J’aperçus Jérôme à la porte de la chambre. Il n’osa pas entrer pour troubler notre trio. Je l’ai rejoint quelques minutes plus tard, laissant la mère et sa fille, endormies tendrement l’une contre l’autre. Jérôme était semble-t-il très troublé par ce qu’il venait de voir. Il se posait des questions sur l’éducation qu’il donnait à sa fille, sur ce qui était bien, ou mal, pour elle. Je lui rappelais que jamais on ne l’avait forcée à quoi que ce soit. Même, au contraire, c’était elle qui était demandeuse. Que c’était moi qui, la première, avait accepté qu’elle me caresse. Sa petite princesse avait grandi un peu trop vite à son goût. Il ne pouvait pas imaginer à quel point. Ce qu’il craignait le plus, c’était qu’elle parte, loin de lui. C’était pourtant le destin pour chaque enfant, de prendre son envol et quitter le nid familial. Les deux plus jeunes vinrent nous rejoindre dans la pièce de vie et je préparais leur petit déjeuner. Quand Ingrid s’est levée, nous sommes allées ensemble sous la douche pendant que Jérôme s’occupait des enfants. Elle entra directement dans la même cabine que moi, sans que je ne le lui demande. Elle aussi était visiblement très troublée par ce qui venait de se passer. Elle ignorait encore que son mari savait tout. Je lui expliquais calmement qu’elle n’avait rien fait de répréhensible, elle avait simplement accepté que sa fille vienne nous rejoindre dans le lit. Le reste, c’était Céliane qui l’avait voulu, ardemment désiré même. Et elle n’avait fait que subir les caresses.
Je crois surtout qu’elle avait honte d’avoir pris autant de plaisir à cet état de faits. Elle voulut encore une fois se reprocher son attitude, indigne d’une mère mais je l’embrassais à pleine bouche pour la faire taire définitivement. Nous nous sommes lavées, évidemment, mais Ingrid s’est sans doute rappelé que je n’avais fait que participer. Elle s’est donc accroupie devant moi et l’a offert un merveilleux cunni. Je n’avais nullement envie d’être discrète et tous les voisins ont fut entendre mes gémissements, puis les râles de plaisir. Ce qui semblait redonner plus d’intensité et de vigueur à Ingrid. Certaines femmes nous ont regardées bizarrement lorsque nous sommes sorties mais je n’en avais rien à faire. Une fois habillées, nous sommes tous allés nous promener au village tout proche où se déroulait le marché. En rentrant, Ingrid et moi nous sommes arrêtées à la boulangerie, face au camping. J’ai pu revoir Justine, qui baissa les yeux en me voyant, et je fis connaissance de la boulangère, Fanny. Elle était vraiment très gentille, et vraiment très … Enceinte. Justine s’était rapprochée tout près de moi, et pendant que Fanny et Ingrid discutaient, j’ai glissé ma main sous son tablier, assez court, et j’ai commencé à la doigter délicatement. Au lieu de reculer, elle s’avançait elle-même contre ma main. Le midi, nous avons mangé léger pour pouvoir aller se baigner sans risque en début d’après-midi. Direction la plage avec toute la famille. En chemin, nous avons retrouvé Fanny et Justine qui l’accompagnait. Ingrid resta avec elles pour aider Fanny, au cas où. Toujours sa grande empathie et elle retrouvait ses habitudes d’infirmière. Les enfants étaient pressés de rejoindre l’océan et je courrais après eux, Jérôme portait le matériel et se chargea de nous installer sur la plage. J’étais déjà dans l’eau avec Dylan, Lisa et Céliane quand Justine vint nous rejoindre. Ingrid l’avait autorisée à venir se baigner avec nous pendant qu’elle restait avec Fanny. Jérôme aussi resta près des deux femmes, aidant Fanny à s’asseoir sur la serviette.
Je présentais Justine à mon fils, Dylan, et aux filles de Jérôme. Les deux plus jeunes restèrent sur le bord du rivage, pataugeant dans les vaguelettes. Je m’éloignais un peu et les deux filles me suivirent. Le fond était à peu près plat et nous avons dû marcher un peu pour que Justine ait de l’eau juste en dessous de sa poitrine. Céliane en avait jusqu’au cou et moi, presque en dessous de mes seins. Justine ne résista pas une seconde lorsque je baissais l’une des bretelles de son maillot de bain. La seconde suivit et sa poitrine était maintenant exposée à nos regards, flottant devant elle. Elle tournait le dos à la plage et personne donc ne pouvait voir ce qui se passait entre nous trois. Céliane avait déjà pris l’un de ses tétons en bouche, tandis que je caressais l’autre, afin de maintenir un état d’excitation permanent chez la jeune soumise. Elle sembla résister un instant lorsque Céliane voulut entrer sa petite main dans sa culotte mais elle s’abandonna totalement à nos caresses. Je caressais ses fesses et Justine paraissait apprécier tout ce que nous lui faisions subir. Pour aller un peu plus loin, je glissais ma main sous le tissu de sa culotte et commençais à titiller son petit trou du cul. Surprise d’en ressentir autant de plaisir, elle ne put s’empêcher de fléchir les jambes. Sa poitrine se retrouva sous la surface mais Céliane n’avait toujours pas lâché le sein qu’elle tétait avidement. Un doigt dans son cul, je forçais Justine à se redresser et Céliane réapparut, le visage trempé mais toujours accrochée au sein de Justine.
J’ôtais le haut de mon maillot de bain, j’en fis de même pour Justine et Céliane nous imita de sa propre initiative. Et c’est ainsi que nous sommes retournées sur les serviettes que Jérôme avait déposées sur le sable. Fanny semblait très étonnée de voir Justine sans le haut de son maillot. Mais je vis aussi qu’elle semblait apprécier de voir enfin cette poitrine juvénile sans aucun tissu pour la cacher. Jérôme appréciait lui aussi et il se voyait bien plonger tête la première entre les deux seins merveilleux de la jeune fille. Celle-ci parut un peu gênée, au début, de se présenter ainsi devant sa patronne, devant des inconnus et au vu de tous sur cette plage. Mais, petit à petit, elle ne s’en inquiéta plus du tout et joua avec les plus jeunes. Fanny était une très belle femme et sa maternité avait développé sa poitrine qui devait être très belle déjà avant de se gonfler encore plus.