Comme je le précisais au début de mon propos, j’ai toujours été quelqu’un de tolérant, acceptant les mœurs et religions des autres sans aucun problème. Mais l’idée d’avoir un jour une relation sexuelle avec une autre femme, une expérience lesbienne, m’avait toujours rebutée.
« Je ne suis pas comme ça ». Pensais-je en moi.
Mais aujourd’hui, avec Jenny, une furieuse envie de franchir le Rubicon me laissait tremblotante. J’étais incapable de faire un pas, de m’éloigner de cette porte derrière laquelle m’attendait, j’en étais persuadée, une Jenny tout aussi fébrile que je l’étais moi-même.
Puis, je me rendis à l’évidence que ce n’était pas l’acte en lui-même qui me rebutait le plus, mais plutôt ce qui se passerait ensuite, ce que « les gens » penseraient de moi, quand ils sauront ce que j’ai osé faire.
Ma décision était prise. Je me laisserais succomber si Jenny m’ouvrait.
Je toquais doucement à la porte. Jenny ouvrit aussitôt, elle aussi devait attendre un geste, un signe. Elle était rouge pivoine, comme moi je pense, le cœur battant à tout rompre dans ma poitrine, l’estomac noué. Nous étions aussi haletantes l’une que l’autre, le regard fiévreux. Elle me tendit la main, les yeux plongés dans les miens, et me tira à l’intérieur. La porte se referma sans bruit.
Et, pour la première fois, elle prit l’initiative. Elle prit mon visage entre ses douces mains et me donna un merveilleux baiser, digne des plus beaux contes de fées. Tout en m’embrassant, elle me poussait vers le lit, me déshabillant habilement, comme si elle déballait un paquet cadeau. Une fois que je fus entièrement nue, elle me contempla un moment, m’allongea et se colla tout contre moi.
Sa bouche retrouva enfin la mienne, ses bras m’enlacèrent tendrement et nous nous embrassâmes dans un concert de soupirs. Elle embrassait, suçotait ou léchait le lobe de mes oreilles, mes joues, mon cou, mon menton, et ses mains partirent à l’aventure pour faire doucement connaissance avec le reste de mon corps.
Sa bouche descendit en me couvrant de baisers, ses yeux plongés dans les miens, guettant chacune de mes réactions. Elle prit chacun de mes tétons durcis entre son pouce et son index pour les faire rouler avec une douceur infinie. Sa langue prit le relais pour délicatement dessiner les mamelons, sans toucher les pointes, bien dressées et dures comme de la pierre.
Lorsque mes mains ont caressé ses cheveux pour l’inviter à continuer ses caresses, elle s’est mise à téter mes petits seins comme un bébé, m’arrachant une plainte de satisfaction alors que ma tête basculait lentement en arrière. Tous ses gestes étaient absolument fantastiques, doux et lascifs, ne cherchant pas à aller droit au but, mais plutôt faisait tout pour me faire languir. C’était insupportable, et génial à la fois
Sa bouche descendait toujours plus lentement vers mon intimité, ses baisers brûlants goûtant avec toujours plus d’attention chaque parcelle de ma peau. Mes cuisses se sont écartées d’elles-mêmes afin de lui offrir l’accès au plaisir saphique. Même mes genoux se sont relevés, sans la moindre gêne, ou pudeur.
Arrivée au moment crucial de ses caresses, elle contempla mon intimité pendant un instant. Sa bouche se rapprochait de mes lèvres gorgées de désir, mon ventre était en feu, mon clito me faisait mal, mon sang bouillonnait dans mes veines, mon cœur battait à tout rompre. J’étais dans un état second, prête à exploser. Mes mains attirèrent son visage pour lui communiquer mon impatience.
J’étais vraiment à fleur de peau. Chaque caresse sur mon ventre, mes cuisses, mes seins était d’une délicatesse que je n’aurais jamais imaginée. Sans prévenir, à grands coups de sa langue chaude et humide, elle lapa mon nectar qui s’échappait de ma petite fleur avec une soif à peine dissimulée m’arrachant un râle de bonheur sorti tout droit de ma gorge, tout en me faisant me tendre comme un arc.
Elle aspirait, léchait, embrassait délicatement mes lèvres intimes, mon petit bouton d’amour, buvait mon nectar intime à la source. J’étais aux anges… J’y étais vraiment, cette fois. (Nice se situe dans la Baie des Anges).
Personne avant Jenny ne m’avait procuré autant de plaisir. Je gémissais ou couinais de plus en plus fort, maintenant son visage plaqué sur ma vulve. Ma main libre saisit la sienne, je sentais mes muscles se contracter, ma tête se vider, et soudain, je jouis comme jamais avant cela, durant de longues minutes dans sa bouche.
Mon dieu ! Que c’était fort ! Bien plus fort que dans tous mes fantasmes réunis. Tout mon corps s’était transformé en une gigantesque boule de feu, et, lorsque j’ai explosé, j’ai senti tout mon être partir en elle. Elle me buvait encore, et encore, se repaissait de mon jus avec toujours autant de délectation afin de terminer ce qu’elle avait commencé, puis revint m’embrasser, la bouche remplie de mon parfum intime légèrement épicé. Après un long baiser passionné, elle se leva pour se mettre nue, comme moi.
Elle s’allongea à nouveau contre moi et nous reprîmes nos baisers là où nous nous étions arrêtées. Je lui suçais doucement la langue et ma main descendit rapidement en direction de sa petite chatte que j’imaginais bien juteuse. Lorsque mes doigts atteignirent leur but, sa respiration s’accéléra et ses gémissements se transformèrent vite en couinements de plaisir. Je caressais doucement, mais fermement, sa petite perle dardée pendant que je lui suçais doucement les tétons l’un après l’autre. Elle m’enlaça de plus en plus fort. Rapidement, un râle d’extase signifia sa libération, et elle inonda mes doigts de sa délicieuse liqueur.
Sans attendre qu’elle se remette de son orgasme, je plongeais entre ses cuisses. Sa petite chatte rose pâle était vraiment irrésistible et je dégustais son abricot du mieux possible. On dit souvent, pour prodiguer un bon cunni, qu’il suffit de faire ce que l’on aimerait que l’on nous fasse. Alors, je me suis mise à la manger avec appétit. Tandis qu’une de mes mains lui caressait les seins, de l’autre, j’enfonçais deux de mes doigts en elle, tout en titillant sa petite perle avec ma langue, et amorçais de rapides mouvements de va-et-vient.
Son bassin s’agitait, elle empoigna mes cheveux, je la sentis se contracter, mouiller en abondance. J’entendais ses gémissements plaintifs envahir la chambre et elle jouit une nouvelle fois, sans aucune retenue, en agrippant les draps, dans un cri vraiment adorable. Je continuais à butiner sa petite rose éclose, écarlate, afin de boire son miel au parfum doucement poivré.
Avant de m’embrasser, elle suçota mes doigts souillés lentement en me regardant langoureusement. Je me lovais dans ses bras pour partager un moment de tendresse. Je ne savais pas pour elle mais j’en voulais encore. En silence, ma main plongea en direction de son intimité pour constater son état d’excitation extrême. Elle fit de même et nos cuisses s’écartèrent. Sans nous lâcher des yeux, communiquant de cette simple façon.
Chacune caressait l’autre avec tendresse et délicatesse, et rapidement, un nouveau concert de gémissements et de bruits mouillés se fit entendre. Jenny stoppa d’un coup et se plaça en 69. Nos orgasmes se succédèrent jusqu’à notre épuisement total.
Essoufflées, repues, mais heureuses, nous nous embrassions tendrement, longuement, récupérant peu à peu de ce feu passionnel qui nous avait toutes deux consumées. Nous nous sommes levées pour prendre une douche, malgré l’heure tardive, avant de retourner nous coucher. Je finis par m’endormir au creux de ses bras après un doux moment de caresses.
J’ai passé, dans ses bras, une des plus belles nuits de ma vie. Et, comme j’étais la première réveillée, j’en ai profité pour admirer son corps splendide de femme. J’aurais voulu la sortir de son sommeil pour la caresser encore et la faire jouir, mais j’ai préféré la laisser dormir pour la contempler à ma guise.
Je suis allée prendre une douche, seule cette fois, et, en revenant près du lit, elle venait tout juste de se réveiller. Un long baiser tendre qu’elle a dû interrompre pour aller se laver à son tour. Puis, on s’est donné rendez-vous pour le soir même. Son séminaire n’était pas encore fini.
Retourner au travail après une nuit pareille, très très dur. Mais bon, à part quelques remarques de mes collègues concernant mes cernes sous les yeux, je m’en suis plutôt bien sortie. En fin de matinée, Fanny, la jeune stagiaire, passa dans mon bureau pour m’apporter des documents à signer. En voulant poser sa pochette sur le bureau, elle fit tomber un dossier par terre. Elle le ramassa aussitôt, sans plier les jambes, si bien que je pus à loisir apercevoir son string sous sa minijupe.
Encore un peu dans le souvenir de cette soirée avec Jenny, je posais ma main directement sur sa fente. Curieusement, elle ne broncha pas, écartant même les jambes pour me donner un meilleur accès. Puis, elle tourna la tête vers moi. Ses petits yeux vicieux me demandaient clairement de continuer. Je remontais sa minijupe sur sa taille pour admirer son cul magnifique.
Elle récupéra le dossier et le remit sur mon bureau. J’avais sa poitrine arrogante à quelques centimètres de ma bouche, son parfum m’enivrait, tandis que je caressais toujours son cul. À travers la baie vitrée de mon bureau, j’apercevais mes collègues vendeurs qui mataient son cul, eux aussi. Pour leur plus grand plaisir, et le mien, je baissais son string, avant de l’ôter totalement.
Bonjour Emma désolé je me suis mis à lire se beau discours plein de tendresse et d’amour et de désir
Moi je travaille ça magnifique et tellement émouvant
Se n’est que du bonheur pour vous deux
Et j adore prenez soin de vous deux
Bisous Yannick