Dimanche soir, nous sommes le 28 Décembre donc, retour à St Malo. C’est Corinne, seule, qui vint me chercher à la gare. Aussitôt assises dans la voiture, je posais ma main sur son genou, et remontais doucement entre ses cuisses. Ma bouche se colla à la sienne dans un tendre baiser. Je sentais ses cuisses qui s’ouvraient en suivant la progression de ma main. Mais je m’arrêtais avant d’atteindre sa grotte. Je défis les boutons de son corsage un par un. Découvrant son soutif, rose. Je sortis les globes majestueux des balconnets. Pour jouer avec les tétons. Et les prendre en bouche. Elle dut s’arrêter pour subir mes assauts. Quand ma main s’engouffra dans sa culotte, elle inonda mes doigts immédiatement. Je léchais ce que je pouvais dans cette position peu banale. Mais sa culotte était trop trempée, je lui demandais de l’ôter. Ce qu’elle fit sans rechigner. Je la rhabillais à regret. Mais je laissais ma main gauche entre ses cuisses ouvertes jusqu’au pavillon. Elle gara la voiture dans l’entrée et me fit entrer par le garage. Aussitôt à l’abri des regards, je la plaquais contre une porte pour un dernier baiser passionné. Je relevais sa jupe pour toucher ses fesses nues, les caresser, les admirer tandis qu’elle montait lentement l’escalier.
Son visage était rouge en ouvrant la porte mais sa tenue était redevenue correcte. Je fus accueillie par les bisous de Charlène et d’Amélie. Même Francis se leva pour venir me souhaiter la bienvenue par un petit bisou sur les joues. Très vite, nous sommes passés à table. Au moment du dessert, distribution de cadeaux, vu que je n’étais pas présente à Noël. Juste des petites choses mais qui faisaient plaisir. Plaisir d’offrir et plaisir de recevoir. Francis et Corinne m’offrirent un pull, très joli. Corinne fut la dernière à ouvrir mon cadeau. Elle rougit avant de le montrer à tous. Une jolie guêpière avec son string assorti. Le tout de couleur rouge, avec des rubans noirs. Tout le monde avait envie de voir l’effet sur elle. Seule Charlène osa le dire tout haut.
« Maman, tu dois l’essayer. Et nous montrer »
» Oh oui, maman, essaye-le » ajouta Amélie.
Elle se tourna vers son mari qui n’osa pas contredire ses filles. Il acquiesça. Elle se dirigea vers sa chambre pour le passer. Elle était aussi rouge que son ensemble en revenant vers nous. Les applaudissements fusèrent de toutes parts.
« Maman, tu es magnifique » s’extasia Amélie.
Charlène ne put s’empêcher d’aller lui faire un câlin. Un bisou sur chacun de ses seins superbement mis en valeur. Puis, Corinne vint me remercier en se serrant contre moi. Charlène lui apporta une paire de mules à talons, et une robe d’intérieur. Avec les talons, ses fesses étaient encore mieux mises en valeur, ainsi que ses magnifiques jambes. Elle passa la robe d’intérieur pour le reste de la soirée. Pour une fois, on passa ensemble une superbe soirée en jouant une folle partie de tarot. Cette famille était beaucoup plus unie qu’il y a quelques mois, quand je suis venue la première fois. Francis était plus ouvert aux autres, et surtout à sa femme. Il semblait vraiment amoureux d’elle et Corinne était resplendissante. Amélie, qui parlait si peu, devenait une vraie pipelette. Et Charlène s’affirmait de plus en plus. Autant Amélie gardait une ouverture vers les hommes, autant Charlène devenait lesbienne à 100 %. En fin de soirée je montais avec les filles, laissant les parents seuls. On se déshabilla et on resta à discuter toutes les trois, dans la chambre d’Amélie. Celle-ci se mit à somnoler de plus en plus. Sa tête tombant sur mon épaule. Charlène m’entraîna dans sa chambre pour la laisser dormir tranquillement. On discuta encore un moment et doucement, Charlène s’endormit, une main entre mes cuisses.
Lundi 29 Décembre
Je me réveillais tôt, comme toujours, sa main n’avait pas bougé. Je tentais de me dégager sans la réveiller, en vain. Elle ouvrit les yeux, me sourit, et plongea aussitôt entre mes cuisses. Je n’avais ni la force, ni l’envie de l’en empêcher. Je la laissais me brouter amoureusement. Je voyais son petit cul se trémousser sous mes yeux. J’osais enfin la caresser, la câliner. Mon doigt tourna autour de sa rosette, avant de s’y enfoncer. Elle ronronnait sous ma caresse, comme moi sous la sienne. Elle finit par jouir en silence, juste avant moi. Elle revint s’allonger près de moi, en chien de fusil, moi dans son dos. Quand elle fut profondément endormie, je rejoignis la chambre d’Amélie pour y retrouver mes vêtements avant d’aller sous la douche. Corinne était seule dans sa cuisine, mais son visage montrait combien elle était heureuse. Comblée par une nuit de plaisirs. Je passais et repassais près d’elle, en la frôlant, mais sans jamais la toucher vraiment. Elle était en attente d’un geste, d’un ordre. Qui ne venait pas. Quand elle voyait ma main s’approcher de sa poitrine, elle-même s’avançait vers ma main. Et moi, je me dérobais. Elle en semblait excédée. Je buvais mon café rapidement, déposais le mug dans l’évier et je fis semblant de partir. Elle se leva d’un coup pour se jeter à mes pieds. Je ne pouvais plus avancer, juste me retourner. Elle glissa ses mains sous ma jupe, caressant mes fesses. Comme je la laissais faire, elle s’enhardit et passa sa tête sous ma jupe, tout en baissant mon string.
C’était la première fois qu’elle prenait l’initiative. Et j’adorais ça. Sa langue se mit en action, et j’oubliais tout. Appuyée contre le chambranle de la porte, je me laissais outrageusement bouffer la chatte. Et le plaisir arriva très vite, trop vite. Tout juste si j’aperçus une ombre venant du couloir. Ce ne pouvait être que Francis, qui avait dû nous apercevoir et il n’avait pas osé nous déranger. Je la laissais me nettoyer parfaitement. Je la relevais pour l’embrasser et récupérer sur ses lèvres pulpeuses les résidus de mon plaisir. Elle s’abandonnait totalement à mes caresses. Sa poitrine venait au-devant de mes mains. Je voyais qu’elle avait envie, envie de plus. Besoin de se libérer. Doucement, je la poussais vers le bureau de son mari, où je savais qu’il s’était réfugié. J’ouvrais la porte, sans frapper, et poussais Corinne devant moi. Francis cachait difficilement une érection sous son pantalon de pyjama. Je lui fis signe de s’approcher.