Ils étaient quatre hommes d’âges et d’origine différents. Ils avaient vidé les meubles et rempli des caisses de transport. On arrivait quand les gros meubles descendaient. Le buffet de cuisine, le canapé, le meuble de salon. Puis l’électroménager, combiné, cuisinière. L’armoire de la chambre avait été démontée par leurs soins, ainsi que le lit. Nous les regardions faire, en essayant de ne pas gêner le passage. Dans la cuisine, Amélie aperçut un blender, un appareil pour les jus d’orange par exemple et demanda à le garder pour notre future collocation. Jenny accepta bien sûr.
La salle de bains étant vidée, on put commencer à la nettoyer. Amélie commença par le lavabo et Jenny se pencha sur la baignoire. Je ne pus m’empêcher de glisser mes mains sous sa robe, caresser ses fesses et baisser sa culotte. Je la rangeais dans mon sac. On était serrées à trois dans cette pièce mais cela me permettait de caresser mes amies à loisir. Main droite sous la robe d’Amélie et main gauche sous celle de Jenny. Le but n’étant pas de les faire jouir, pas tout de suite, mais de leur apporter un peu de bonheur dans leur travail. Les filles m’avaient laissé la paroi de faïence à nettoyer, vu que j’étais la plus grande. Les bras levés bien haut faisaient remonter ma robe. Jenny en profita pour ôter mon string et embrasser mes fesses musclées. Un jet de produit moussant, un coup de jet puis un coup de chiffon et la faïence était propre, ainsi que toute la salle de bains. Entre temps, la chambre avait été vidée aussi. Un peu avant midi, les hommes partirent vider le camion et manger. Ils reviendraient vers 13 heures 30 pour finir. Nous sommes allées manger à la cafétéria Casino, toute proche, et j’ai payé les repas.
Retour à l’appart avant que les gars ne reviennent. Poussière dans la chambre et le couloir. Ils sont revenus à l’heure dite et ont fini de vider l’appartement, même les pots de fleurs sur le balcon. Jenny a signé leur feuille et on a pu finir de nettoyer le sol. Il faisait chaud, ce vendredi de fin Août et je conseillais à Jenny d’ôter sa robe pour ne pas la salir. Elle hésitait. Je dis la même chose à Amélie qui ôta sa robe sans sourciller et la posa en haut d’une porte. Puis elle s’approcha de Jenny et lui ôta sa robe aussi avant de la poser près de la sienne. J’en fis de même. Je retirais ensuite le soutif de Jenny, puis celui d’Amélie. Nous étions toutes les trois entièrement nues dans un appartement vide. Je me collais contre les fesses de Jenny, la tenant aux hanches, et nous regardions Amélie en train de laver le sol. Sa poitrine bougeait de manière gracieuse à chacun de ses mouvements et je voyais bien que Jenny appréciait aussi le spectacle. Ses tétons pointaient droit devant. Voyant ça, je m’amusais à les exciter encore plus avec ma paume.
Quand elle eut fini de serpiller, Amélie vint nous rejoindre et sa bouche remplaça ma paume. Jenny ronronnait de plaisir. La sonnerie de la porte nous surprit. Un peu avant 16 Heures. J’enfilais ma robe et allais ouvrir pendant que les filles remettaient leurs robes aussi. C’était le rendez-vous que nous attendions. Honorine F. était chargée par le loueur de faire l’état des lieux de l’appartement. C’est une jolie femme originaire de la Guadeloupe, nous dira-t-elle plus tard. Une de ces femmes à forte poitrine comme on en voit dans les séries télé, ou les films. Elle se présenta et Jenny en fit de même, lui précisant que nous étions, Amélie et moi, des amies venues l’aider à tout nettoyer.
Nous l’avons suivie dans tout l’appartement, Jenny toujours très près d’elle. Dans le miroir de la salle de bains, je remarquais que son regard était plus attiré par les tétons de mon amie qui pointaient sous sa robe que par les défauts qu’elle devait rechercher. Je fis signe à Amélie de se placer de l’autre côté de Honorine et de faire un peu ballotter ses seins. J’eus la confirmation de l’intérêt qu’elle portait aux poitrines qui se dandinaient sous ses yeux. Arrivées dans la chambre, je lui pris son bloc-notes des mains et posais sa main gauche sur la poitrine de Jenny qui me regarda, surprise, mais me laissa faire. Amélie prit son autre main pour la poser sur sa poitrine également. Honorine tourna la tête vers moi, incrédule, mais laissa ses mains sur les poitrines. Je me collais à elle pour lui souffler à l’oreille :
–« Vas-y, si tu en as envie, caresse-les ».
Elle en avait envie, bien sûr, et ne me fit pas répéter. Amélie ôta sa robe pour lui offrir sa poitrine et son corps nu. Honorine était aux anges. Jamais, dans ses rêves les plus fous, elle n’avait osé imaginer pareille situation. Je défis sa robe, derrière, et la remontait très lentement tandis qu’elle caressait les seins de Jenny. Amélie ôta la robe de Jenny pour lui offrir ses tétons à titiller. Je finis de relever sa robe puis la passais par-dessus sa tête. Je défis l’attache du soutien-gorge pour libérer ses mamelles. Je les malaxais, l’une après l’autre, mes deux mains ne suffisant pas pour un seul sein. Jenny et Amélie la poussèrent contre le mur et prirent chacune une tétine en bouche.
Je m’accroupis entre les deux filles et descendis sa culotte jusqu’aux chevilles. Elle releva un pied pour s’en libérer et écarta ses cuisses pour me donner accès à sa chatte. De très rares poils tous frisés et des lèvres toutes roses, déjà humides, en attente de plaisir. Je pris son clito entre mes lèvres et aussitôt, elle explosa. Un sursaut violent lui parcourut le corps. Je continuais pourtant à titiller son clito, aspirer ses lèvres et glisser ma langue dans sa fente. Jenny voulut prendre ma place et je pris la sienne. Je gobais littéralement son mamelon et l’aspirais le plus possible. Amélie s’allongea sur le dos, la tête entre les cuisses de Jenny et lui lécha la fente. Je tétais un sein puis l’autre, inlassablement.
Honorine s’abandonna une seconde fois au plaisir et se laissa glisser sur le sol. Jenny toujours entre ses cuisses, et Amélie entre celles de Jenny. J’offrais ma chatte à la bouche d’Honorine qui se fit une joie de me lécher à son tour, goulûment. Elle s’accrocha à mes fesses pour mieux me serrer contre elle. Jenny finit par jouir dans la bouche d’Amélie. Elle se retourna pour l’embrasser à pleine bouche, encore humide de ses propres secrétions, tandis que sa main s’activait entre les cuisses de la belle. Elle jouit à son tour, Amélie, en silence comme toujours. Puis finalement, ce fut à mon tour de crier mon plaisir grâce à la bouche d’Honorine. De longues minutes passèrent avant que nous ne retrouvions notre souffle, toutes, les unes comme les autres. Amélie et Jenny remirent leurs robes, sans rien dessous. Moi de même. J’aidais Honorine à mettre son soutif et ses seins dedans. Mais sa culotte, je la donnais à Jenny, dans son sac. Avec pour consigne d’aller la voir chez elle, un autre soir, pour la récupérer. Je lui notais l’adresse sur son bloc-notes.
Honorine baissa les yeux et elle promit de passer la voir, ne serait-ce que pour la remercier encore pour ce rêve qu’elle venait de vivre. Amélie et moi, nous sommes rentrées à St Malo, heureuses d’avoir participé à la rencontre de ces deux cœurs solitaires. Car oui, Honorine est bien revenue, et même plusieurs fois. Maintenant, elles pensent à prendre un appartement, ensemble.