Elle précisa qu’elle avait adoré sa tenue et souhaitait la revoir, habillée de la même façon. Céliane lui sourit et lui assura qu’elle reviendrait certainement la voir prochainement. Et habillée pareil. Nous sommes rentrées chez moi en tramway et je pouvais lire dans le regard de ma nièce, assise face à moi, en décalé, toute la reconnaissance pour ces merveilleux moments passés avec Clothilde et Céleste. Je ne voyais que ses yeux, le reste du visage recouvert d’un masque, tout comme moi, règles de précaution sanitaire dues au Covid-19. Ce satané virus circulait encore et on commençait à parler du pass sanitaire et de l’obligation de se faire vacciner pour certaines professions. Je n’étais pas directement concernée par ces mesures mais Ingrid, la maman de Céliane, l’était puisqu’elle travaillait en milieu hospitalier.
Il faisait toujours très chaud en cette fin de mois de Juillet et, pour regarder la télé, ce soir-là, je décidais de rester juste avec ma culotte. Céliane en fit autant et, vu que le programme ne l’intéressait pas vraiment, c’est de mon corps presque nu qu’elle s’est occupée. Puis, nous avons regagné la chambre pour une nouvelle nuit de folies. Positionnée entre mes cuisses, elle commença à me doigter gentiment. Un doigt, puis deux. Je me laissais porter par le plaisir quand elle ajouta un autre doigt. J’étais comblée et prête à jouir lorsqu’elle s’arrêta brusquement. Frustrée, je l’étais, et prête à tout pour qu’elle continue. Sa petite main s’approcha de nouveau de la fente encore ouverte et c’est quatre doigts qu’elle tentait de faire pénétrer. Et elle y parvint finalement.
Elle me défonçait et j’adorais ça. Elle me disait que c’était une envie qu’elle avait eue avec Céleste mais n’avait pas pu la réaliser. Je pensais, avec effroi, que son envie, c’était d’enfoncer sa main entièrement dans le vagin de Céleste et, vu qu’elle n’était plus là, c’était moi qui allait me faire fister. J’ignore comment une jeune femme de son âge pouvait avoir de telles pensées. Mais je fus très excitée par l’idée d’être la première. D’ailleurs, je mouillais tellement que le passage du pouce, en plus, se fit tout naturellement. Sa petite main était désormais entièrement en moi et je sentais ses petits doigts qui caressaient mes muscles internes.
Elle ferma le poing et son avant-bras se transforma en un infatigable piston qui allait et venait en moi. Au plus profond de mes entrailles. Je pense que j’ai dû m’évanouir car, quand j’ai repris connaissance, sa main avait quitté mon intimité et sa bouche me tétait avec avidité. Je me suis rendormie, calme et sereine jusqu’au lendemain matin. Quand je me suis levée le lendemain matin, Céliane avait déjà déjeuné et elle regardait la télévision, une émission sur la chaîne musicale. Elle est allée préparer son sac pour retrouver sa famille, nous devions partir dans l’après-midi. Quand j’eus fini de déjeuner, elle me demanda si nous pouvions retourner voir Aurore, la vendeuse du grand magasin.
Le temps de prendre une bonne douche et nous partions vers le centre-ville. La jeune femme fut ravie de nous revoir. Céliane avait décidé d’acheter de nouveaux maillots de bain, ceux que sa mère lui avait achetés faisaient vraiment trop petite fille modèle. Lisa, sa petite sœur, pourrait les porter plus tard. Pour elle, elle souhaitait des maillots plus tendance, plus sexy. Et qu’importe ce que dira sa mère, elle savait que son père la soutiendrait dans ses choix. Elle était encore trop jeune pour porter des modèles typiquement pour adultes mais Aurore, en bonne vendeuse, lui trouva deux ou trois modèles qui parurent lui convenir. Direction les cabines d’essayage.
Céliane entraîna la vendeuse avec nous dans la cabine et lui demanda, ou plutôt lui ordonna, de la déshabiller entièrement. Un peu décontenancée de devoir recevoir des ordres de la part d’une si jeune femme, Aurore s’exécuta tout de même. Elle retrouva avec une joie non dissimulée le corps svelte de ma nièce. Elle lui fit essayer le premier maillot, de couleur très flashy, fuchsia. La culotte, genre brésilien, lui allait à merveille. Le haut était lui aussi parfait, même si Céliane précisa qu’elle ne le porterait pas très souvent, préférant le monokini, comme sa tante. Tandis que la vendeuse admirait le vêtement et la femme qui le portait, je reçus enfin le signal que j’attendais.
D’un mouvement sûr et précis, j’attrapais le bas du tee-shirt de la vendeuse pour le passer par-dessus sa tête. Céliane se jeta aussitôt sur la poitrine de sa victime. Elle trouva habilement comment dégrafer son soutif et je m’occupais de faire tomber sa jupe. Aurore était quasiment nue dans cette cabine, entre Céliane et moi. Je lui fis faire un demi-tour pour prendre enfin ses lèvres entre les miennes. Céliane profita de cet instant magique pour baisser et ôter sa culotte. Elle n’avait plus qu’à la doigter, par derrière, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Aurore était une coquine et elle adorait être forcée, juste un peu.
Elle reprit un peu d’initiative en glissant ses mains sous mon top qu’elle ôta, s’attaquant à mes tétons de sa bouche gourmande. Ses mains libérées passèrent sous ma minijupe et elle aussi me doigta très habilement. C’était un véritable concert de gémissements dans cette cabine, heureusement que personne ne pouvait nous entendre. Céliane retourna la coquine face à elle pour récolter son nectar abondant. Je leur laissais ce moment-là pour elles deux et je sortais de la cabine. Une cliente, qui passait dans le rayon, fut surprise de me voir là et me demanda où se trouvait la vendeuse. Je répondis qu’elle devait être repartie dans la réserve. Peu convaincue par ma réponse, elle changea de rayon. J’ignorais si elle nous avait entendues.
En y réfléchissant, je fus certaine qu’elle connaissait parfaitement Aurore et des habitudes et que, elle-même, avait déjà dû passer entre les mains expertes de la vendeuse. Nous avons acheté deux des trois maillots que Céliane avait essayé, à des prix défiant toute concurrence. Aurore était comblée et Céliane était ravie de l’avoir revue avant de partir rejoindre sa famille. Nous avons roulé une bonne partie de l’après-midi pour rejoindre le lieu de villégiature où nous attendaient les parents de Céliane et sa petite sœur.