Fatiha, la suite (04/14)

C’est avec enthousiasme qu’elles acceptèrent. Aucune des deux ne semblait vouloir se rhabiller et c’est donc Alexia, entièrement nue, qui se plaça à ma droite, Fatiha toujours torse nu à ma gauche. Je faisais défiler les clichés un à un, m’arrêtant parfois un peu plus longuement sur certains. Jusqu’à ce que j’arrive à celui où Alexia prenait enfin entre ses mains les deux seins merveilleux de Fatiha. Le cliché suivant représentait uniquement le visage béat de la jeune fille, émerveillée par ce qu’elle osait faire. Je l’ai sentie vraiment très touchée par ce cliché et elle a fait un mouvement pour se rapprocher de moi. Je tournais légèrement la tête vers elle pour tomber directement sur son sein gauche, à portée de ma bouche. Le moment était propice et je décidais de profiter de l’occasion. Je prenais en bouche son téton, me préparant à recevoir une baffe monumentale. Eh bien, pas du tout. Elle acceptait la caresse et même mieux, elle posa sa main gauche sur ma nuque pour accentuer la pression. Depuis le temps que je rêvais de cet instant, j’étais finalement arrivé à mes fins. Alexia, petite fille peureuse et humiliée il y a quelques semaines, était devenue une jeune femme libérée et sûre d’elle-même.

Elle savait ce qu’elle voulait, et ce qu’elle ne voulait surtout pas. Mes clichés l’avaient aidé à se voir telle qu’elle était réellement. Fatiha s’était déplacée de l’autre côté et, en se penchant légèrement, elle prit en bouche l’autre téton. Je réussis à m’écarter quelques secondes pour voir la main d’Alexia sur la nuque de son amie. Elle força un grand coup pour que ma bouche reprenne sa succion, avant de se laisser aller au plaisir que nous lui donnions. Nous étions très près les uns des autres et je n’ai eu qu’à tendre mon autre main pour caresser de nouveau la poitrine de Fatiha. Mais je n’étais pas seul, Alexia avait eu la même envie. Nos doigts se croisaient parfois sur le haut du corps de ma jeune élève. La main droite avait depuis longtemps déjà quitté la souris et elle trouva tout naturellement sa place sur le cul bien rebondi de mon modèle. Alexia apprécia, semble-t-il, mon initiative par un gémissement caractéristique. Je promenais mes doigts sur ses fesses, descendant parfois sur ses cuisses pour remonter entre elles. La coquine mouillait abondamment et, lorsque j’approchais de son petit trésor, elle eut un premier spasme. Elle perdit légèrement l’équilibre et deux de mes doigts la pénétrèrent. J’étais en elle et elle geignait admirablement sous les caresses combinées. C’est elle-même qui montait et descendait sur mes doigts, à son rythme. Je pense qu’elle était tout près d’un nouvel orgasme lorsqu’elle stoppa brusquement. Une idée, une envie, venait de germer en elle. Elle se redressa entièrement et se dégagea de nos bouches qui tétaient toujours sa généreuse poitrine.

Elle recula légèrement et nous pria de la suivre … Jusque dans ma chambre, qui était juste à côté. Là, elle s’allongea sur le lit, les bras tendus vers moi, pour que je vienne la prendre. Pour le coup, c’était moi qui étais pris au dépourvu. J’avais bien évidemment rêvé de ce moment mais je ne pensais pas possible que cela arrive aussi vite. J’ôtais ma chemise et c’est Fatiha, qui observait la scène, qui se précipita pour baisser mon pantalon. Elle baissa suffisamment mon boxer pour prendre mon sexe en bouche, comme elle le faisait très souvent désormais. Alexia regardait bizarrement son amie, elle qui ne la croyait pas capable de telles actions. Maintenant, elle savait. J’ouvrais le tiroir de mon chevet pour sortir un emballage de préservatif. J’étais bien certain que Fatiha ne savait pas ce que c’était. Je me trompais, encore une fois. Elle me prit l’emballage des mains, l’ouvrit pour sortir le contenu et commença à l’enfiler sur ma queue déjà très dure. Elle ne put s’empêcher de la reprendre en bouche, une dernière fois, avant de me laisser me positionner entre les cuisses largement ouvertes d’Alexia. Elle m’attendait avec impatience et tendait ses mains vers l’objet de ses désirs. Je savais qu’elle n’était plus vierge, mes doigts étaient entrés en elle si facilement.

Je prenais tout de même d’extrêmes précautions pour la pénétrer la première fois. Je glissais doucement en elle sous le regard envieux de Fatiha. Elle observait attentivement les réactions d’Alexia au moment de la pénétration. Elle savait qu’un jour, ce serait son tour de vivre cet instant magique, avec son mari, puisque c’était ce que sa religion lui imposait. J’enviais secrètement celui qui aurait la chance de la posséder pour la première fois, et les fois suivantes. Mais, à ce moment-là, je ne pensais qu’à la jeune fille qui gémissait doucement sous mes coups de rein. Je prenais tout mon temps pour faire grimper son plaisir pour la combler à nouveau. Fatiha, près de nous, voulut participer aux ébats. Elle souleva légèrement sa jupe pour grimper à genoux sur le lit. Là, elle se pencha en avant pour gober le téton de sa copine qu’elle avait dû abandonner précédemment. Elle était donc presque à quatre pattes sur mon lit quand je vis la main droite d’Alexia se faufiler entre les genoux, passer sous la jupe avant de remonter entre les cuisses de Fatiha. Celle-ci n’avait pas pu réagir contre cette attaque soudaine mais elle ronronna de plaisir sous le doigté de sa copine. À un moment, Alexia ramena ses doigts vers sa bouche pour goûter au nectar qui coulait abondamment. Elle sembla apprécier et retourna à la source, doigtant la jeune beurette et récoltant son jus d’amour sur ses doigts.

Alexia se contracta soudainement, Fatiha venait de pincer son téton et cela déclencha son ultime orgasme. Mon sexe se trouva emprisonné entre ses muscles internes et il semblait comme aspiré de l’intérieur. C’était une sensation unique et invraisemblable. Elle m’aspirait comme elle l’aurait fait avec sa bouche gourmande. Je ne résistais pas longtemps à ces sensations et je me répandais en elle abondamment, prolongeant d’autant son orgasme. Je la libérais enfin de mon étreinte et c’est Fatiha, très réactive, qui s’allongea au-dessus d’elle pour la nettoyer et récolter les restes de son plaisir.

Une réflexion sur “Fatiha, la suite (04/14)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *