Ou plutôt les gros seins de Janice. Celle-ci jeta un regard circulaire et, rassurée, se laissa malaxer par les deux femmes. Moi, je tournais autour du groupe, caressant un sein par-ci, une fesse par-là. Puis, je n’oubliais pas qu’Henriette était en retard d’un orgasme et je décidais de m’occuper d’elle. Bernadette empoigna les deux seins de Janice, les présentant à la bouche gourmande d’Henriette. Derrière elle, j’avais glissé ma main dans son maillot et titillais son clito. Bernadette laissa les seins aux bons soins de son amie et descendit ses mains entre les cuisses de Janice. Face à moi, je la voyais, les yeux hagards. Jamais elle n’avait été utilisée de cette façon. Toujours des garçons et un seul à la fois. Elle avait déjà eu, dans sa jeunesse, des envies envers d’autres femmes mais n’avait jamais osé franchir le pas. Et pour sa première fois, deux vieilles Rombières et moi qui l’avais offerte à l’appétit insatiable des deux femmes.
Loin de regretter, elle m’en remercia, bien plus tard. Parce que bien évidemment, je la revois régulièrement, et elle-même se rend toute seule dans leur boutique. Toujours, elle achète quelque chose, mais ce n’est pas ses achats qui lui donnent le sourire aux lèvres. Revenons sur la plage, enfin, encore dans l’eau. Henriette fut la première à jouir, suivie de peu par Janice. On les laissa se remettre doucement de leurs émotions. Je posais la question à Janice.
« C’est ta première fois avec une femme ? Correction, avec trois femmes ? »
Elle sourit et répondit.
« Première fois tout court ».
» Inutile de demander si tu as aimé, je vois des étincelles dans tes yeux « .
» Retournons nous sécher ! » ordonna Bernadette.
Elle avait surtout une idée en tête. Elle prit une serviette et sécha la jeune fille mais l’arrêta quand elle voulut retourner sur sa serviette. J’aidais Henriette à se sécher et elle me sécha à son tour. Quand Henriette fut allongée sur sa serviette, Bernadette reprit.
« Janice. Je vais t’offrir un cadeau que certainement tu n’oublieras jamais. Je vais t’offrir la meilleure langue de toute la Côte-d’Azur, j’ai cité, celle d’Henriette ».
Celle-ci se tourna vers elle, flattée. Janice hésita mais, voyant qu’on était seules sur la plage, la famille était dans l’eau, et surtout loin de nous, se laissa guider. Bernadette la plaça en 69 au-dessus de son amie. Henriette appréciait ce cadeau également. Elle allait lui offrir son premier cunni. Bernadette était heureuse d’avoir à nouveau repris la direction des opérations. Elle s’allongea à son tour et me pria de prendre la même position que Janice. Je lui offrais enfin ma chatte à lécher, et je pus me délecter de la sienne. J’avais écarté le tissu de son maillot pour la pénétrer de ma langue. Janice n’avait pas osé. Mais sa bouche jouait avec le clito d’Henriette à travers le maillot. Pour le plus grand plaisir de l’intéressée. Chacune eut sa dose de plaisir, surtout Janice. Deux fois, je l’ai entendue jouir avant qu’Henriette la laisse enfin respirer, jouissant enfin sous la bouche de la jeune débutante. La journée se finit dans la bonne humeur. On retourna dans l’eau et chacune put jouir à son tour sous les caresses des autres. Comme je l’ai écrit un peu plus haut, Janice retourna souvent à la boutique et on la retrouva également sur la plage, pour d’autres après-midis câlins.
Un après-midi, je retournais dans la boutique des Rombières, accompagnée de ma soumise, Odile. Juste une robe légère et rien dessous. D’abord surprise de me voir avec elle, Bernadette comprit quand je lui dis.
« Elle a besoin de sous-vêtements ».
En entendant cette phrase, convenue entre nous, Odile releva sa robe au-dessus de sa tête, exposant ses fesses et ses seins. Elle écarta les jambes pour ne pas tomber et Henriette, placée face à elle, put découvrir sa chatte récemment rasée. Ne pouvant résister, elle décida d’y goûter. Odile frémit au contact de la langue habile et se laissa porter par le plaisir. Bernadette soupesa ses seins volumineux et apprécia leur tenue.
» Plutôt bien conservée, la bourgeoise. Il y a longtemps qu’elle vient dans la boutique, sans jamais rien acheter. Cette fois, tu vas payer de ta personne ».
« Oui, Madame ».
» Mais elle parle, en plus, et elle est polie, et obéissante. Marie, viens m’équiper. Je ferme la boutique pour bien m’occuper d’elle « .
Henriette et moi avons guidé Odile dans le salon. Elle était aveugle avec sa robe sur la tête. Marie préparait le gode pour sa patronne et Henriette préparait la chatte qui allait l’accueillir. Je laissais Odile entre les doigts des deux femmes et m’installais pour assister au spectacle. Marie, habituée à mes visites, se plaça de nouveau entre mes cuisses.
» Ah non, cette fois, ce sera mon tour de t’honorer « .
Habituée à obéir, elle se tourna vers Bernadette qui lui fit signe d’accepter. Je pris un malin plaisir à la dévêtir, doucement, en la caressant partout. Une fois nue, je l’allongeais sur le canapé et j’ôtais ma robe. Pas mon string. Juste pour montrer que c’est moi qui décidais. Je plongeais alors entre ses cuisses encore adolescentes et je me régalais de son jus d’amour. Chaque fois que je la sentais prête à jouir, je stoppais mes caresses, la laissant sur sa faim. Pour recommencer aussitôt. Et la faire languir toujours. Allongée sur le sol, les cuisses grandes ouvertes, Odile se faisait défoncer par une Bernadette déchaînée. Henriette, au-dessus de sa bouche, profitait de sa langue. Puis, changement de position. Odile en levrette, Henriette au sol se faisait bouffer la chatte tandis que Bernadette martelait la chatte dégoulinante.
» Elle aime aussi se faire défoncer le cul » précisais-je à Bernadette.
Son regard s’illumina d’un coup, et le gode changea de trou. Doucement, mais sûrement, elle pénétra le fondement offert. En-dessous d’elle, Henriette jouait avec ses tétons, tirant dessus. Odile était parfaite dans sa position de soumise, acceptant tout, même les claques sur les fesses que lui administrait Bernadette. Elle aimait qu’on s’occupe d’elle et là, elle avait deux expertes qui jouaient avec son corps. Henriette lui enfourna un gode dans la chatte et la baisa ainsi violemment.
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