Par contre, il m’était interdit d’aider à préparer le repas, ou la table. Je ne pouvais que les regarder faire. Lucie et Charlène étaient aux anges, libres de s’aimer au grand jour devant leurs familles. Elles se caressaient parfois, ou bien s’embrassaient fugitivement. Leur bonheur faisait plaisir à voir. Isabelle aussi était resplendissante. Je la regardais bouger à droite, à gauche, ses formes appétissantes me donnaient envie de me lever, de me coller à elle, de soulever sa robe pour que toutes profitent du spectacle. À un moment, je ne sais si c’est par accident ou volontaire, son bouton du haut se défit. Elle laissa sa robe bailler pour que nous profitions toutes de son magnifique décolleté. Le repas fut délicieux, et très gai. Leur dernier repas dans cette maison. Les filles débarrassèrent la table, oui, même Charlène qui le faisait rarement chez elle. Puis elles firent la vaisselle pendant que nous buvions un café, Isabelle et moi, avant de rejoindre leur chambre pour la nuit. De chastes baisers sur la joue, puis au lit de bonne heure. Elle se leva pour se resservir une tasse. Malicieusement je glissais ma main sous sa robe. Elle me laissait la caresser, la pénétrer même avec deux doigts. Elle posa la verseuse sur un dessous de plat pour ne pas en renverser.
« Dégrafe les boutons de ta robe ».
Penchée légèrement en avant, j’avais une vue imprenable sur son décolleté, et ses seins laiteux. Mais je voulais en voir plus. Je descendis le zip de sa robe, dégageais ses épaules. La robe glissa sur ses hanches. Elle la retint des deux mains à sa taille, se rappelant qu’elle était nue dessous. Je défis son soutif et je libérais enfin ses seins majestueux. Elle se tourna vers moi et je pus la téter tout à loisir. C’était doux, et soyeux, et chaud. Quelques petits poils sur l’aréole que je flattais avec ma langue. Elle frissonnait de désirs inassouvis, la peur au ventre d’être découverte ainsi par sa fille, ou par Charlène.
« Assieds-toi et bois ton café. Laisse-moi t’admirer « .
« Imagine que les filles nous voient comme ça. Que diraient-elles ? Que penseraient-elles?
Isabelle tremblait de peur à cette idée mais elle ne bougea pas.
« Tu veux bien aller remettre du bois dans la cheminée ».
Elle se leva aussitôt et, tenant sa robe, se dirigea vers l’âtre. Elle attisa le feu avec la pique prévue à cet effet d’une main. Mais pour remettre une bûche, il lui fallait ses deux mains. Elle coinça sa robe entre ses cuisses et prit la bûche. Mais sa robe tombait malgré tout.
» Attends, je vais t’aider « .
Je m’approchais d’elle pour retenir sa robe au niveau de la taille afin qu’elle puisse ajouter des bûches. Rassurée et occupée avec son feu, je lâchais le bout de tissu. Elle était nue, entièrement nue. Le feu crépitait, la chaleur l’envahissait. Je caressais son corps tout chaud, son ventre, ses seins. Je la fis se retourner pour l’embrasser enfin comme il se doit, et caresser ses fesses adorables. Je ramassais sa robe et son soutif et la poussais vers sa chambre. Une fois la porte fermée, je sentis un immense soulagement. À l’abri, dans sa chambre.
» Déshabille-moi ».
Elle ôta mes vêtements doucement, se régalant de découvrir mon corps. Elle était tendre, et caressante. Elle s’accroupit en baissant mon string et l’enleva entièrement. Sa tête face à ma chatte. Inutile d’insister, elle avait trop envie de me faire plaisir comme elle en avait donné à Geneviève, il y a deux jours. Je pris place sur son lit, jambes écartées ce qui me permettait de caresser sa poitrine à nouveau. Doucement, je l’attirais sur moi pour qu’elle se frotte contre ma chatte. Elle se déhanchait de manière divine. Elle ronronnait au-dessus de moi, ses mamelles balayant ma poitrine. Chaque fois que ses tétons durcis frôlaient les miens, je recevais une décharge électrique.
Un vrai bonheur.
Elle me fixait, droit dans les yeux. Lentement, elle s’avança pour m’offrir à nouveau sa poitrine à téter. Et je ne me fis pas prier. Je tétais avec délices cette poitrine généreuse, suçotais les tétons bien tendus. Elle au-dessus de moi avec ses grosses mamelles qui pendaient. Je me revoyais, enfant, dans la ferme de ma grand-mère, buvant le lait directement au pis de la vache. C’était chaud, et délicieux. Isabelle grimpa complètement sur le lit et, se plaçant tête-bêche, plongea la tête entre mes cuisses. Elle était inexpérimentée, c’est certain, mais elle y mettait toute sa bonne volonté. Elle se donnait vraiment totalement, tandis que je continuais de pétrir ses mamelles restées à ma portée. Sa chatte, au-dessus de ma tête, commençait à briller à travers sa toison, pas très fournie. Elle était restée à la mode des années 1990 ou 2000, où il fallait rester nature ! J’en avais trop envie. Je lissais ses poils clairsemés pour découvrir son clito qui pointait le bout de son « nez ». Je le titillais de ma langue, tournant tout autour. Puis ma langue débuta l’exploration de sa caverne. Elle était sucrée, et douce, et délicieuse. Tout en elle appelait au plaisir. Elle jouit une première fois sous mes caresses. Bonne élève, elle refaisait sur moi les caresses que je lui prodiguais. Et elle ne tarda pas à me faire jouir à mon tour. Un frisson la parcourut. Malgré nos ébats, la température avait baissé. Elle se leva pour retourner mette du bois dans la cheminée. Elle voulut enfiler un vêtement mais je l’arrêtais et la suivais près de la cheminée. Elle étala les cendres rougeoyantes et plaça deux grosses bûches dessus. Moi, plaquée dans son dos, j’en profitais pour la peloter partout. Passant mes mains sur sa toison, je lui murmurais :
» Il va falloir raser tout ça, et entretenir ensuite « .
Malgré la chaleur, elle frissonna, mais cette fois, de plaisir. Plaisir de se soumettre. Doucement, je la poussais vers la table. Les deux avant-bras posés dessus, je caressais toutes les parties de son corps que je pouvais. Je sortis un vibro de mon sac et le frottais contre sa fente. Elle le happa sans crier gare. Je le mis en route. Puis, je le faisais aller et venir en elle. Quand je la sentais prête à exploser, je ralentissais, pour faire durer le plaisir.