Fanny aimait les hommes, je le savais depuis longtemps. Je me rendais compte qu’elle ne disait pas non aux femmes également, tout comme moi, depuis peu. Je la regardais droit dans les yeux.
« Fanny, tu ne bouges pas, et tu ne retournes pas. Derrière la baie vitrée, les mecs sont en train de mater ton cul ».
Je sentis un frisson la traverser, et une immense envie de regarder ses collègues qui devaient baver devant son cul dénudé.
» Deux solutions. Soit je continue comme ça jusqu’à te faire jouir, soit j’en fais entrer un pour qu’il te baise ».
Un éclair illumina ses yeux. Les deux options lui plaisaient, vraisemblablement, mais son choix était fait.
« Une queue. Je veux une queue ».
» Je fais entrer lequel? JP, Michel ou Denis?
Je les avais nommés du plus âgé au plus jeune.
Un sourire sur son visage.
« Michel »
Je lui fis signe d’entrer, puis lui demandais de fermer les stores pour plus d’intimité.
« Elle veut une queue. Ta queue. Tu es prêt à la prendre, je suppose »
Je sortis un préservatif de mon tiroir, j’en avais toujours un stock. On ne sait jamais comment peut se finir une négociation, une vente.
Fanny avait posé ses deux mains sur le bureau, les jambes bien écartées. Michel l’enfila d’un coup, tellement elle était mouillée. Et il la baisa de longues minutes. Moi, je jouais avec son clito, ou bien sa poitrine, gonflée de plaisir. Michel accéléra jusqu’au coup de rein final et il se vida en elle.
Il repartit vers son bureau, raconter à ses potes comment elle était bonne. Et faire un brin de toilette aussi, je suppose. J’essuyais la fente dégoulinante avec un Kleenex
Elle était heureuse, Fanny. Comblée.
Je réajustais sa minijupe, sans string. La savoir disponible sous sa mini me faisait mouiller terriblement. Elle aussi, je pense, ses tétons pointaient anormalement.
Le midi, j’allais déjeuner chez mon père, mon patron, ce qui était assez rare depuis que j’avais repris mon indépendance. Mon père, Massimo, a divorcé il y a longtemps déjà de ma mère, Bianca. Elle est restée seule mais lui, s’est remarié. Ma belle-mère se nomme Fabiola, blonde alors que ma mère était brune. J’ai une demi-sœur, Wendy. Une vraie princesse. Elle va fêter ses 15 ans en Mai, le 15. Toujours lycéenne, elle prépare le bac cette année.
Cela me faisait réellement plaisir de la revoir. On ne se voit pas régulièrement, mais c’est surtout de ma faute. J’arrivais chez mon père avant lui. Fabiola me reçut agréablement. C’est une très belle femme, blonde aux yeux bleus, cheveux mi-longs, et une très jolie poitrine. Maintenant que je la revoyais, elle était vraiment désirable. Je croyais devenir folle. Toutes les jolies femmes que je reverrais à présent, j’aurais donc toujours envie d’elles ? Ce ne pouvait pas être vrai.
Wendy arriva très peu de temps après et elle me sauta dans les bras, heureuse de voir sa grande sœur. Elle était collée à moi, sa poitrine volumineuse écrasait la mienne. Elle tenait ça de sa mère, tout comme ses cheveux blonds, longs. Seuls ses yeux marron venaient de notre père. De sentir sa chaleur tout contre moi, sa chatte qui se frottait contre la mienne. Je faillis défaillir. Elle semblait bouger en rythme, comme si elle se masturbait contre moi. NON. Pas possible. Je devais encore me faire des idées. Des idées vraiment malsaines. En la reposant, j’étais toute chancelante, et mon string était trempé. Une fois assise, ça allait mieux.
Papa arriva enfin et on passa à table. Ce repas fut le plus chaleureux que je partageais avec eux tous. Bien sûr, ce n’était pas la première fois que je déjeunais ici, donc, c’est moi qui avait changé, mon attitude envers eux, envers elle surtout. Cette petite secrétaire arriviste qui avait couché avec son patron, réussi à le rendre suffisamment amoureux pour qu’il divorce afin de pouvoir lui offrir la vie dont elle avait toujours rêvé. Oui, c’est bien moi qui avait changé, qui riais de ses blagues, pas toujours très drôles d’ailleurs.
Même, à un moment, je posais ma main sur sa cuisse, pendant un fou rire, et je la laissais plus que de raison. Jamais, elle ne tenta de l’enlever, heureuse de ce contact, de cette communion qui nous rapprochait tout à coup. Sa jambe, gainée de nylon, était chaude, et douce. Ma main semblait avoir sa propre vie. Elle caressa cette cuisse accueillante.
Je retirais ma main quand je pris conscience que je lui caressais la cuisse. Juste un sourire. Et un petit air vicieux. Mais je n’eus pas le temps de m’en préoccuper car c’est la main de Wendy qui se posait à son tour sur ma cuisse. Et remontait vers mon string déjà trempé. Je n’avais même pas la force de refermer mes cuisses, me livrant entièrement. Je stoppais pourtant sa main juste avant qu’elle ne se rende compte de mon état. Avant de la repousser plus bas. Elle sembla s’en contenter et sa main continua à caresser l’intérieur de ma cuisse. Que je lui abandonnais.
Notre père, qui lui n’avait rien vu de tout ça, était ravi de la tournure que prenait ce déjeuner. Jamais il ne m’avait vu rire des blagues de cette femme qui avait remplacé ma mère dans son cœur, et dans son lit. Longtemps, il avait été triste que je n’accepte pas sa nouvelle compagne. Et aujourd’hui enfin, tout semblait changé. Et il en était très content.
À la fin du repas, je remerciais la cuisinière pour ses talents, indéniables, et je suivais Wendy qui voulait me parler dans sa chambre. Assises toutes deux sur son lit, elle hésita un peu avant de se lancer.
« Ma meilleure s’appelle Marielle et on s’entend très bien. Aussi bien pour les cours, où on s’entraide mutuellement, que pour les bêtises à côté. »
« Emma, je peux te poser une question, disons, indiscrète ? »
« Oui, je t’écoute, ma puce ».
Redoutant le pire.
» Tu as déjà eu des … relations avec une autre fille, une femme quoi? »
« Oui, répondis-je sans hésiter, pourquoi cette question ? ».
» Marielle, et moi aussi, on serait tentées pour une expérience. C’est aussi bien qu’on le dit ? ».
« Oui, ma puce, et mieux encore ».
» Mais, si vous en avez parlé, vous avez déjà fait quelque chose, ensemble ? »
« Oui, et non. On se caresse l’une face à l’autre, jusqu’au bout. Et c’est trop bon ».
» Oui, je sais, ma puce. J’en faisais autant avec ma meilleure amie, avant qu’elle ne parte vivre loin, avec sa mère ».
« Et, parler de sexe avec ta petite sœur, ça te donne des idées, des envies? ».
» Euhhh, non, pas du tout ».
Je suis sûre que je devais être toute rouge, tant j’étais mauvaise menteuse.
« Tu mens, Emma, j’en suis sûre. Moi, ça me fait des choses, là ».
Désignant son bas-ventre. J’insistais bêtement, refusant de lui avouer que, oui, j’avais envie d’elle, de son corps juvénile, de sa beauté, de sa chaleur, et de sa somptueuse poitrine.
« OK, je vais vérifier et, si j’ai tort, tu me donneras un gage. Si j’ai raison, tu me donneras … Ta culotte « .
Dans un demi-brouillard, j’acceptais ce challenge, ne pensant pas qu’elle irait au bout.
» Lève-toi, Emma, et viens devant moi ».
Comme une automate, je suivais ses consignes, et écartais les cuisses. Je redoutais, et j’attendais cet instant depuis que sa main m’avait caressée. Évidemment, elle me trouva trempée. Je ne pouvais plus lui cacher mon état d’excitation. Qui avait débuté au moment de saluer Fabiola, jusqu’à maintenant.
« Tu vas devoir me donner ta culotte, et rester sans rien tout l’après-midi ».
Résignée, je m’entendis dire.
» Vas-y, prends-la « .
Doucement, elle fit descendre ma culotte sur mes chevilles. Accroupie devant moi, elle souleva une jambe, puis l’autre, pour dégager mon vêtement. Pire, je la laissais soulever ma minijupe pour admirer ma chatte, ainsi offerte. Elle se releva enfin, troublée elle aussi, et ôta sa culotte à son tour.
» On sera à égalité « . Dit-elle en la glissant dans mon sac à main.
Elle ramassa la mienne et la porta à ses narines.
» Hummmm, comme tu sens bon, Emma »
Un silence s’installa, rompu par ma jeune sœur.
« Avec Marielle, on pourrait venir chez toi, de temps en temps. Chez elle, ce n’est pas possible avec ses frères et sœurs, et ici, maman n’a que ça à faire de me surveiller. On ne peut jamais être tranquilles, toutes les deux ».
» Oui, ma puce, j’accepte ».
« Merci, ma grande sœur, tu es vraiment super. Tu peux m’emmener au lycée en voiture? Stp? ».
» Bien sûr, allons-y « .
Un dernier bisou à Fabiola pour lui souhaiter un bon après-midi et on partait enfin. Tout en conduisant, j’avais oublié que je n’avais plus de culotte et Wendy en profita pour me mater outrageusement. Arrivées devant son lycée, j’allais repartir quand elle me demanda une minute. Elle revint aussitôt accompagnée de sa copine, Marielle. Qui elle aussi put se rincer l’œil. C’est d’ailleurs à son regard que je me rendais compte de ma position impudique à souhait.
Retour au bureau et un peu de calme après les tempêtes que je venais de traverser. Je me jetais sur mon travail afin de penser à autre chose. J’y parvins pendant une heure. Puis, Fanny passa me donner le suivi des commandes. Elle était si belle, et si fraîche. Et sans culotte toujours.