La Comtesse d’Orgemont trois (10/10)

Avant qu’on ne me dise quoi que ce soit, je pris la parole pour expliquer notre présence ici.

« L’eau chaude ne fonctionne pas chez nous et, comme vous nous le proposez très souvent, on a décidé d’accepter votre invitation. Ça ne vous dérange pas, au moins ? »

On nous fit une place entre deux colosses et je me déshabillais sans aucun complexe, devant leurs regards médusés. Même Ludivine semblait surprise de mon aplomb. Elle savait pourtant ce que j’avais imaginé et pourquoi j’étais là. Je passais côté douches, communes comme il se doit. D’autres sportifs étaient déjà en train de se laver et ils me firent une place près d’eux.

On peut affirmer que ma présence les perturbait un peu. Ils ne pensaient plus à se laver et la plupart m’observaient attentivement. Je tournais face aux uns, puis aux autres, ne cachant rien de ma nudité. Ludivine m’avait suivi dans la pièce mais restait habillée. Elle me regardait en train de chauffer les mâles présents.

Car, évidemment, les queues commençaient à se redresser. Certains hommes, plus timides ou réservés, ou tout simplement fidèles, se lavaient consciencieusement en me tournant le dos. Mais il leur était impossible de ne pas jeter un œil sur moi, à la sauvette. Tous étaient maintenant sous la douche et la vapeur emplissait la pièce. Aucun n’a cherché à obtenir plus que ce que je proposais. Pas un n’a essayé de me toucher.

Je décidais donc qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Je fis le tour de la pièce, touchant chacun d’eux. Les fesses de ceux qui me tournaient le dos, ostensiblement, la queue durcie pour ceux qui n’avaient pas honte de s’exposer. Et même là, les réactions furent différentes. Certains donnaient un coup de rein en avant, comme s’ils voulaient se branler entre mes doigts, tandis que d’autres cherchaient encore à éviter ce contact.

Je me lançais dans un second tour de la salle. M’arrêtant plus longtemps près de ceux qui acceptaient ma caresse. Car, cette fois-ci, je prenais bien la queue entre mes doigts. De mon autre main, j’attrapais la leur pour la poser sur mes seins. Je branlais doucement le premier tandis qu’il me pelotait. Le suivant se tourna quand j’approchais de lui. Ensuite, l’autre resta face à moi mais refusa pourtant que je le touche. Il ne pouvait pourtant pas nier qu’il en avait très envie.

J’avais presque fini mon tour. Tous ceux qui s’étaient tournés sortirent de la pièce, estimant qu’ils étaient propres et refusant d’assister à ce qui allait suivre. Il ne restait plus qu’une dizaine de sportifs, d’âges différents, de corpulences différentes mais tous bandaient bien sûr devant mon corps. Ils ne savaient pas encore jusqu’où j’étais prête à aller mais eux, ils étaient prêts à tout.

Je m’approchais de l’un d’eux, le plus grand, le plus costaud, et je me serrais contre son torse. Je sentais évidemment sa grosse queue qui battait la mesure entre mes cuisses. Un autre s’approcha de moi, par derrière, et se colla à mes fesses, il posa ses mains sur mes épaules et sa queue frémissait contre mon cul. Deux autres s’approchèrent pour poser directement leurs mains sur ma poitrine. J’acceptais évidemment la caresse et les deux derniers se collèrent au groupe.

Je pus attraper leur queue entre mes doigts et je les sentais qui se gonflaient inexorablement. J’avais donc six hommes autour de moi, qui me caressaient, ou se faisaient branler. Les quatre derniers dans la pièce restèrent juste en tant que spectateur. Ayant repris confiance, Ludivine accepta enfin de se mettre nue et commença à se laver, sous le regard attendri des spectateurs.

Même les hommes auprès de moi ont dû se rendre compte de ce qui se passait et la regardaient, de temps en temps. Je décidais de m’empaler sur la queue devant moi, dure comme un roc. Je n’ai pas trop aimé le regard satisfait du mâle, se croyant irrésistible. Moi, j’avais envie et n’importe quelle queue aurait fait mon affaire. Il me ramonait tendrement, prenant tout son temps. Je réussis à attraper la queue qui se frottait toujours contre mes fesses et la présentais à l’entrée de service.

J’ai bien senti une réticence, mais il a investi mon cul et, à deux, ils ont donné la cadence. Ludivine m’observait pendant que je me faisais prendre des deux côtés. Mes partenaires ont interverti leurs places mais j’avais toujours deux queues en moi qui me ramonaient hardiment. Mes mains aussi étaient prises. Les quatre spectateurs se branlaient en rythme, soit en me regardant, soit en matant le corps juvénile de Ludivine.

L’eau ne coulait plus depuis longtemps mais j’avais toujours les cuisses humides, aspergées de sperme bien chaud assaisonné de ma propre cyprine. Je n’étais plus qu’une femelle en chaleur qu’il fallait calmer, par tous les moyens. Très vite, ce fut ma bouche qui fut mise à contribution. J’étais prise par tous les bouts et j’adorais ça. Mes partenaires changeaient de place, dans une tournante infernale. Les quatre spectateurs devaient se régaler. Je vis que deux d’entre eux se sont approchés de Ludivine, pour la voir, que dis-je ! l’admirer de plus près. Ils ont très vite éjaculé sur son ventre, sur ses cuisses. Et elle les a laissé faire. Aucun d’eux n’a essayé de la toucher, la caresser. Je l’ai vue remettre la douche en marche pour se rincer.

Secouée de toute part, je tombais moi-même à genoux. C’est ma bouche qui fut mise à contribution, exclusivement. Certains ne purent se retenir et éjaculèrent au fond de ma gorge, d’autres préfèrent arroser ma poitrine, mon ventre, mon visage. Les deux derniers spectateurs se sont approchés et ont, eux aussi, profités de ma bouche accueillante.

Quand j’émergeais de mon délire orgasmique, ils n’étaient plus que trois autour de moi. Ludivine était restée dans cette pièce, ne souhaitant pas se retrouver seule, totalement nue, au milieu de sept gaillards. On peut la comprendre, je pense, même si je reste persuadée qu’elle ne risquait absolument rien du tout. La plupart venaient de me baiser, sans retenue, et tous avaient joui, au moins une fois. Ils étaient pressés de rentrer chez eux, manger et se préparer pour le match de l’après-midi.

Ce match, ils l’ont perdu. Mais aucun ne regrettait sa journée. Cette séance de douche collective, vous vous doutez bien que je l’ai renouvelée, plusieurs fois. Mais cela ne finissait pas toujours en gang-bang. Avec ou sans Ludivine, j’allais courir sur ce même stade, quand ils s’entrainaient, et je prenais ma douche avec eux, dans le respect le plus total. Comme je vous l’ai dit précédemment, j’ai même été invitée à l’arbre de Noël du club, avec mon fils Dylan.

Ce fut, encore une fois, une soirée mémorable…

Nous étions en Décembre 2019 et on commençait à parler de la Covid19.

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