Il était aussi vénal que moi. Une petite pute, au masculin. La journée de cours s’est passée normalement, sauf que nous n’avons pas déjeuné le midi. Hugo nous avait entrainées, Jessica et moi, dans sa chambre où nous avons retrouvé Alex. Chacun de nos « mecs » s’est bien occupé de nous et nous avons rejoint nos cours juste à l’heure. En rentrant chez nous, le soir, nous avions qu’il ne nous restait qu’une demi-journée de cours et que nous resterions deux jours sans nous revoir. Jessica partait jeudi matin dans sa famille. Je restais donc dormir chez elle, cette nuit-là. Le lendemain, mercredi juste avant les vacances, nous n’avons pas vu Gildas. Avait-il raté son train ? Édouard en semblait bien triste, dans son coin. Le midi, Hugo et Alex devaient surveiller la cantine et ne pourraient donc pas nous rejoindre dans le parc. Jessica et moi avons donc déjeuné seules, assises sur un banc. Au loin, j’ai aperçu Patrick, le petit homme, qui s’approchait de nous dans sa démarche toute particulière. Il nous salua gentiment et prit place sur le banc, face à nous. Pour jouer avec lui, je m’amusais à relever la jupe de Jess pour qu’il puisse de nouveau découvrir ses cuisses, sa culotte peut-être. Édouard, malheureusement, nous avait retrouvées et il ne nous lâchait pas. Impossible de retrouver Patrick dans notre cachette pour jouer une dernière fois avec lui. Dommage.
Nous étions un peu tristes en regagnant la gare car nous avions appris qu’Hugo, qui était originaire de l’est de la France, retournait dans sa famille jusqu’au 02 Novembre. Presqu’une semaine. Et il emmenait avec lui Alex, chez qui il vivait depuis qu’il était dans notre région. Les parents d’Alex lui avaient acheté un appartement et il avait pris Hugo comme colocataire. Maigre consolation pour nous, nous avions trouvé deux places assises, côte à côte, pour rentrer chez nous. Édouard, qui finalement ne nous lâchait plus, resta debout près de moi tout le trajet. Il ne nous quitta que lorsque nous sommes enfin montées dans le bus qui nous ramenait chez nous, dans notre petit village. Je ne pouvais malheureusement pas dormir chez Jessica, ce soir-là, car elle partait le lendemain, avec sa mère. De plus, j’avais réussi à cacher à ma meilleure amie que j’avais du boulot pour les deux jours à venir. Nous devions nettoyer les murs de « La Grange » avant de passer une ou deux couches de peinture blanche. Maman et Élodie m’accompagnaient dès le matin chez Roland. Il avait déjà commencé les travaux de remise aux normes.
En effet, il avait fait appel à un de ses amis, pêcheur comme lui, qui avait sa propre entreprise d’électricité générale. Avec son apprenti, ils avaient déjà posé des goulottes et passé les câbles nécessaires à l’intérieur. Ils étaient d’ailleurs déjà au travail quand nous sommes arrivées. Roland connaissait évidemment ma mère, pour l’avoir croisée dans le village ou à une fête communale. Peut-être même qu’elle était venue danser ici, quand elle était adolescente. Il sembla très intéressé par ses formes. Il faut dire qu’elle était très craquante dans son legging multicolore qui mettait ses fesses en valeur. En haut, le tee-shirt avait du mal à contenir sa forte poitrine et Roland était véritablement hypnotisé. J’avais moi aussi opté pour un legging, plus pratique pour ce que nous avions à faire. Pour le haut, juste un tee-shirt blanc à travers duquel on pouvait deviner que je portais bien un soutien-gorge. Roland avait certainement remarqué ma tenue mais restait scotché sur ma mère. Par contre, son copain électricien n’en loupait pas une miette. Il passait parfois près de moi et n’hésitait pas à poser ses mains sur mes fesses ainsi exposées. Vu que je n’avais opposé aucune réticence à sa première tentative, il continua dès qu’il le pouvait, si je lui en laissais l’occasion.
Nous devions d’abord lessivé les murs. Pour ce qui était à ma hauteur, j’utilisais une brosse, sinon, un balai me permettait de faire le haut. Élodie, ma petite sœur nous aidait comme elle pouvait, faisant uniquement le bas. Elle aussi était très jolie dans sa petite jupette, un peu trop courte à mon goût. Mais l’apprenti électricien n’avait d’yeux que pour elle. Il était, semble-t-il, un peu plus âgé qu’elle et elle a bien vu ses regards fixés sur elle. La petite salope, je dis ça gentiment, en profitait même pour s’accroupir face à lui et lui laisser voir sa petite culotte. L’ambiance était chaleureuse, et coquine juste ce qu’il faut. À un moment, je me suis approchée trop près du mur très humide et mon tee-shirt mouillé laissa apparaitre le soutien-gorge que je portais dessous. Élodie s’en amusa et prit bien soin de continuer ce que j’avais si bien commencé, sans le faire exprès.
Nous avons un peu chahuté l’une avec l’autre et, résultat : on voyait parfaitement les dessins de mon sous-vêtement désormais. Roland s’en amusa, Éric, le jeune apprenti n’avait cessé de regarder ma petite sœur car, pendant que nous chahutions, j’avais plusieurs fois remonté sa mini-jupe sur ses fesses, montrant à tous sa petite culotte très sage. Mais c’est bien Laurent, le patron électricien, qui semblait le plus intéressé par mes seins, parfaitement visibles maintenant. Et moi qui ne faisais rien pour les lui cacher. Au bout d’un bon moment, maman demanda à aller aux toilettes, Roland l’accompagna jusque chez lui. Élodie avait disparu dans l’autre pièce et je restais seule avec Laurent, que je savais tout près derrière moi. J’ai fait semblant de tomber à la renverse et, évidemment, il a tendu les bras pour me recevoir dans ses mains, qui se sont immédiatement refermées sur mes seins. Il m’a redressée et m’a gardée contre lui. Je sentais parfaitement son érection grandissante contre mes fesses. Et ses doigts fébriles qui pianotaient doucement sur ma poitrine, comme s’il tenait une manette de Playstation. Il s’est tourné vers le mur au moment où Roland et maman revenaient, pour cacher son érection grandissante. Je partais dans l’autre pièce pour découvrir ma petite sœur qui se laissait caresser par le jeune Éric. Ce n’était que des caresses très chastes, mais je devais malgré tout y mettre un terme.