MORENA (12/12)

On changea de position. Je pris place sur le canapé, Sylvia à genoux à mes pieds, la tête entre mes cuisses et Carrie qui continuait à la baiser violemment. Giulietta s’approcha de moi et me donna le sein, que je me mis à téter goulûment. Toutes, nous étions comblées. Entièrement nues, nous avons rejoint la piscine pour continuer nos caresses mutuelles. Même Carrie accepta, cette fois-ci, les caresses de son ancienne maîtresse. Après un moment de repos sur les sofas, il était temps de se quitter. Définitivement pour Carrie et Sylvia, Giulietta commencerait son service dès le lendemain. Elle avait hâte d’en parler à sa mère. On déposa la valise de Carrie chez moi avant de raccompagner Giulietta chez elle. J’ai cru apercevoir mon oncle Marco qui nous suivait, puis, au détour d’une rue, plus personne. Il avait dû changer de direction. Rosaria accueillit la nouvelle avec des réserves, comme à son habitude. Elle était heureuse pour sa fille, bien évidemment, mais elle la voyait déjà qui s’éloignait d’elle, la laissant toute seule, abandonnée. Giulietta avait beau lui assurer que jamais elle ne l’abandonnerait, elle ne parvenait pas à la convaincre. Carrie était restée debout, près de moi, refusant de s’asseoir. En assistant à cet échange entre la mère et la fille, elle se revoyait elle-même, quittant son foyer, son pays, et ses parents qui l’encourageaient à vivre sa vie, pour elle. Autre pays, autres mœurs. Je reprenais la maîtrise de la situation à ce moment-là. J’expliquais à Rosaria que Giulietta allait remplacer Carrie.

« Carrie, montre-nous comme tu es obéissante et ôte la robe de cette coquine.  »

« Giulietta, à ton tour de la déshabiller.  »

Les deux jeunes filles se caressaient amoureusement, sous les yeux ébahis de Rosaria qui semblait découvrir sa propre fille, ses penchants vers les autres filles. Mais je voyais bien plus que ça dans ses yeux, de l’envie, envie de participer, de toucher à son tour, de profiter encore une fois du corps somptueux de sa chère fille et, cadeau suprême, goûter à cette petite irlandaise, ma foi, fort appétissante. Je me levais et me plaçais derrière Rosaria qui gardait les yeux fixés sur les deux protagonistes. Elles-mêmes ne voyaient rien d’autre que le corps qu’elles caressaient. Elles étaient dans leur monde à elles, sur un nuage de volupté. J’ouvris le corsage de cette femme splendide pour en sortir ses grosses mamelles. Elle se laissait faire, obnubilée par le spectacle. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’aperçus mon oncle Marco dans l’embrasure de la porte. Depuis combien de temps était-il là ? Je l’ignore mais la bosse que faisait son pantalon ne laissait aucun doute sur son état d’excitation. Personne d’autre ne le vit. Je dois préciser que nous vivons dans une petite ville, un village presque, où tout le monde se connait. Il est très rare que les portes soient fermées à clef dans la journée. N’importe qui peut entrer, c’est bien ce qu’avait fait mon oncle. Mais il ne s’était pas annoncé en lançant son « Ciao ». Il était resté silencieux, curieux de savoir ce que je faisais avec Giulietta et sa mère. Et Carrie maintenant. Et il n’était pas déçu du spectacle offert par les deux jeunes filles.

Il avait aussi l’occasion de voir pour la première fois dénudée, la poitrine de Rosaria. Elle était telle qu’il l’avait rêvée. Il restait caché cependant, ne voulant pas rompre le charme ambiant. Je finis par croiser son regard au moment où il entrait sa main dans son pantalon. J’imaginais très bien ce qu’il faisait et cela m’excitait. Les deux filles décidèrent de s’occuper ensemble de la mamma. L’une lui ôta sa jupe, l’autre retira le haut. Elle était juste en culotte désormais. Giulietta écarta le tissu pour que Carrie puisse atteindre le clito déjà bien gonflé par le plaisir. Elle se mit à téter sa mère. Rosaria était aux anges entre les mains des deux coquines et je savais que plus rien ne l’empêcherait d’arriver au paradis. D’un signe, je demandais à mon tonton de s’approcher. Comme je le pensais, Rosaria le laissa venir à elle. Mieux, dès qu’elle le put, elle glissa elle-même sa main dans le pantalon ouvert. Tonton Marco était ravi de son initiative. Je lui soufflais une seule consigne à l’oreille.

« Tu ne touches pas aux filles, sauf si je te le dis. Elles pourront te caresser si elles le veulent. Par contre, Rosaria est toute à toi.  »

Léger mouvement de recul des filles quand elles s’aperçurent qu’on n’était plus seules. Mais je les rassurais immédiatement. Rosaria baissa totalement le pantalon et prit l’objet de ses désirs en bouche. Carrie cessa son cunni pour la regarder faire, et s’apercevoir de l’effet provoqué sur le mâle. Giulietta la remplaça entre les cuisses de sa mère et Carrie put jouer, timidement, avec les bourses gonflées à bloc. Marco appréciait que l’on s’occupe de lui ainsi. Marco aida Rosaria à s’installer confortablement sur le canapé et se plaça entre ses cuisses. Carrie, toujours aussi curieuse, prit le sexe entre ses petites mains pour le caresser et le positionna devant l’entrée qui palpitait d’excitation. Un petit coup de rein et il était à l’intérieur d’une chatte bien accueillante. Rosaria attira la jeune fille vers elle pour la remercier. Sur sa demande insistante, Carrie se plaça au-dessus de la bouche gourmande qui voulait absolument goûter aux effluves d’une jeune rousse. Giulietta, tout près de mon oncle, se laissait peloter les seins avec délices.

Marco dut lâcher la poitrine pour s’accrocher aux hanches généreuses et commença à pilonner furieusement Rosaria qui jouissait déjà très fort. Elle-même ne se souvenait plus à quand remontait la dernière fois où on l’avait si bien baisée. Entre la mouille odorante qui lui inondait le visage et la queue de Marco qui la baisait profondément, elle était comblée au-delà de toutes ses espérances. Marco sortir de la grotte accueillante pour asperger le ventre et la poitrine de sa partenaire. C’est Carrie qui se chargea de la nettoyer à l’aide de sa langue. Marco s’écroula aux pieds du canapé, vaincu. Giulietta s’approcha de lui pour lui offrir sa jeune chatte à goûter. Incapable de refuser une telle offrande, Marco se donna à fond pour l’emporter au paradis. Je dois avouer que je l’enviais un peu. Je connaissais les capacités de mon oncle Marco à faire jouir une femme juste avec sa bouche. C’est Carrie qui, me voyant seule, vint m’offrir un merveilleux cunni.

 

Épilogue

 

Après cette soirée de débauche, Giulietta rentra avec Carrie et moi, laissant sa mère entre les mains expertes de Tonton Marco. Depuis, ils vivent ensemble et sont très heureux. Surtout quand Giulietta passe les voir pour un intermède à trois. Carrie est venue habiter à Nice. Vous saurez plus tard ce que je lui ai réservé. Les vacances étaient finies, et j’avais de nombreuses tâches qui m’attendaient chez moi.

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