Fatiha, la suite (09/14)

Elle tendit ses bras en arrière, ce qui fit ressortir sa poitrine de plus belle. Elle fit coulisser son corsage et le posa sur le bureau tout proche. Elle envoya de nouveau ses bras dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Lentement, elle fit glisser les bretelles le long de ses bras jusqu’à l’ôter totalement. Elle s’avança alors fièrement vers ma bouche pour m’offrir ses seins à grignoter. J’étais littéralement ébloui par tant de beauté, tant de désinvolture. Elle s’offrait à moi, sans sourciller. Je prenais l’un de ses tétons en bouche tandis que ma main flattait son jumeau. Ma seconde main était dans son dos, comme si je voulais l’empêcher de reculer. Cette main aventureuse commença à descendre vers les fesses de la femme, docile à souhait. J’étais sur ses fesses et elle se trémoussait de plaisir. Quand je tentais de remonter sa jupe, pour glisser ma main directement au contact de sa culotte, je la sentis se raidir et je lâchais immédiatement le tissu, me contentant aisément de tout ce qu’elle m’offrait déjà. Je restais donc à lécher et sucer ses seins merveilleux et à peloter ses fesses, par-dessus le tissu de sa jupe. Elle avait placé ses mains derrière ma nuque et elle caressait mes cheveux. C’était un véritable moment de tendresse entre elle et moi et j’aurais aimé qu’il dure très longtemps.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Tandis que je tétais amoureusement sa voluptueuse poitrine, elle me parlait doucement, me cajolait. Une phrase retint particulièrement mon attention. Elle m’assura que sa grande sœur, Aïcha, avait très envie de se trouver en pareille situation avec moi. Mais elle n’osait pas, son veuvage était encore trop proche. Samia souhaitait que je sois plus réceptif aux attentes de sa grande sœur qui vivait un drame en ce moment. Elle avait repris un peu confiance en elle depuis que j’avais pris parti pour elle contre son grand frère. Je confirmais à Samia que je serais plus attentif, désormais. J’allais à la cuisine nous préparer un thé à la menthe et elle me rejoignit, rhabillée et resplendissante. Aïcha revint me voir le lendemain avec des documents bancaires. Elle avait justement pris un rendez-vous et elle souhaitait que je l’accompagne. J’étais entièrement à sa disposition. Cette expression la fit sourire, elle qui ne souriait plus depuis le décès de son mari. Je l’ai emmené en voiture jusqu’à la banque, je lui ai même ouvert la portière pour l’aider à descendre. Nous avons attendu quelques minutes dans une salle d’attente que sa conseillère nous reçoive. Je lui expliquais en deux mots la raison de ma présence, ce que, Aïcha confirma en acquiesçant de la tête. La conseillère nous expliqua que Mourad avait bien fait les choses. Il avait anticipé et pris une assurance décès. Celle-ci prenait en charge tous les frais de l’enterrement. Une petite prime était liée à ce contrat pour des dépenses annexes.

Il avait aussi contracté depuis de nombreuses années une assurance vie. Les sommes déposées dans ce contrat lui revenaient en totalité. La banque, connaissant parfaitement les difficultés liées à un décès, proposait un service d’aide, une assistance qui comblerait les failles que nous ignorions. Faire des demandes aux complémentaires retraite, à la CPAM, à la CAF. Toutes ces choses que j’ignorais totalement. Un autre rendez-vous fut pris pour le lendemain après-midi. Je ne vais plus trop m’attarder sur ces considérations budgétaires, sauf pour ajouter que Mourad avait bien fait les choses pour que sa famille ne manque de rien. Le midi, je mangeais chez Aïcha avec sa sœur et les plus jeunes des enfants. Malgré moi, mon regard se posait très souvent sur la poitrine de Samia qui finit par le remarquer. Elle rougit légèrement, me désigna sa grande sœur car je supposais qu’elle ne souhaitait pas qu’elle soit au courant. Après le repas, Samia ramena les enfants à leur école, précisant même qu’elle passerait voir une amie avant de revenir. Je restais donc seul avec Aïcha. Elle s’affairait autour de moi, nettoyant la table, faisant la vaisselle. Puis essayait la table à nouveau. Je la trouvais fébrile. Je l’attrapais par les hanches quand elle passa à ma portée et je la plaçais face à moi. Elle gardait les yeux baissés mais attendait une suite. Je lui demandais ce qui la rendait si nerveuse, si c’était moi, la cause de ses émois. J’avais toujours mes mains sur ses hanches et je commençais à remonter doucement sur son ventre. Elle poussa un long soupir mais n’arrêta pas la progression de mes mains. Elle savait évidemment quel était mon désir premier.

Elle laissa mes mains approcher de ses seins, les soupeser, les caresser librement. Je jouais avec ses tétons qui durcissaient sous mes caresses. J’avais déjà pu caresser sa poitrine mais aujourd’hui, j’espérais un peu plus. La voir, la toucher à même la peau. Ce qui était délicat, avec ses vêtements. Elle devrait se mettre presque nue devant moi, devant un homme qui n’était pas son mari, elle qui était veuve depuis seulement quelques jours. Toute sa morale s’y opposait, mais son corps, son esprit même, n’aspirait qu’à un instant de pur bonheur. Elle fit un geste pour soulever sa longue robe noire. Je continuais ce qu’elle n’osait pas faire elle-même et je finis par glisser mes mains dessous, caressant ses cuisses pleines, son ventre rebondi, et je continuais ma progression jusqu’à sa poitrine que j’atteignis finalement. Sa robe cachait encore la plus grande partie de son corps mais mes mains s’étaient agrippées à sa voluptueuse poitrine. Elle respirait fort mais jamais elle ne tenta de m’empêcher à atteindre mon but ultime. Je pelotais ses seins énormes, j’en avais plein les mains. Je voulais plus. Je voulais les voir, les sentir, les embrasser. Elle dut comprendre elle-même ce que j’espérais et elle finit d’ôter sa longue robe noire. Elle défit son soutien-gorge et resta ainsi, juste avec sa culotte qui cachait encore sa plus tendre intimité. Moi, j’avais ses seins face à moi, face à ma bouche et j’étais comblé. Elle avait simplement posé ses mains derrière ma nuque pour garder ma bouche sur sa poitrine. À ce moment précis, je n’aurais voulu être nulle part ailleurs.

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