RADOVAN (04/05)

Un coup d’œil vers Sophie et elles se mirent à deux à le caresser, tellement il y avait de place pour quatre mains. Un peu de liquide apparut sur le gland. Sophie pencha la tête puis se ravisa, laissant la première goutte pour sa complice. Emily passa juste sa langue pour récupérer le divin nectar. Une autre goutte apparut et Sophie emboucha directement le gros gland entre ses lèvres. Commença alors un concours entre les deux jeunes filles, à chaque goutte qui apparaissait. Pour le plus grand plaisir de Radovan, vous vous en doutez bien !!! Mais Sophie avait besoin de plus. D’un clin d’œil complice, elle invita Emily à guider la queue monstrueuse dans sa grotte humide. Emily tenait le monstre à deux mains tandis que Sophie s’empalait lentement. Elle resta tout près pour admirer ces deux corps qui s’épousaient si parfaitement. Et moi, dans tout ça, me direz-vous ?

Après avoir attaché les mains de Radovan, je m’étais replacée derrière Emily. J’avais entièrement relevé sa jupe pour admirer, en compagnie de Radovan, son joli petit cul, et sa petite culotte, vert pomme. Je me frottais contre ses fesses et, doucement, je relevais son top jusqu’à découvrir son soutif assorti. Radovan n’en perdait pas une miette. Sans doute avait-il fantasmé sur sa jeune vendeuse sans jamais avoir osé ? Je dégrafais le soutif et Emily, dans un seul mouvement, ôta tout. Je pouvais librement peloter sa poitrine, tout en me frottant à son cul, sous les yeux exorbités de son patron. Au moment où elle aidait Sophie à s’empaler, ma main droite coulissa de sa poitrine vers sa culotte. Elle était déjà très humide. Je trouvais facilement son clito qui attendait juste qu’on s’occupe de lui. Au moment de jouir, elle planta ses yeux dans ceux de Radovan et il put vérifier l’intensité de son orgasme. Je la redressais pour lui rouler une pelle, tout en défaisant sa jupe qui glissa à ses pieds. À mon tour, je regardais Radovan en baissant sa culotte. Il voyait ses fesses pour la première fois et je vis passer dans ses yeux l’envie de les caresser, les malaxer allègrement. Mais je la gardais pour moi.

Je l’emmenais au centre de la pièce, face à son patron qui ne nous quittait pas du regard. Je la doigtais, la caressais tout en l’embrassant fougueusement. J’appuyais légèrement sur ses épaules et elle s’agenouilla devant moi. Elle s’engouffra sous ma robe pour s’occuper de mon intimité. J’ôtais moi-même ma robe sous les yeux hagards d’un Radovan qui n’en pouvait plus. Je sortis de mon sac tout proche mon gode ceinture. Étonnée, mais pas vraiment surprise, Emily m’aida à le mettre en place avant de me tailler une pipe. Pour bien humidifier la queue qui allait la pénétrer. Je la relevais et la retournais, les deux mains en appui sur le bureau. Et c’est sous le regard de son patron que, enfin, je la pris profondément. Je pelotais ses seins tout en la baisant tendrement. Je voulais que ce moment reste inoubliable. Sophie, en experte qu’elle était, avait réussi à maintenir son amant bien raide. Elle ralentissait quand elle le sentait proche de l’éjaculation, puis reprenait ses mouvements. Elle avait joui deux fois déjà et espérait que ça continue. Mais devant le spectacle que nous lui offrions, il ne tarda pas à lâcher prise et Sophie sentit les jets de sperme remplir la capote. Elle s’agenouilla devant lui pour le nettoyer, embrassant amoureusement cette queue qui l’avait si bien faite jouir. Elle en tira les dernières gouttes de sperme, pour le vider totalement. Elle libéra ensuite ses poignets et, aussitôt, il se jeta, mains en avant, par-dessus son bureau pour enfin caresser cette jolie poitrine offerte.

Emily ne résista pas longtemps à ce regain de caresses et partit dans un orgasme dévastateur. Je jouis moi aussi de cette situation mais plus calmement. Emily avait vraiment apprécié cette expérience mais elle ne souhaita pas la renouveler. Au grand désespoir de Radovan qui se fit une raison. Je retournais souvent le voir, seule. Je m’asseyais alors sur ses genoux et le laissait me caresser pendant que je regardais les écrans de contrôle. Radovan avait préparé des compilations des meilleurs moments vécus derrière ces mêmes écrans. Quand il n’y avait pas de clientes, ou bien inintéressantes, il me passait une de ces compilations. Je mouillais énormément en voyant ces femmes, ces jeunes filles, qui se déshabillaient sans savoir qu’elles étaient filmées. Certaines se caressaient, seules ou à deux. Parfois, Sophie m’accompagnait et Radovan ne s’occupait que d’elle. Et moi, d’elle. Souvent, elle avait droit à une double pénétration, moi par derrière bien sûr. Elle en ressortait comblée, de ses visites. Mais nous ne parlions pas que de cul avec Radovan. C’est un homme cultivé et très galant, poli et tout. Il me confia un jour que beaucoup de ses partenaires féminines partaient en courant en le voyant nu. Il en souffrait beaucoup et c’est sans doute pour cela qu’il était devenu voyeur. On parlait de tout, de commerce, de sa boutique, de son magnifique pays, La Croatie. Quand il en parlait, de la nostalgie dans la voix, cela me donnait irrémédiablement envie de visiter ce pays, cette culture que je ne connaissais pas.

En parlant de sa boutique, il me confia un jour qu’il avait de plus en plus de mal à trouver des vêtements de qualité à bas prix. Sans compter le transport, les problèmes d’acheminement, de livraison. Je lui dis alors que j’avais peut-être une solution. Je devais d’abord me renseigner plus précisément et je reviendrais vers lui rapidement avec des réponses. En rentrant chez moi, Carolyn était déjà là pour la leçon d’anglais de Sophie, leçon qui se finissait toujours en concours de langues. À deux, ou à trois. Malgré mon désir de les coucher sur mon lit, j’écourtais les ébats pour aujourd’hui. Nous étions nues toutes les trois. Je reprenais mon rôle de Maîtresse pour demander à Sophie de nous servir le thé, toujours en tenue d’Ève. En attendant son retour, je restais à discuter avec Carolyn. Elle travaillait dans une usine de confection, à l’approvisionnement, et m’avait déjà parlé des tonnes d’invendus qui plombaient la comptabilité de son entreprise. Je lui proposais, si cela l’intéressait, de devenir commerciale pour sa société et de revendre les surplus.

Cela impliquait un changement de contrat de travail, avec une augmentation substantielle. Mais avant tout, il fallait être sûres que la qualité, et le prix, conviendraient à l’acheteur, aux acheteurs. On a donc convenu qu’elle sorte quelques exemplaires et que je l’accompagne pour les présenter à son futur premier client. Trois jours après, nous entrions dans le bureau de Radovan, le soir, après la fermeture. Carolyn savait bien évidemment que c’était le patron de sa fille, et qu’il ne le serait plus dans quelques jours.

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