu me montais ta poitrine, encore une fois.

Elle ouvrit les yeux pour regarder à droite et à gauche, inquiète.

J’ajoutais.

Roger est dans sa chambre, sûrement à jouer sur son ordinateur, on est toutes seules.

Convaincue, elle ouvrit elle-même son corsage et elle défit son soutif. Je dégageais ses deux magnifiques globes, un bisou sur chaque, avant de tirer sur sa culotte pour la lui ôter. Elle souleva ses fesses et elle se laissa déshabiller. Je commençais à lécher son nectar qui s’écoulait doucement de sa fente. Puis, ma langue s’occupa de son clito qui ne demandait qu’à sortir. Je suçais et aspirais son bouton d’amour et je récoltais au fur et à mesure, son jus qui s’écoulait. Elle se caressait les seins, faisant dresser ses tétons.

Toute à son plaisir, et à son orgasme naissant, elle ne vit pas tout de suite le troisième acteur. Roger s’était approché et, sans se cacher, la filmait en train de prendre son pied. Quand elle le vit enfin, il était trop tard, elle ne pouvait plus revenir en arrière. Elle essaya de pousser ma tête mais je tenais à la faire jouir. La bouche ouverte, elle cherchait un second souffle. Roger s’approcha, en baissant son short, et lui présenta son sexe bandé bien droit. Elle tourna la tête une fois, puis une seconde fois. La troisième fois, elle l’avala enfin, y joignant les mains, pour le plus grand plaisir de Roger.

Il continuait à filmer, sa mère qui le suçait, sa sœur qui bouffait la chatte de sa mère, et lui qui pelotait enfin la poitrine généreuse qui l’avait si bien nourri. Ma mère, Sylvia, eut son premier orgasme sous les yeux de la caméra. Je continuais à la bouffer pour y trouver moi aussi mon propre plaisir. Roger sortit de la bouche avant de venir et continuant à filmer, se mit accroupi près de moi. Il pouvait voir maintenant ma bouche qui œuvrait sur la chatte maternelle. Il releva ma jupe et me doigta pour me faire monter au septième ciel. Je réussis à faire jouir ma mère en même temps que moi en lui mettant deux doigts dans son cul. Tout ça sous le regard de la caméra.

Sylvia n’en pouvait plus et se laissa gentiment guider sur le sol.

Roger me passa le caméscope pour que je continue à filmer, se glissa entre ses cuisses et, inexorablement, il introduit sa queue dans la chatte dégoulinante. Sur l’écran de la caméra, je voyais son sexe entrer et sortir de sa grotte, ses grosses mamelles qui ballotaient à droite, à gauche. Puis, il releva les jambes jusqu’à ce qu’elles touchent sa poitrine. Il l’avait vu ainsi dans une des vidéos et elle semblait adorer cette position. Il se rendit compte que sa queue était bien plus serrée comme ça, plus de sensations également.

J’arrêtais de filmer et posais la caméra sur la table basse. Je m’asseyais dans le fauteuil et profitais du spectacle. Les petits cris de jouissance de Sylvia augmentèrent jusqu’à ce qu’elle explose à nouveau. Roger lui laissa quelques minutes avant de la relever. Il la positionna devant moi, elle posa ses mains de chaque côté de ma tête en écartant ses jambes. Il posa ses mains sur ses hanches et réintégra la grotte humide.

Là, enfin, il se déchaîna sur Sylvia. J’avais ses seins qui se baladaient devant mes yeux. Je jouais avec, tétant un sein, pinçant un téton. Roger éjacula dans sa mère, provocant son énième orgasme. Roger jubilait, il venait de baiser sa mère, pour la première fois, certainement pas la dernière. Sylvia s’était écroulée à mes pieds.

Elle commençait à se rendre compte de la situation. Son fils avait sa caméra en mains, donc il avait vu les vidéos qu’elle conservait avec. Et elle venait de se faire baiser par son propre fils, sous les yeux de sa fille. Mais elle était finalement comblée, sexuellement. Il la força encore à le nettoyer avec sa bouche, totalement soumise.

-Tu es ma pute, maintenant, et je ferais ce que je veux de toi.

À ce moment précis, je pensais qu’elle acceptait de peur qu’il ne révèle la vérité à notre père. Je compris, bien plus tard, qu’elle adorait le cul et cette situation la faisait trop kiffer. Devenir la pute de son fils, de sa fille. Se laisser baiser chaque fois que l’un ou l’autre en ont envie. Le pied. Je n’ai pas participé à toutes les baises qui ont suivi, j’ai même cru comprendre qu’il faisait payer ses potes pour profiter de sa pute. Et, bien sûr, ce qui devait arriver se produisit. Mon père les surprit un jour, avec le meilleur pote de Roger, tous les trois nus et exténués d’une longue baise. Il a bien évidemment demandé le divorce, et elle n’a fait aucune histoire. Quand s’est posé le problème de la garde des enfants, Roger a choisi de rester avec sa mère, et moi, avec mon père. Ce qui ne m’empêche pas de voir ma mère quand bon me semble, mais seulement nous deux. Je ne tiens pas à tomber dans un piège foireux de mon dégénéré de frère. Comme je vous l’ai déjà dit, je poursuis un cursus de vendeuse, en alternance, dans une parfumerie. J’aimerais trouver un appart, en ville, pour m’éviter la route tous les jours, et gagner mon indépendance. De plus, je vois bien que cela allégerait mon père ».

Pour ce qui est de l’appart, j’ai une idée que je dois creuser, mais qui pourrait bien t’aider. Lui répondis-je. Les yeux qu’elle ne fit en entendant ma proposition me confirmèrent toute la gratitude qu’elle avait pour moi. Pour ma part, j’étais persuadée que, bien éduquée, elle ferait une parfaite soumise.

Elle se tourna ensuite vers Amélie.

« Amélie, encore une fois, je te demande de me pardonner. J’ai été juste une grosse conne qui ne pensait qu’à elle.  »

« Pour te faire pardonner complètement, tu devras venir me voir chaque fois que je t’appellerais. On jouera ensemble, ou bien seulement moi, et, si je le souhaite, tu dormiras ici.  »

« Oui, oui, 1000 fois oui. J’accepte sans aucune hésitation. »

Il commençait à se faire tard. Elle appela son père pour lui dire qu’elle rentrait bientôt. Pas de réponse. Il devait encore cuver. Elle habitait un petit village près de Saint-Malo. En se rhabillant, elle expliqua qu’elle avait son permis, et une petite voiture, bien pratique pour aller travailler, mais onéreux à la longue. La soirée fut agréable, Charlène semblait fatiguée de son après-midi avec Lucie. Elles allèrent se coucher rapidement. On fit une partie de tarot, à quatre. Bonne soirée en famille. J’allais au lit en même temps qu’Amélie, pour une fois.

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