Vacances en famille, la suite (10/18)

Elle finit par jouir intensément lorsque Jérôme réussit à introduire la première phalange de son doigt à l’intérieur de son p’tit cul. Il l’aida à sortir de l’eau mais lui, resta avec les enfants, pour tenter de calmer son érection. Céliane avait défait le nœud qui tenait le haut du maillot et Justine sortit en arborant fièrement sa poitrine dénudée. De toutes les personnes autour de la piscine, aucune ne la regardait vraiment. Sauf nous, évidemment puisqu’elle venait vers nous. J’avais déjà eu l’occasion de la caresser et je rêvais de recommencer, Ingrid aussi semblait très attirée par la poitrine juvénile de l’apprentie mais la plus intéressée, c’était sans nul doute Fanny qui la dévorait littéralement des yeux. Elle s’énerva même un peu contre sa jeune apprentie qui préférait aller se baigner au lieu de s’occuper d’elle, que c’était deux étrangères qui lui tenaient compagnie. Justine allait tenter de se défendre quand j’intervins à mon tour.

« Oui, mais on s’est bien occupé de vous n’est-ce pas ? »

D’un clin d’œil, je lui fis comprendre qu’elle n’aurait pas été mieux servie par la jeune fille. Elle se calma en demandant à la jeune fille de l’aider à se lever, elle aussi voulait se rafraîchir dans la piscine. Je les accompagnais dans l’eau, Jérôme sortit pour rejoindre son épouse. Fanny rentra prudemment dans la piscine, resta avec de l’eau jusqu’au cou. Je lui demandais si elle avait déjà fait la planche. Elle sembla surprise de ma question, me répondit qu’elle n’avait plus essayé depuis qu’elle était enceinte. Je lui proposais de l’aider à reprendre cette position. Jambes bien tendues, elle s’allongea dans l’eau et resta à la surface. Seul son gros ventre dépassait. Son visage était juste à portée de mes seins. J’avais moi aussi ôté le haut de mon maillot pour faire comme Justine. Je lui demandais de s’approcher, face à moi et donc, de l’autre côté de sa patronne, et de poser ses mains juste à côté des miennes. Une sous les fesses, pour les maintenir à flot, l’autre sous la nuque pour garantir que la tête reste hors de l’eau. Fanny regardait alternativement d’un côté puis de l’autre, résistant semble-t-il difficilement à embrasser l’une ou l’autre des poitrines offertes. Pour finir, elle ferma les yeux et laissa ses fesses descendre vers le fond de la piscine. Sa tête disparut quelques instants sous l’eau, puis réapparut presqu’immédiatement. Son envie était passée et on l’aida à regagner son transat. Je restais près d’elle pour me faire sécher au soleil, et bronzer un peu, si possible.

C’est Ingrid qui lança la discussion sur la future naissance du bébé, demandant s’ils connaissaient le sexe de leur enfant. Ni Fanny, ni Joël n’avait désiré savoir à l’avance. Garçon ou fille, ils seraient très contents. Puis Ingrid lui demanda si elle allait allaiter son enfant. Un court silence. Puis Fanny ajouta qu’elle ne savait pas trop mais que Joël aimerait beaucoup la voir donner le sein à leur enfant. Ingrid lui expliqua alors qu’elle avait allaité ses deux filles et qu’elle en était ravie. Le contact entre la mère et l’enfant s’en trouvait décuplé. Ingrid fit une pause, repensant à sa fille qui la fistait ce matin. Un frisson de désir la parcourut, c’est moi qui brisais ce silence en parlant de ma propre expérience et de ma dépression post-partum. Voyant Fanny un peu inquiète que cela lui arrive, je lui précisais que, contrairement à elle, je n’avais pas désiré cette grossesse. Et je remerciais encore une fois mes parents qui nous avaient pris en charge, mon fils et moi. Ingrid rebondit immédiatement en disant que ce genre de dépression ne concernait qu’une infime partie des femmes qui donnaient naissance à un enfant. Ingrid, en connaisseuse, lui précisa qu’elle devait surtout préserver sa poitrine des vergetures, qu’il existait de bons traitements contre cela. Elle avait d’ailleurs toujours un tube avec elle, mais dans sa valise, au chalet. Vu qu’il était presque temps pour moi de rentrer chez moi, nous sommes remontées ensemble vers le chalet. Jérôme remonta le matériel et s’occupa de faire prendre la douche aux plus jeunes. Je sus, plus tard, que Justine avait accepté de prendre la sienne avec Céliane.

Une fois dans la chambre, Ingrid sortit le tube de pommade et proposa à Fanny de l’essayer, là maintenant. Elle chercha du regard un endroit discret mais le chalet était plutôt petit. Devant son indécision, je baissais légèrement l’une des bretelles de son maillot. Elle me regarda, étonnée, mais me laissa faire. Ingrid en fit de même et nous avons pu enfin apprécier de nouveau la fabuleuse poitrine de Fanny. Et ce n’est pas de la crème solaire que nous avons appliqué cette fois. La pommade devait entrer dans tous les pores et, pour cela, il fallait bien malaxer. J’ignore combien de temps nous sommes restées à caresser cette magnifique poitrine mais Céliane et Justine sont arrivées alors que nous n’avions pas encore fini. Fanny voulut se couvrir mais je demandais à Justine d’approcher. Tous les jours, ce serait à elle d’appliquer une bonne dose de pommade. Fanny me regarda, horrifiée, mais très vite son regard changea. Elle me laissa décider à sa place et fournir à Justine l’occasion de malaxer les seins merveilleux de sa patronne. Pour son bien, évidemment. Je remis un peu de pommade dans le creux de ses paumes et je guidais Justine pour bien appliquer le produit. Fanny ferma les yeux, de nouveau prête à jouir sous les caresses. Obliger sa jeune apprentie à la caresser, elle en avait rêvé, et je faisais que ce rêve devienne une réalité. Pour Justine aussi, c’était un rêve qui se réalisait enfin. Elle aurait bien aimé se caresser en même temps mais ses deux mains étaient occupées. Je fis signe à Ingrid de sortir avec Céliane et je les suivais de près. Avant de quitter la chambre, je prenais la main de Fanny pour la placer entre les cuisses de la jeune fille. Toutes les deux semblèrent surprises de mon initiative mais aucune ne refusa le contact qui était enfin établi.

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