Fatiha, la suite (10/14)

Je me sentais parfaitement bien, la tête entre ses seins fabuleux, mes mains sur ses hanches. J’aurais peut-être pu pousser mon avantage plus loin en l’entrainant dans sa chambre. Mais je n’oubliais pas qu’elle venait de perdre son époux très récemment et que, pour elle, cela devait faire déjà beaucoup de se livrer ainsi à un autre homme. Elle se tortillait de plaisir, n’osant apparemment pas glisser une main dans sa culotte. C’est moi-même qui ai guidé sa main dans sa culotte. Elle a résisté un peu, par principe, mais quand je l’ai lâchée, elle a continué à se doigter devant moi, jusqu’à un orgasme fabuleux. Le devant de sa culotte était trempé et on pouvait voir ses poils derrière le tissu devenu presque transparent. Je lui laissais la place sur ma chaise et j’allais faire chauffer l’eau pour le thé. J’avais vraiment pris goût à cette boisson, depuis que je venais les voir régulièrement. Aïcha s’occupa de remplir la théière, avant que je ne verse l’eau frémissante. Le haut de son corps était toujours dévêtu et, vu que j’étais debout derrière elle, je n’ai pas pu résister à l’envie de caresser à nouveau ses seins fabuleux. Elle a simplement posé ses mains sur mes poignets, signe qu’elle acceptait totalement cette caresse de ma part.

Une de ses amies vint sonner à la porte. Aïcha attrapa vivement ses vêtements pour aller se rhabiller dans sa chambre, me demandant d’aller ouvrir la porte. Je la fis entrer dans la cuisine où elle put apercevoir les deux tasses de thé. Je la servais à son tour lorsqu’Aïcha arriva. Elle lui expliqua la raison de ma présence ici, en arabe, si bien que je ne compris pas tout, mais cette amie sembla apprécier mon geste. Je profitais qu’elle n’était plus seule pour laisser Aïcha avec son amie. Le lendemain matin, je passais une grande partie de la matinée à peaufiner le site Internet pour Samia. Retour à la banque l’après-midi pour le rendez-vous prévu la veille. La conseillère lui expliqua toutes les démarches qu’elle allait effectuer pour elle, avec son accord, évidemment. Le lendemain, jeudi, c’était le jour du tribunal. J’ai emmené Aïcha jusqu’au centre-ville et nous avons retrouvé son avocate dans le grand hall. Elle l’a de nouveau rassurée sur le bien-fondé de la démarche entreprise, affirmant que nous avions toutes les clés en main pour avoir gain de cause. La séance fut longue et houleuse, surtout lorsque l’avocat de la partie adverse voulut dédouaner son client. Mais l’avocate d’Aïcha avait les témoignages de deux des collègues de Mourad qui avaient clairement entendu le chef du service lui interdisant de se mettre en arrêt pour un  « simple rhume ». Le juge n’a même pas pris le temps de la réflexion, il a donné tort à l’employeur. Aïcha ne comprit pas immédiatement qu’elle avait gagné, ni combien elle allait toucher. L’avocate lui expliqua que cela ferait l’objet de discussions ultérieures entre les deux avocats, le juge se gardant un droit de regard sur les négociations. C’est en vainqueurs que nous sommes rentrés chez elle.

Elle a tout expliqué à Samia qui en avait presque les larmes aux yeux. Toutes les deux me remercièrent chaleureusement. Je suis redescendu chez moi au moment où Fatiha rentrait du lycée. Je les laissais en famille mais, à peine cinq minutes plus tard, Fatiha était devant ma porte. Elle se jeta littéralement dans mes bras et me serra fort contre elle. Elle m’apprit deux bonnes nouvelles. Elle venait d’avoir un 14 en mathématiques et un 16 en français, une rédaction qu’elle avait écrite pendant les cours que je lui donnais. Mais c’était elle, et elle seule, qui l’avait écrite. Je n’avais fait que la relire et demandé de corriger deux ou trois fautes d’orthographe. Tout le travail de rédaction, c’était elle et elle en recevait le bénéfice de son travail. J’étais très fier de mon élève, ravi aussi que mon enseignement ait pu lui apporter autant, en si peu de temps. Elle avait progressé évidemment depuis un peu plus de trois mois, ses notes de Décembre en avaient attesté. Mais là, elle venait de faire un bond en avant. Sans dire un seul mot, elle se dirigea toute seule vers ma chambre. Je restais là, un peu interloqué, avant de décider de la rejoindre. Elle était déjà entièrement nue, et offerte. À quatre pattes sur mon lit, elle m’offrait une nouvelle fois son cul sublime. Mon sang n’a fait qu’un tour devant cette vision et j’étais prêt en dix secondes à accéder à ses désirs. Toujours avec d’énormes précautions, je pénétrais son antre fabuleux. Une fois bien au fond, je restais quelques instants sans bouger. Puis lentement, très lentement, je ressortais avant de l’investir à nouveau. C’était doux, c’était chaud et c’était surtout très serré. J’étais à nouveau comblé et je suis certain qu’elle l’était, elle aussi.

Nous sommes restés allongés côte à côte de longues minutes avant d’aller prendre notre douche, ensemble. Nous n’avons pas parlé de cours, ce soir-là, mais le lendemain, en fin d’après-midi, elle est revenue pour travailler. Elle s’était prouvé à elle-même, et aux autres, qu’elle pouvait continuer ses études, à force d’acharnement. J’étais plutôt fier de mon élève, même si la route était encore longue. Fatiha avait bien sûr montré ses progrès à sa mère et à sa tante Samia et Aïcha est venue me chercher pour dîner chez eux le vendredi soir. L’avocate avait appelé sa cliente pour lui dire que les négociations étaient en très bonne voie. Fatiha alla se coucher tôt, Aïcha resta dans sa cuisine et je rejoignais le salon où se trouvaient déjà Samia et Aziza. Elles ne m’entendirent pas arriver et j’assistais à un joli spectacle. La plus jeune avait posé sa tête sur les cuisses de sa tante et avait extrait un de ses seins du vêtement qu’elle portait. Et elle tétait avidement ce sein, comme s’il pouvait lui donner du lait. La petite n’a pas bronché lorsqu’elle m’a vu, plantant ses yeux dans les miens. Je n’ai pas pu résister à l’envie de prendre cet autre sein au creux de ma main. Samia a été surprise sur le coup mais elle m’a laissé caresser son téton déjà bien érigé.

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