Martine (23/23)

Il me stoppa avant d’éjaculer dans ma bouche. Il se leva et laissa sa place à sa femme. Elle s’allongea en travers du lit, la chatte offerte à ma bouche. Je ne me fis pas prier, j’aspirais immédiatement son clito pour la faire ronronner de plaisir. Son mari était derrière moi, sa queue coulissait le long de ma fente très humide. Je pensais que j’allais perdre ma virginité ce matin, là, dans cette chambre. Si j’avais eu le choix, j’aurais sans doute choisi un garçon de mon âge mais s’il en était ainsi, et bien soit !

Mais ce n’était pas ma virginité qui l’intéressait, ou plutôt si, mais celle de mon petit trou. J’ignorais jusqu’alors qu’il pouvait servir à autre chose que ce que la Nature avait prévu. Vivant à la campagne, j’avais souvent vu des chiens se faire prendre. J’avais même noté que rarement, c’était deux mâles, dont l’un plus autoritaire que l’autre. Mais je pensais encore bêtement qu’ils faisaient semblant.

Mon petit trou avait été parfaitement préparé par sa femme qui m’offrait désormais sa vulve à lécher. Je m’occupais donc uniquement du plaisir que je pouvais lui donner, laissant son mari prendre très tendrement possession de mon cul. C’était une sensation divine. Un éblouissement.

Tendre, il l’a été. Doucement il s’est introduit dans mon petit trou et ce n’est que lorsque j’ai senti ses couilles battre contre mes fesses que j’ai compris qu’il m’avait investie totalement. Il resta un moment planté là, bien au chaud. Puis il ressortit légèrement avant de replonger au plus profond de mon ventre. Le passage était fait, il commença à coulisser lentement en moi, jusqu’à ressortir presque totalement pour me pénétrer à nouveau. J’étais ivre de ce nouveau plaisir, qui n’avait aucune commune mesure avec tout ce que j’avais déjà ressenti. J’étais femme, enfin presque. J’étais un jouet pour ce couple de pervers et j’étais follement heureuse d’avoir été choisie.

Mr Renaudin, je peux l’appeler Clotaire désormais, me ramonait le cul de plus en plus fort, m’empêchant de satisfaire sa femme qui se contentait de se doigter elle-même. Mes grosses mamelles balayaient ses cuisses au rythme imposé par le mâle alpha. Le maître, mon Maître. Je ne peux pas vraiment expliquer ce qui se passait dans ma tête mais j’étais comblée de me trouver ici, nue et enculée par Clotaire sous les yeux de sa femme.

Je m’écroulais finalement sur le lit, vaincue par mon premier orgasme anal. Éliette s’était légèrement reculée et j’avais de nouveau sa vulve à portée de ma bouche quand je rouvris les yeux. Comment résister à l’envie de finir ce que j’avais si bien commencé ? Ma bouche retrouva les délices de ses lèvres intimes que je n’abandonnais pas avant qu’elle ne jouisse à nouveau.

Clotaire, quant à lui, continuait à jouer avec mon cul. Il me caressait les fesses, laissant pénétrer ses doigts en moi. Puis je sentis un objet plus froid se promener sur ma peau. Objet qui se dirigeait inexorablement vers mon anus. C’était froid mais délicieusement subtil et quand il força le passage, ce fut plus une délivrance quand finalement il trouva sa place en moi.

« Nous te souhaitons un merveilleux anniversaire, Martine ».

Mon cadeau d’anniversaire, en dehors de mon dépucelage par mon Maître, je le portais fièrement, enfoncé dans mon arrière-train. J’appris que cela s’appelait un plug anal (rosebud en anglais). Que cela m’apporterait bien des satisfactions, tout en gardant intacte ma virginité. Je compris que, désormais, je pourrais à mon tour m’asseoir sur la queue de mon Maître, celle-ci bien plantée dans mon cul. Comme j’avais vu Éliette le faire. Mes visites futures n’en seraient que plus agréables.

Bientôt arrivèrent les vacances de Noël, deux semaines durant lesquelles je comptais bien retourner travailler à la supérette de Fernand. Mais le premier week-end, j’avais accepté l’invitation de Lalie, ma nouvelle amie, à passer les deux jours chez elle et sa famille. Son père, je le connaissais déjà puisqu’il n’était autre que le propriétaire de l’étalon que j’avais vu chez mon amie Denise.

Dès le samedi matin, elle « m’embaucha » aux travaux spécifiques de la ferme. Ses parents élevaient des chevaux, des percherons, et les chevaux étaient dressés pour le débardage en forêt. Notre mission, monter les chevaux et nous promener en forêt pour habituer les animaux aux bruits de cette forêt. Surtout celui des machines, des tronçonneuses, et celui des arbres qui chutent durement sur le sol. Les chevaux ne devaient pas réagir à tous ces bruits, sauf si leur propre sécurité était en jeu, bien évidemment.

Nous avons donc rejoint la clairière où les bucherons travaillaient et ils nous ont aidées à grimper sur nos montures. Nous avons commencé notre promenade, tranquillement autour de cette même clairière. Quand soudain, un arbre est tombé à quelques mètres devant mon cheval, celui-ci s’est cabré brusquement et, quand il reposa ses pattes sur le sol, je chutais violemment au sol. Un des ouvriers de la ferme vint immédiatement à mon secours.

Lalie était tellement désolée qu’elle ne cessait de s’excuser pour cet accident dont elle n’était nullement responsable. Je n’avais pas de contusion, mais une douleur effarante au niveau de la cheville droite. J’étais incapable de poser le pied par terre. Gustave, c’était son prénom, proposa de me porter jusqu’à la ferme où nous pourrions appeler un médecin, ou mieux une infirmière, pour diagnostiquer les séquelles de cette chute.

Gustave était un jeune homme fort bien bâti, une carrure de Mister Univers mais avec un petit pois dans la tête. Je veux dire qu’il avait arrêté ses études dès que cela a été possible pour travailler et aider sa famille. Et malgré mon poids, ma corpulence, il m’a portée dans ses bras jusqu’à la ferme. À un moment donné, il a failli chuter et, en se rattrapant, sa main droite, qui était sous mes genoux, a glissé jusque sous mes fesses. Il n’a pas tenté de reprendre la prise précédente, trop heureux, semble-t-il, de pouvoir enfin caresser un corps de jeune fille. Sa grosse main sous mes fesses, mais son pouce entre mes cuisses me lançait des pointes d’excitation intense.

Il aurait pu s’arrêter de marcher et continuer à me doigter ainsi, je ne l’aurais sûrement pas empêché de persister. Le plaisir grandissait en moi, me faisant presque oublier la douleur au niveau de ma cheville. Mais nous sommes finalement arrivés à la ferme et il m’a déposée délicatement sur le canapé. Un peu déçue, j’avais gardé les cuisses écartées et lui, il me regardait intensément, jusqu’à l’arrivée de la maman de Lalie qui a pris la situation en main.

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