Josette (01/03)

Le samedi suivant cette soirée mémorable fut une journée très calme. Amélie avait besoin de repos, Charlène était chez Isabelle et Lucie. Francis avait dû travailler ce jour-là, exceptionnellement, et alla se coucher très tôt. En plus, il voulait être en forme pour venir courir avec moi dans le parc voisin, mon footing dominical. Je restais donc seule avec Corinne devant la télé. Sans aucune arrière-pensée. De ma part. Je regardais, sans vraiment m’intéresser, les différents artistes qui défilaient. J’ai bien vu, mais sans y prêter attention, Corinne dégrafer les boutons de son corsage. Puis, sa jupe qui glissa au sol. J’allais lui demander ce qu’elle faisait quand, me tournant vers elle, elle ôta son corsage. Uniquement en sous-vêtements. Très affriolants. Ce petit sourire au coin des lèvres qui semblait me dire:

« Alors, qu’est-ce-que tu attends? »

Je lui pris les lèvres pour un tendre baiser. Elle joua avec ma langue puis elle prit les choses en mains. C’est la première fois que je la voyais prendre des initiatives et j’en étais ravie. Elle défit son soutif et se plaça à genoux sur moi, m’offrant sa poitrine à téter. Je soulevais ses mamelles pour exciter ses tétons. Les serrant l’une contre l’autre, je pus prendre les deux simultanément en bouche. Un vrai délice. Elle se laissa ensuite glisser doucement sur ma cuisse, frottant sa chatte contre ma peau, puis sur mon pied. Elle le prit à deux mains pour se caresser la fente. Elle posa sa bouche sur mon genou et remonta jusqu’à mon string avec de petits bisous. Habile, sa langue écarta le bout de tissu. Pour m’offrir la plus tendre des caresses. Je m’abandonnais totalement sous ses lèvres. Mon pied continuait à lui masser le clito. Elle était trempée, comme moi. Elle fit en sorte que l’on jouisse en même temps. Elle se releva pour reprendre sa place près de moi. Je lui ôtais sa culotte avant qu’elle ne s’assoit. Puis, je plongeais entre ses cuisses pour récolter sa semence délicieuse, tout en laissant tomber ma minijupe et mon string. Je l’allongeais sur le canapé et me mit sur elle. Chatte contre chatte. Je me frottais avec délices contre sa toison pubienne.

« Un jour, il faudra que l’on rase tout ça ». Lui murmurais-je à l’oreille.

Elle rougit en tournant la tête. Nous avons joui une seconde fois ensemble. Quelle femme formidable !!! Je la raccompagnais à la porte de sa chambre, nue, et la poussais contre le mur pour lui rouler une pelle magistrale. Et je rejoignis Amélie qui dormait profondément, comme d’hab. Le lendemain, levée tôt, je retrouvais Francis en tenue de sport. Il voulait m’accompagner dans mon footing. J’essayais de courir à son rythme, pour ne pas le distancer trop vite. Il avait une vue imprenable sur mon cul. Il soufflait fort et je fis une pause sur un banc public. Lui, devant moi, les mains sur les genoux, tentait de reprendre son souffle.

 » À genoux, mon brave chien. Et défait ma chaussure droite « .

Comme dans un rêve, il s’exécuta.

 » Voilà. Maintenant, branle-toi sur mon pied. Oui. Dans ton jogging. Et regarde ma chatte ».

Je tirais en même temps sur mes leggings pour bien faire apparaître mes lèvres intimes. Il jouit très vite, le cochon.

« Maintenant, lèche mon pied, brave toutou ».

Il me nettoya et remis ma chaussure ensuite. Nous sommes rentrés tranquillement. J’ignore pourquoi j’ai fait ça, encore avec lui. Pour lui donner du plaisir, oui. Le fait de le dominer me plait aussi, un peu. Et sans doute en compensation de la soirée que j’avais passée avec Corinne. Retour à la maison. Isabelle était là, en train de boire un café avec Corinne. Francis la salua avant de disparaitre sous la douche. Elle avait ramené Charlène et avait discuté avec Corinne. Le coming out de sa fille l’avait surprise. Corinne lui avoua que, elle aussi, elle avait été surprise. Mais au final, il fallait s’y faire. Corinne les invita à rester pour partager le repas. Invitation acceptée. Isabelle demanda à aller aux toilettes. Je la guidais pendant que Corinne finissait de préparer le repas. Je la plaquais contre un mur avant qu’elle n’entre. Je lui palpais la poitrine, un vrai bonheur. Ma main descendit entre ses cuisses. Qu’elle écarta d’elle-même. Je la massais doucement à travers le tissu.

« Donne-moi ta culotte, maintenant ».

Elle rougit, mais s’exécuta. Je la laissais ainsi, pantelante, et j’allais prendre ma douche, et réveiller Amélie. Isabelle, au moment de passer à table, ne me quittait pas d’une semelle. Elle prit place à ma droite, Lucie à ma gauche, Charlène en face d’elle et Amélie à côté. Francis, toujours à son bout de table, près d’Isabelle, et Corinne face à lui. J’ai bien vu Isabelle s’assoir avec toutes les précautions, mais relevant sa robe plus haut que nécessaire. Ma main partit à la découverte (redécouverte) de ses cuisses, qu’elle avait bien écartées. J’arrivais facilement à son puits d’amour que je trouvais trempé. Je profitais de son corps pour l’exciter plus encore. Parfois, elle bafouillait, puis se reprenait. La surprise du jour vint de ma gauche. Quand elle posa sa main sur ma cuisse. Par contre, ce fut elle qui fut surprise de me trouver sans culotte. Elle me regarda d’un air étonné, mais continua sa caresse. Elle me donna beaucoup de plaisir, mais sans me faire jouir. J’eus plus de chances avec Isabelle qui s’enfuit aux toilettes pour se cacher. Et s’essuyer.

On prit le café sur la terrasse. Un beau dimanche de Novembre. Isa me prit à part pour me raconter ce qui s’était passé dans sa chambre avec Thierry. Ils avaient monté son armoire et, pendant qu’elle tenait deux flancs du meuble, il se colla derrière elle. Elle sentait parfaitement son sexe bandé dans la raie de ses fesses. Il avait posé ses mains sur ses hanches, puis remonté sur ses seins. Et il s’enhardissait devant le manque de réaction de sa proie. Il la pelotait sans vergogne et elle adorait ça. Enfin, sentir des mains d’homme sur elle, se sentir désirée. Les deux mains descendirent sur son ventre et remontaient la robe, inexorablement. Le contact des doigts sur sa peau, sur son ventre, sa poitrine.

Maintenant la robe relevée, il réussit à passer devant elle et elle sentit son sexe, sorti du pantalon, qui se cherchait un chemin entre ses cuisses. Elle forma un étau de ses cuisses et il débuta des mouvements d’avant en arrière. Il se branlait dans le nid chaud que formaient ses cuisses pleines. Enfin, elle lâcha les panneaux de l’armoire qui tenaient très bien tous seuls. S’accroupit pour prendre en bouche ce sexe qui lui donnait tant de sensations. Malgré son manque d’expérience, elle le fit jouir très rapidement. Elle se releva et il la poussa sur son lit pour lui rendre le plaisir qu’elle venait de lui procurer. Il était vraiment doué avec sa langue, m’avoua-t-elle. J’avais donc l’explication du pourquoi elle semblait si heureuse en revenant de sa chambre, le jour du déménagement. C’est Isabelle, et Lucie, qui nous ramenèrent à la gare, Amélie et moi. Les semaines qui suivirent furent plus studieuses, à cause des partiels à préparer.

Les partiels passés, on a pu respirer un peu et surtout refaire la fête, avant les vacances de Noël. Et surtout, sortir un peu le soir. Et certains après-midis. Depuis ma rencontre avec Amélie, je rêvais de retourner voir Aana dans son bar. Je l’entraînais donc un mardi après-midi dans ce bar quasiment vide, saluais Éric, le barman qui me connaissait bien et descendais directement au sous-sol. Aana nous rejoignit pour prendre notre commande.

« Deux vodkas, et prends ce que tu veux pour toi ».

« Et demande si tu peux rester en bas, avec nous ».

Elle revint avec les boissons, un large sourire illuminait son visage d’ange. Je commençais à discuter avec elle tandis qu’Amélie sirotait sa vodka. Elle fredonnait doucement l’air de la musique d’ambiance.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *