KATIA (07/14)

Katia soufflait très fort maintenant, les deux mains sur la petite tête qui fourrageait entre ses cuisses. Les hommes, tous les trois, avaient sorti leur matériel et se branlaient tous en cœur, au rythme des gémissements de Katia. Sans que personne ne le lui demande, le gérant se mit à genoux devant Roland et goba la queue qui durcit encore. En quelques mouvements, il reçut enfin la récompense tant attendue. Le vieil homme releva la gamine, sa robe, et l’embrocha direct. Elle semblait être habituée à ce genre de pénétration et feulait sous les coups de queue de son maître. Il se répandit très vite en elle, déclenchant son propre orgasme. Peu discrète, elle hurlait son plaisir, pour le plus grand plaisir des hommes présents. Aussitôt sortie de la jeune chatte, la queue fut engloutie par le gérant. Il prit cette fois tout son temps pour la nettoyer des effluves de la jeune fille. Celle-ci, pour me remercier, vint m’embrasser à pleine bouche. Elle avait encore des restes de la jouissance de Katia. Je retrouvais son odeur, mélangée à la salive de sa jeune partenaire. Pour une première fois, c’est ce qu’elle m’avait dit, elle se débrouillait super bien.

Roland, qui ne perdait pas le nord, proposa que je fasse mes essayages à mon tour. Dans cette ambiance chaleureuse, chargée des odeurs du plaisir des uns et des autres, j’acceptais. Anne, la jeune fille se présenta ainsi, me regarda avec son regard malicieux. C’est elle qui voulait jouer le rôle de ma servante. Son Maître accepta, après m’avoir consultée du regard. Elle ôta donc ma robe, puis mon string et mes chaussures pour finir. Je me retrouvais donc plus nue que Katia. Je voyais les yeux exorbités des trois hommes. Roland me connaissait déjà, mais il bandait très fort. La situation, la complicité, et surtout la présence des deux autres. Le gérant aussi me regardait avec une envie non dissimulée. Preuve qu’il était à voile et à valeur. Je n’ai que très rarement rencontré des hommes qui soient bi. Il se branlait d’une main, de l’autre, il maintenait l’érection du vieil homme. Anne m’aida à enfiler les bas, puis les cuissardes. Avant de me passer le body, elle déposa un doux baiser sur chacun de mes tétons. Puis elle l’ajusta, glissant ses doigts ici ou là. Elle s’accroupit devant moi pour le fermer. Mais avant, elle me jeta un regard vicieux, dévoilant sa vraie nature. J’avais compris sa demande. Je posais ma main sur sa tête pour l’approcher de mon intimité.

Avide de plaisir, elle commença à me lécher amoureusement. Elle se débrouillait vraiment très bien. Katia se colla à moi pour me soutenir, et surtout m’embrasser. Nous étions entre filles, laissant les hommes entre eux. Mais ils savaient se passer de nous. Le vieil homme plaça le gérant devant lui, pantalon baissé. Il le pénétra très lentement, profitant de chaque instant. Sous les yeux de Roland qui assistait pour la première fois à l’accouplement de deux hommes. C’était également une première pour moi, mais j’étais suffisamment occupée avec mon propre plaisir. Roland était subjugué, après avoir été sucé par un mec, pour la première fois aussi, il le voyait se faire défoncer le cul. Et les deux y prenaient un réel plaisir. Le gérant l’attira près de lui et le reprit en bouche. Roland se faisait sucer par un mec qui lui-même se faisait enculer par un autre. Je voyais le regard de Roland. Il semblait avoir basculé dans un autre monde. Le gérant devait être une « bonne suceuse » car Roland lui remplit la gorge de sa semence. Puis le vieil homme déchargea dans son cul, provoquant sa propre jouissance.

Le vieil homme, épuisé de tant de plaisir, se laissa glisser au sol. Le gérant lui proposa sa queue à nettoyer, ce qui fut accepté. Roland fut happé également par le vieil homme qui le massa longuement, lui redonnant une vigueur inespérée. Après la nuit passée, il n’espérait pas jouir autant de fois successivement. Je me répète mais la situation devait y être pour beaucoup. Anne, non plus, ne pouvait rester insensible aux charmes de ce joli tableau. Elle se dirigea vers le gérant, lui sauta au cou. Il la souleva adroitement et la fit redescendre sur sa queue dressée. Un râle de plaisir sortit de la jeune bouche, qui n’en était pas à sa première fois. Elle dansait dans les bras solides du gérant qui ne tarda pas à jouir à son tour, déclenchant l’orgasme de la jeune fille. Tout le monde avait joui au moins une fois. Après s’être rajusté, le vieil homme quitta la boutique, suivi comme son ombre par la jeune Anne. Je lui ai donné une de mes cartes de visite avant de la laisser partir, sans grand espoir de la revoir. Roland passa à la caisse. Content de cet intermède, le gérant nous offrit le gode qui avait tout déclenché.

Katia et moi avions passé l’imper par-dessus nos tenues. J’ajustais le collier autour de son cou et je maintenais la laisse d’une main. C’est ainsi que nous sommes sorties du magasin, suivies de Roland. Dans les rues de Lyon, personne, ou presque, ne faisait attention à nous. Des jeunes filles pouffèrent en voyant Katia attachée. Une jeune femme baissa les yeux en passant près de nous. Dommage que nous n’ayons pas le temps de nous occuper d’elle. Nous nous sommes installés dans une grande brasserie du quartier. Après avoir commandé, Roland nous laissa quelques instants pour se rendre aux toilettes. Je n’ai compris qu’à son retour pourquoi il avait emmené le sac contenant ses derniers achats. Il était habillé comme nous, avec ce même imper. Pour continuer la soirée, il nous emmena dans une auberge, en dehors de la ville. La jeune femme à l’entrée proposa de nous débarrasser de nos impers, ce que nous avons tous refusé. Puis, elle nous emmena à notre table. Roland nous expliqua alors la suite de la soirée. Il nous emmènerait dans un lieu un peu particulier. Il était convenu que nous serions là surtout pour regarder, nous faire une idée. Aucune obligation de participer pour notre première visite. Ce serait une surprise pour moi.

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