Je savais que ces deux-là auraient bien du plaisir dans les jours à venir. Céliane m’entraina dans sa chambre pour me raconter comment elle avait pris sa douche avec Justine. Jérôme était entré dans une cabine avec les deux petits, Lisa et Dylan, Justine allait refermer sa porte quand elle est arrivée, elle a forcé un peu et la jeune fille a finalement cédé. Après avoir accroché leurs serviettes à la patère, Céliane a demandé à sa complice de se dévêtir entièrement. Il faut préciser qu’elle ne portait plus que son bas de maillot. Malgré tout, elle hésita un instant puis se résigna. Céliane se déshabilla à son tour avant de reprendre en bouche l’un des tétons durcis. Justine pouvait dire ce qu’elle voulait, elle était véritablement excitée par la situation. Et dire que c’était une jeune femme de treize ans à peine qui faisait naître en elle toutes ces nouvelles sensations. C’était sans doute pourquoi cela lui faisait autant d’effets. En cherchant bien au plus profond de sa mémoire, elle se rappela un certain été, pas si lointain, qu’elle avait passé chez une tante qui vivait dans une exploitation agricole.
C’est bien cet été-là qu’elle vit une autre femme entièrement nue pour la première fois. C’était sa cousine, qui devait avoir seize ans, comme elle aujourd’hui, alors qu’elle-même n’en avait que treize. La même situation qu’à cette époque, enfin presque, puisque c’est sa cousine qui l’avait déshabillée avant de se mettre nue elle aussi. Elles étaient toutes deux dans la salle de bain et sa cousine prit les choses en main. Elle la fit entrer sous la douche, la savonna activement partout. Quand elle commença à la rincer, ses mains se firent beaucoup plus douces et caressantes. Elle ressentait pour la première fois de drôles de sensations, pas désagréables du tout. Puis, ce fut son tour de laver sa cousine. Vu qu’elle hésitait sur certaines parties de son corps, elle prit les mains de la toute jeune fille et se caressa allègrement avec les petits doigts fins. Cette situation s’est renouvelée de nombreuses fois durant son séjour, toujours pour le plus grand plaisir des deux filles. Un autre jour, alors qu’elle n’avait pas fini de se rincer la tête, sa tante entra dans la salle de bains et se déshabilla entièrement devant elles. Quand elle est entrée dans la douche avec elle, elle a pu apprécié de plus près les formes voluptueuses de sa tante. Celle-ci lui tendit le gel douche avec pour mission de lui frictionner le dos, et les fesses. Ce qu’elle fit avec vigueur comme le lui avait appris sa cousine. Elle ne s’attendait certainement pas à ce que sa tante se retourne, lui exposant ainsi sa volumineuse poitrine. Vu qu’elle avait justement les mains à la hauteur, elle malaxa avec un plaisir innommable les merveilleuses rondeurs. Même si elle avait fini de se doucher, Justine resta avec sa tante jusqu’à ce qu’elle sorte à son tour. Celle-ci lui tendit machinalement une serviette de toilette et Justine put à nouveau poser ses mains agiles sur les formes avantageuses de sa tante. Cette expérience ne se renouvela malheureusement pas pour elle, elle dut se contenter de sa cousine. Ce qui lui suffisait grandement.
Vers la fin de son séjour, elle remarqua, sans pouvoir se l’expliquer, que sa cousine gardait de plus en plus longtemps sa petite main entre ses cuisses, caressant un bourgeon qui, semble-t-il, lui procurait énormément de plaisir. Justine était encore jeune et innocente, ignorant tout des choses du sexe. Mais aujourd’hui, là, sous la douche avec Céliane, elle ressentait exactement ce que sa cousine devait ressentir lorsqu’elle la caressait intimement. Elle a dû mettre son avant-bras devant sa bouche pour ne pas hurler de plaisir au moment suprême. C’était justement pour être tranquilles qu’elles étaient revenues au chalet. Et c’est ainsi qu’elles nous avaient surprises en train de caresser les seins merveilleux de Fanny. De me raconter son aventure avec Justine l’avait mise en appétit et elle me poussa sur son lit. Céliane se plaça entre mes cuisses que je lui ouvrais largement. Je savais qu’elle aimait ça et ça me faisait énormément de bien à moi aussi. Jérôme est entré voir ce que nous faisions mais il est resté à la porte, nous admirant. Fanny et Justine étaient rentrées à la boulangerie, nous avons dîné et je suis repartie chez moi, promettant de revenir le vendredi suivant. Les cinq jours suivants sont passés très vite, tous mes amis étaient en vacances, très peu de travail. J’étais comme dans un brouillard qui ne s’évaporerait que le vendredi soir.
J’ai repris la route dès la sortie du travail pour rejoindre ma famille au bord de la mer. J’avais vraiment besoin de prendre une douche dès mon arrivée. Juste avant d’entrer dans le bâtiment sanitaire, j’aperçus Gaëtan qui remontait de la plage et disait au revoir à ses copains. Il s’approcha de moi pour me saluer et je l’entrainais avec moi dans la cabine de douche. Il m’a regardée me déshabiller et il a commencé à me caresser. Je lui demandais gentiment de me laver tout d’abord, je ferais tout ce qu’il souhaitait ensuite. Il a été très doux et patient, lorsque je me suis retrouvée face à lui, des yeux brillaient et sa queue était tendue comme jamais. Je me suis accroupie devant lui pour lui offrir ma bouche de salope. Il n’a pas résisté bien longtemps et il en semblait désolé. Il pensait sans doute que j’allais partir aussitôt. Mais il ignorait que j’en voulais bien plus. Je le rassurais en cajolant sa queue qui reprit de la vigueur. La force de la jeunesse, c’est de pouvoir récupérer très rapidement. Quand il fut bien raide, il me plaqua contre la faïence et il s’introduit en moi d’une seule poussée. Nous étions parfaitement emboités l’un dans l’autre et il commença à me baiser lentement. Il avait vu comment Jérôme m’avait prise et faite jouir. Il reproduisait exactement la même scène, à son rythme à lui. Je sentais le plaisir monter inexorablement en moi et j’attendais impatiemment l’explosion finale.