MORENA (07/12)

Je l’entrainais sur la piste pour danser collée-serrée face à lui. Le résultat ne se fit pas attendre très longtemps. Il fila rapidement aux toilettes et je ne le revis que le lendemain, confus. Le reste de la soirée, je le passais avec Giulietta et Morena. La jeune soumise acceptait absolument tout, venant de moi ou bien de Morena. Un peu avant minuit, le jeune frère de la mariée revint vers nous. Il avait passé une journée mémorable et comptait la finir en beauté. Mais j’en décidais autrement, tout en accédant à son désir le plus fou. Nous étions dans un coin de la salle, un peu plus sombre. Je l’invitais à danser avec Giulietta, mais en respectant mes consignes.

« Tu gardes tes mains dans tes poches. Ton visage au creux de ses seins. Et tu la laisses mener la danse.  »

Vu sa taille, et celle de Giulietta, il avait vraiment son nez entre les seins volumineux. Giulietta posa une main sur son épaule, l’autre, je lui demandais de la rentrer dans le short du garçon et de le branler jusqu’au bout de son plaisir. Quand il partit se coucher, il était vraiment comblé. Pour Rosaria, je n’avais pas menti, aucun garçon ne l’avait touchée, c’est l’inverse qui s’était passé. On resta les dernières et nous sommes allées nous coucher. Dans ma chambre, celle de Morena avait été distribuée pour les parents de la mariée, et son jeune frère. Giulietta fut mise entièrement nue dès en entrant. On pelotait son corps en se déshabillant. Morena garda son dernier rempart. Obligée. Elle attira Giulietta au-dessus d’elle et lui goba les tétons. Celle-ci semblait vraiment apprécier et je voyais son gros cul se trémousser devant moi. Je sortais mon gode ceinture, le plus petit, et commençais à m’occuper de son cul en ôtant le plug. Puis, je rentrais deux doigts pour bien l’élargir. Mon autre main se chargeant de sa fente dégoulinante et de son clito turgescent. Quand je la sentis prête, je frottais le gode le long de sa fente avant de le pointer sur sa rondelle frétillante. Je pense qu’elle ne comprit pas tout de suite ce qui lui arrivait. Elle n’avait senti aucune douleur, juste une gêne. Le gland était entré et le reste suivait, lentement. Je poussais sans à-coup et je pénétrais inexorablement son fondement. Quand je fus rentrée tout au fond, elle comprit que son cul n’était plus vierge. Je lui laissais quelques instants de répit, le temps de s’habituer à cette chose dans son cul. Je débutais ensuite mes va et vient en elle, doucement, profitant de chaque centimètre. J’analysais ses réactions pour voir si je pouvais accélérer ou non. Elle commençait à ressentir vraiment du plaisir et son premier orgasme anal, sans doute son tout premier orgasme d’ailleurs, la prit totalement par surprise. Enfin libérée, je la baisais à grands coups de rein maintenant et je l’emmenais au paradis artificiel. Elle resta sans voix, inerte, mais tremblant de tous ses membres.

J’ôtais le gode ceinture et je m’allongeais, tête-bêche avec Giulietta. Sa bouche au-dessus de ma chatte, elle comprit très vite ce que j’attendais d’elle. Pour une première fois, je trouvais qu’elle se débrouillait plutôt bien. Aurait-elle eu des expériences saphiques auparavant ? Je devrais lui poser la question. Mais, pour le moment, toute à mon plaisir, et à celui que je lui donnais, je profitais de l’instant présent. Morena, pendant ce temps, avait choisi un petit gode vibrant et continuait à jouer avec son cul. On lui a offert deux nouveaux orgasmes avant de la laisser se reposer. Elle s’est endormie très vite, entre nous deux qui continuaient à caresser et téter sa magnifique poitrine. Au petit matin, elle n’avait pas bougé. J’ouvrais les yeux pour voir son visage souriant, émerveillée de la nuit qu’elle venait de vivre. On se leva sans bruit, je lui proposais un maxi t-shirt pour aller prendre une douche, ensemble. On se lava mutuellement, on se caressa aussi. Enfin, surtout moi, car elle semblait ne pas oser, mais elle répondait aussitôt aux ordres, aux consignes, comme une bonne soumise. Après un petit déj, je la raccompagnais chez elle. Elle, sa mère, et toutes les autres personnes affectées au service, avait encore du travail pour la journée. Je fus très occupée avec la famille de la mariée ce second jour, comme Morena avec les plus jeunes. J’avais, par contre, eu plusieurs fois l’occasion d’observer Giulietta et sa mère, Rosaria. La fille semblait très dévouée auprès de sa mère, je l’ai déjà dit, et je la comprenais parfaitement. Cela n’était pas facile pour une mère célibataire d’élever seule sa fille. Et encore moins dans ce coin reculé de l’Italie profonde. Mais, quand elles savaient être seules, je voyais un changement, imperceptible pour une personne non-initiée. Cela ressemblait vraiment à une relation Dominante/Soumise.

Je le voyais particulièrement dans l’attitude de Giulietta qui restait inerte, jambes légèrement écartées, pendant que Rosaria lui faisait des remontrances. Encore un mystère que je devais résoudre. Je réussis à parler quelques minutes à Giulietta pour lui dire que je passerais la prendre le lendemain pour aller se baigner au lac. Son regard émerveillé me fit sourire. Elle était si contente que je la considère comme une amie. Elle devait penser que, une fois la cérémonie passée, elle redeviendrait une simple bonniche devant moi qui faisait partie de la famille de ses patrons. Je raccompagnais la famille de la mariée à l’aéroport le lendemain. Tous me remercièrent de l’accueil qui leur avait été accordé. Romina elle-même vint me remercier chaleureusement. Elle me serrait très fort contre sa poitrine que je sentais pointer. Je ne comprenais pas bien son attitude, elle qui avait toujours été distante avec moi. Mais, avant de s’éloigner de moi, elle me glissa à l’oreille :

« Je t’ai vue, avec la petite Giulietta « .

Un peu surprise de sa confidence, qui n’avait rien d’une menace, mais sans doute une ouverture. Maintenant qu’elle était mariée, qu’elle avait atteint son but, elle montrait son vrai visage et ce n’était pas pour me déplaire. J’imaginais déjà un trio avec les jeunes mariés. Lol. Et Giulietta, justement, que je devais retourner voir chez elle, après le repas.

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