Martine, la suite (09/18)

Mais c’est quand Fabienne a voulu me violer qu’elle s’y est opposée. Sans grand succès. Heureusement que les parents sont arrivés à ce moment-là. Denise retrouvait donc avec plaisir mes seins, qui n’étaient rien que pour elle, cette fois-ci. Elle était tellement absorbée dans ce qu’elle faisait qu’elle n’a aucunement résisté lorsque j’ai posé ma main sur sa nuque pour attirer sa bouche vers ma poitrine. Je suis certaine qu’elle n’attendait que cela, et depuis des années que l’on se connaissait. Elle a pris mon téton en bouche et j’ai fermé les yeux de bonheur. Cet instant était divin, magique, tellement plaisant que je n’avais même pas remarqué que Mr Jonathan avait délaissé mon entrecuisse. Il était désormais derrière Denise, hyper concentrée. Elle n’a même pas réagi lorsqu’il a posé ses mains sur elle. Pas plus lorsqu’il a défait l’attache de sa jupe qui a glissé au sol. Je l’ai entendue geindre légèrement lorsque sa culotte a suivi. Il s’est redressé, toujours collé à elle, et a entrepris de dégrafer son chemisier. Je pense le connaître suffisamment pour savoir qu’il a dû en profiter pour caresser ses petits seins. D’après ce que m’avait dit Denise à son propos, jamais il n’avait pu poser les mains sur elle. Tout juste sur ses cuisses lorsqu’elle était assise sur lui pour choisir les sous-vêtements qu’il allait lui offrir. Quand le colis arrivait, elle se déshabillait toute seule avant d’enfiler sa nouvelle parure. Elle défilait devant lui, bandant comme un âne. Et aujourd’hui, elle se trouvait totalement nue et offerte devant moi. Je voyais le visage satisfait de Mr Jonathan qui, semble-t-il, se frottait allègrement sur son petit cul.

Je n’étais pas en reste et j’avais posé délicatement mes mains sur ses seins désormais exposés. Elle semblait n’attendre que cela et je l’ai vue tortiller du cul, heureuse de mon initiative. Délivrée de toute inhibition, elle se donnait totalement aux caresses qu’on lui faisait subir. Elle s’est redressée d’elle-même lorsque j’ai lentement glissé entre ses cuisses. Un joli ticket de métro ornait son pubis. Cela ne s’appelait pas encore ainsi, le petit ticket jaune n’existait pas encore. Était-ce naturel ou bien avait-il été taillé spécialement ainsi ? Ce sera une question à lui poser, ultérieurement. J’ai glissé la langue sur sa fente qui s’est humidifiée immédiatement. C’est vraiment délicieux de goûter une nouvelle femme, une jeune fille en l’occurrence, tandis que, là-haut, ses seins étaient caressés par deux mains frénétiques. J’étais donc occupée à bien faire jouir mon amie quand, je ne sais comment, j’ai vu apparaître la queue de Mr Jonathan qui glissait sur la fente, sans chercher à la pénétrer. Je happais le bout de cette queue lorsqu’elle était à ma portée. J’y trouvais le goût de l’homme, mélangé aux effluves de Denise. Il força un peu la position et sa queue resta dans ma bouche. J’étais en train de lui offrir sa première fellation, mon nez planté sur le clitoris de mon amie. Nos mouvements conjugués ont fini par la faire jouir intensément. Sa mouille abondante recouvra la queue que je léchais. C’est sans doute cette humidité qui déclencha l’orgasme de Mr Jonathan. Comme j’avais appris, j’avalais tout ce que je pouvais. J’en gardais un peu en bouche et je me suis redressée pour embrasser Denise à pleine bouche. Elle a été surprise de trouver un liquide dans ma bouche et nous l’avons partagé. J’ai vu ses yeux ébahis de ce que j’avais osé faire. Elle qui avait toujours su garder ses distances avec son patron, voilà qu’elle s’était laissée déshabiller entièrement par lui, qu’il l’avait caressée impunément, qu’il avait osé frotter sa queue le long de sa fente et, pour couronner le tout, c’est sa semence que j’avais partagé avec elle. Elle se sentait honteuse de tout cela, mais malgré tout excitée comme une puce de cet enchaînement d’événements.

Nous l’avons rhabillée, je m’occupais du bas, Mr Jonathan remettait son soutif en place, ainsi que son chemisier. Toujours avec des caresses bien ciblées. Ensuite, rassurée d’être de nouveau habillée normalement, je lui ai demandé de me revêtir à mon tour. Là encore, elle en a profité pour encore caresser ma poitrine mais c’était bien pour cela que je lui avais demandé. Nous avons repris nos manteaux et nous sommes parties ensemble. Mr Jonathan nous avait simplement donné un petit baiser à chacune sur la joue. J’avais également senti sa main sur mes fesses, j’ignore s’il avait osé également avec Denise. C’est en remettant nos mains dans nos poches que nous avons trouvé chacune, un billet de 50 francs. Une vraie fortune pour nous, à l’époque. Tout en marchant d’un bon pas pour nous réchauffer, Denise m’apprit qu’elle était invitée, ce soir même, à lire une partie d’un roman, lors de la soirée « Lecture » chez Gisèle. Dans son bar, je veux dire. Et elle m’invita à la rejoindre vers 20 heures. J’acceptais, évidemment, c’était la première fois que j’y étais invitée. On se quitta donc juste le temps de rentrer manger chez soi. Mes parents avaient accepté que je ressorte, puisque c’était pour mon éducation. Gisèle avait fait des études universitaires avant de rencontrer Fernand et, très vite, elle tomba enceinte. Tout son plan de carrière tombait à l’eau. Ils se sont mariés et sont venus s’enterrer dans ce trou perdu. Ce sont ses propres termes. Fabienne est née, devenant son seul intérêt dans la vie. Fernand avait repris le bar de la ville puis, avait décidé de rajouter une activité professionnelle à son arc. C’est ainsi qu’il ouvrit la supérette, bien utile pour les personnes âgées du village. Et les autres aussi. Ne pouvant assurer les deux tâches, Gisèle avait choisi le bar, lui laissant la gestion de la supérette. C’est donc dans son bar qu’elle organisait, chaque mercredi soir, une soirée  » Lecture « . Très rarement, un auteur était invité pour lire une partie de son dernier roman. Cela finissait par une série de dédicaces, pour les personnes qui avaient acheté son roman. Mais habituellement, c’était Gisèle elle-même qui faisait la lecture. C’était elle également qui choisissait l’ouvrage. Depuis quelques temps, elle avait demandé à sa fille chérie de participer elle aussi et de lire une soirée par ci, par là.

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