Martine, la suite (04/18)

J’étais sur mon petit nuage et je ne voulais surtout pas en descendre. Gustave avait compris que ce n’était pas exclusivement ses caresses qui me faisaient vibrer à ce point-là. Il observa son père un peu avant de le bousculer pour prendre sa place. Il y mettait beaucoup plus de fougue que son papa. J’étais transcendée. Auguste s’était assis près de moi et j’ai récolté sur sa bouche les restes de mon plaisir. Le fils n’était pas aussi doué que son père, évidemment qu’il manquait d’expérience. Mais la fougue qu’il mettait à me lécher m’a très vite faite parvenir au nirvana. Le père était tendre et attentionné, le fils plus pressé d’arriver à ses fins. Mais, à eux deux, ils avaient réussi à me faire jouir comme jamais. Même avec une femme, je n’avais ressenti pareille plénitude. Je ne fus nullement surprise lorsque le père attrapa ma petite main pour la poser sur son pantalon, là où la bosse était la plus grosse. Il se frottait sur ma main, puis il me lâcha pour que je continue toute seule. Il en profita pour ouvrir son pantalon et ma main glissa doucement à l’intérieur. Je savais parfaitement que ce moment arriverait. J’avais eu beaucoup de plaisir grâce à eux, c’était à mon tour de leur en donner, avec mes mains, avec ma bouche. Gustave, lui aussi, a baissé son pantalon avant de s’asseoir près de moi.

Sans qu’il me demande, je glissais mon autre main dans son slip. C’était merveilleux de tenir entre mes petites mains ces grosses queues qui, un jour certainement, trouveront leur place en moi. Je savais que cela arriverait, mais pas aujourd’hui. Je branlais adroitement ces deux sexes tendus comme jamais. Auguste, toujours le premier, se leva et présenta sa queue devant ma bouche. Gustave l’imita à son tour mais je ne pouvais pas prendre les deux en bouche en même temps, je prenais donc l’une, puis l’autre, chacun leur tour. Je sentais bien qu’Auguste ne résisterait plus très longtemps. Je pompais donc ardemment le fils pour qu’ils éjaculent en même temps sur mes seins. Je voulais les voir maculés de sperme bien chaud. Je jetais un œil effronté vers Auguste qui ne résista plus. Il se lâcha, inondant ma poitrine, aussitôt suivi par son fiston. Je nettoyais les deux sexes qui venaient de cracher leur lave. Le volcan tari, Auguste reprit place près de moi et m’embrassa à pleine bouche. Gustave, lui, me lécha les seins pour les rendre immaculés. Il semblait beaucoup apprécier ce qu’il me faisait. Je repartais sans ma culotte, que je leur laissais comme trophée. Ils avaient passé une merveilleuse après-midi, tout comme moi. Et je promis évidemment de revenir les voir. Le lendemain, jeudi, retour à la supérette. Fabienne, la fille de Fernand, vint me voir à la caisse, me demandant comment allait ma cheville. Je dus lui raconter à elle aussi les circonstances de mon accident. Puis, elle retourna au bar, près de sa mère.

De retour dans le bureau de Fernand, après avoir mangé, il sortir un tabouret de 60 centimètres de haut, à peu près et me fit asseoir dessus. Il s’approcha alors de moi et ouvrit son pantalon. Il m’avait si souvent donné du plaisir que je pouvais lui en donner un peu, moi aussi. Je me mis donc ardemment au travail et il ne tarda pas à jouir dans ma bouche. Je l’avais senti hésitant au moment crucial et c’est moi qui l’avais aspiré tout entier pour lui faire comprendre ce que j’attendais de lui. Une fois que je l’avais bien vidé de sa substance, il me porta sur son bureau et s’engouffra entre mes cuisses largement ouvertes. Après cette mise en forme, nous avons rejoint la surface de vente et il a ouvert la boutique aux clients. Ce n’est qu’en fin d’après-midi que Mr Jonathan est de nouveau venu faire ses courses. Dès en arrivant, il m’a demandé des nouvelles de ma santé. Je lui répondis que tout allait très bien et que je pouvais désormais marcher sans béquille. Il s’en étonna mais était ravi pour moi, et pour lui. Cela signifiait qu’il pouvait de nouveau compter sur moi pour porter ses courses. Car, comme d’habitude, il en avait pris plus qu’il ne pouvait en porter. Après l’accord de Fernand qui regrettait déjà que j’aille beaucoup mieux, je suivis Mr Jonathan jusqu’à sa porte. On rangea tout dans sa cuisine avant qu’il ne m’emmène dans le salon.

On voyait tout de suite que c’était un homme à poigne car il n’avait aucun besoin de donner des ordres, des consignes. Il commença tout simplement par me déshabiller entièrement. Il voulait prendre mes mensurations exactes, d’après le tableau fourni dans le catalogue de vente par correspondance. Il avait sorti un mètre ruban et chaque mesure n’était qu’un stratagème pour me caresser. Je ne m’en plaignais surtout pas, j’adorais tout ce qu’il me faisait. Quand il eut rempli toutes les cases de son tableau, il reprit de nouvelles mesures, qui je pense ne servaient à rien d’autre que de pouvoir me caresser encore sous ce prétexte futile. Et, quand il estima avoir tout ce qu’il lui fallait, il me fit asseoir sur ses genoux. On commença alors à feuilleter le catalogue. On passa très rapidement sur les robes et autres vêtements pour femme pour atteindre la page des sous-vêtements. Il écarta immédiatement les culottes de grand-mère, et celles des petites filles. C’était la lingerie qui l’intéressait particulièrement. Tout ça était très beau mais je voyais aussi les prix que je trouvais exorbitants pour de si petits morceaux de tissu. Mais Mr Jonathan semblait décidé à m’en acheter un pour Noël. Il cocha plusieurs articles et me demanda ensuite celui que je préférais. Il a bien vu que j’hésitais entre deux modèles et j’ai choisi finalement le moins cher. Mr Jonathan se mit à remplir le bon de commande et je suis presque certaine que c’est l’autre article, le plus cher, qu’il a commandé. Il n’avait cessé de me caresser, tout le temps du feuilletage. Je devrais bien sûr revenir chez lui lorsque la commande sera arrivée et lui exposer de nouveau mon corps, parée de ce nouveau trésor.

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