Juillet 2019 (02/05)

De jeune homme donc. Je sentais désormais son impatience, c’était sans doute sa première fois. De salope invétérée, je devenais initiatrice. J’avais maintenant les pieds posés sur ses épaules et il put enfin envahir ma grotte.

Clothilde lui soufflait des conseils à l’oreille qu’il respectait à la lettre. Il s’accrocha à mes hanches et commença à me baiser sur un bon tempo. Puis soudain, il se planta en moi et resta quelques instants sans bouger. Je savais exactement ce qui s’était passé. Clothilde venait de l’enculer, comme elle faisait habituellement avec les femmes qui me baisaient.

Le garçon reprit de plus belle et Clothilde en remettait une couche, les coups de butoir étaient multipliés par deux. Quand la queue entrait bien profond, Clothilde redonnait un coup de rein qui me menait à l’extase.

Le garçon finit par s’écrouler sur moi, sa tête entre mes seins, mais sa queue toujours bien raide en moi. Clothilde continuait à l’enculer, ce qui faisait qu’elle me baisait moi aussi, à travers le corps de ce jeune homme. Sa queue débanda et sortit de ma chatte, il ôta le préservatif mais resta allongé sur moi, tétant ce qu’il pouvait.

Clothilde me détacha et c’est le garçon lui-même qui m’ôta cagoule et masque. Je pouvais lire dans ses yeux toute la reconnaissance qu’il me portait. Sans compter qu’il ne cessait de me répéter des « Merci » à tout va. Il se frottait le cul également, ce n’était sans doute pas prévu dans ses plans de se faire enculer.

Je le positionnais à genoux sur le lit, la tête sur le matelas. Dans cette position, il m’offrait son petit cul, semble-t-il un peu endolori. Clothilde me donna une pommade apaisante que je badigeonnais sur son trou. Il semblait vraiment apprécier cette caresse, sa queue grandissant à vue d’œil.

D’une main, je jouais avec son trou du cul, tandis que l’autre commençait à le branler gentiment. Ses gémissements de plaisir ne faisaient aucun doute, il aimerait se faire enculer. J’avais réussi à faire pénétrer deux doigts dans son rectum et je le baisais comme il venait de me baiser. Chacun son tour.

Clothilde était toujours équipée de son gode ceinture et me pénétra debout. Elle s’accrocha à mes tétons et me baisa ainsi longuement. Le garçon éjacula dans mes doigts mais sa queue restait toujours bandée, tandis que je martyrisais son trou du cul. Martyriser est un bien grand mot. Il appréciait vraiment cette caresse.

Bien plus tard, en buvant un rafraîchissement tous ensemble, j’appris que c’était l’un de des élèves à qui elle donnait des cours de rattrapage pour le bac. Vu qu’il avait bien progressé, elle lui avait promis une récompense et c’était moi, le cadeau. Mon corps, tout du moins.

Être considérée tel un objet de plaisir n’était pas pour me déplaire. C’est exactement ce que j’avais vécu avec Agathe et son mari, Fernand. De même avec Inès et Luis, leurs amis. Je dois vous avouer que j’avais accepté de les revoir, Agathe et Fernand, afin de jouer leur soumise, leur faire-valoir lors d’une soirée dans une boîte échangiste. LA boîte échangiste près d’Angers.

Ils étaient des habitués de ce lieu mais, depuis toujours, ils payaient leur entrée. Pour avoir une occasion de devenir VIP, ils devaient venir accompagnés d’une soumise que les autres participants pourraient utiliser à leur guise. Jamais, avant moi, ils n’avaient trouvé cette perle rare.

J’avais donc été habillée (déshabillée ?) juste avec un string et une paire de bas noirs, autofixants, le tout caché sous un imperméable jusqu’au vestiaire de ce lieu de débauche. Un masque cachait une partie de mon visage mais je voyais les regards envieux des hommes et des femmes que nous rencontrions. Malgré les envies de chacun, aucun geste déplacé, aucune remarque désobligeante.

J’étais vraiment dans un autre monde, fait de respect et de convivialité. Le collier autour de mon cou, relié à la laisse que tenait Agathe, ne laissait aucun doute sur mon état de soumise. C’est sur la piste de danse que les attouchements ont commencé, puis des caresses plus précises.

Quand Agathe a confié la laisse aux mains du maître de soirée, je devenais officiellement le jouet de la soirée. Je fus très vite entourée de femmes et d’hommes pour qui je n’étais pas plus qu’un morceau de viande. J’ai été malmenée, triturée, pelotée avant d’être baisée, et enculée également.

Pour finir, un groupe d’hommes m’a entourée avant de m’arroser de leurs jets de sperme. J’en étais recouverte. Mon visage, ma poitrine, mes fesses. Plusieurs femmes, et deux hommes, se sont chargés de me nettoyer avec leur langue. Je ne comptais plus les orgasmes à répétition que je venais de vivre. Officiellement, Agathe et Fernand sont devenus VIP.

Je suis retournée plusieurs fois dans cet établissement, avec ou sans eux, pour mon plaisir. Un soir, j’y ai même retrouvé Inès et Luis et j’ai passé la soirée avec eux, entre eux deux. C’est lors de cette soirée que j’ai vu pour la première fois deux hommes qui faisaient l’amour.

Luis était en train de me baiser quand un homme s’est enfoncé dans son cul, à sec, sans préparation. Il l’a ensuite bien enculé à fond. À chaque fois qu’il s’enfonçait en lui, Luis s’enfonçait un peu plus en moi. C’était super excitant et Luis semblait vraiment apprécier cette enculade. Cela se voyait sur son visage et moi, je sentais bien que sa queue avait doublé de volume.

Et Jean-Jacques dans tout ça, me direz-vous ? Lui, c’est mon mec, mon régulier. Mais je ne lui ai jamais promis l’exclusivité. Et jamais il ne l’a demandée. Il souhaitait simplement que je sois à lui, de temps en temps. Il passait rarement la nuit entière avec moi, il préférait rentrer chez lui et veiller sur ses trésors.

Orlane lui avait tout raconté, en ma présence. Je l’avais calmé quand il avait voulu aller s’expliquer avec mon ex. Son copain d’enfance était un pervers qui avait tenté de séduire sa propre fille. Il avait déjà eu un doute, il y a très longtemps, d’une liaison entre sa femme et Stéphane.

Il n’avait rien pu prouver et elle était tombée malade juste après. Il n’avait jamais pu lui poser la question. Stéphane aurait certainement nié s’il lui avait demandé directement. J’avais réussi à convaincre Jean-Jacques que l’indifférence était la pire des punitions qu’il pouvait affliger à son ex-ami. Entre nous, quand nous devions évoquer le père de Laura, on disait « l’autre ».

Jean-Jacques est propriétaire de plusieurs appartements et maisons qu’il loue, le plus souvent, à des étudiants ou étudiantes. Anne-Laure est une jeune femme qui travaille dans mon service. En discutant avec elle, j’appris qu’elle vivait encore chez ses parents.

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