FATIMA (01/04)

Sur les écrans de contrôle, nous avons pu suivre Fatima jusqu’à sa sortie du centre commercial. J’avais repris ma place dans le fauteuil d’Odile et elle était à mes pieds. Dans son regard, je pouvais lire tout le plaisir qu’elle avait eu à me voir soumettre cette jeune beurette. Et puis, elle savait que cela ne s’arrêterait pas là. Je lui expliquais ce que je voulais faire et comment le faire. Je lui demandais simplement quelquefois si cela était possible, comme par exemple, créer un poste de superviseuse pour Fatima afin qu’elle ne soit pas licenciée. Quand tout fut mis au point, on alla manger dans la brasserie de la galerie marchande. Dans les couloirs, vides, des bureaux, je glissais ma main sous sa jupe pour atteindre directement son joli cul. Elle se trémoussait mais appréciait la caresse.

Au moment de s’asseoir sur la banquette de la brasserie, je l’obligeais à soulever sa jupe pour être directement en contact avec le similicuir, et de toujours garder les cuisses écartées. La jupe était longue et personne ne pouvait voir, sauf si je la relevais moi-même. Elle se montra très docile, tout le long du repas. Je faisais attention quand même car je savais qu’elle était connue ici, et je ne voulais pas détruire sa réputation. Lui en faire une nouvelle ? Pourquoi pas. Mais plus tard. C’est Aurélia, la serveuse, qui est venue prendre notre commande. Elle semblait connaître Odile, mais l’avait toujours vue seule. C’est pourquoi celle-ci me présenta comme sa responsable régionale. La salle était grande, et pleine surtout. C’était le coup de feu. Nous n’étions pas trop pressées par le temps et nous le lui avons dit. Elle nous sourit en repartant servir d’autres clients plus pressés.

À l’heure convenue, nous arrivions chez Fatima. Elle avait pris une douche, ses cheveux étaient encore mouillés, mais ne s’était pas changée. Seule différence, je remarquais immédiatement le soutif qu’elle avait acheté et, je suppose que la culotte se cachait sous sa jupe. Petit appartement sympa, simple et fonctionnel.

« Je vois que tu as bien suivi les consignes ». Lui dis-je en désignant son soutif dont les bretelles étaient visibles.

 » Tu vas nous faire un striptease pour nous montrer tout ça « .

Elle alla monter le son de la radio. Une chance, c’était une chanson de Rihanna. Elle se mit à danser langoureusement en remontant son top. Elle se tourna pour l’ôter totalement. Elle le jeta près de moi, sur le canapé et continua sa danse en dégrafant sa jupe, qui rejoignit son top. Elle écarta les bras pour enfin nous présenter le bel ensemble qu’elle avait choisi.

Il était vraiment splendide et la mettait véritablement en valeur, elle qui n’en avait pas besoin. Je me levais et me collais à elle tandis qu’elle continuait sa danse. Elle se tourna, frottant ses fesses contre moi. Je pris ses seins à pleine main et commençait à les malaxer. L’attache du soutif sauta et elle nous apparut torse nu.

Elle frottait maintenant ses seins sur les miens. Je fis un signe à Odile qui se posta derrière elle et lui ôta sa jolie culotte. La musique avait changé,  » Je marche seul » de Goldman, mais Fatima continuait à danser sur le rythme de Rihanna. Je la fis se tourner face à Odile et lui murmurais.

« Déshabille-la entièrement pendant que je te parle de ton avenir ».

« Tu vas redevenir vendeuse de premier niveau, payée au SMIC, comme les nouvelles arrivantes. Tout le monde doit comprendre qu’il s’agit d’une sanction disciplinaire et tu devras le prendre comme tel ».

 » Vu ton expérience, tu superviseras les stagiaires et les nouvelles vendeuses qui intégreront notre équipe « .

 » Bien sûr, en privé ou dans les vestiaires, tu critiqueras ouvertement cette décision. Pas d’insultes, mais juste un profond mécontentement « .

 » Certaines viendront te plaindre, d’autres te proposeront de te venger en te remboursant directement dans les rayons « .

 » Nous savons, par expérience, qu’il y a des astuces pour faire disparaître des articles, pour soi personnellement, ou bien pour les revendre « .

Odile était nue maintenant et elles s’embrassaient tendrement. Ensemble, elles se déplacèrent vers le canapé où Odile s’effondra, entraînant la jeune fille avec elle, sur elle.

 » Fatima, Tourne-toi et lèche lui le clito « .

Tout près d’elle, je continuais.

« Ton rôle, désormais, est de savoir qui vole et comment, et surtout, de nous le redire. Nous serons prudentes pour ne jamais t’impliquer afin que d’autres aient confiance en toi. Mais n’oublie pas, c’est uniquement à nous que tu dois rendre des comptes, et si on apprend que tu nous as volontairement caché des vols, retour à la case départ, c’est-à-dire, la case prison pour toi. Nous avons toujours les preuves de tes méfaits « .

« Tu as bien compris ce que nous attendons de toi ? Une soumission totale et un engagement permanent ».

Elle releva la tête pour me regarder droit dans les yeux.

« Oui, Madame ».

Et elle replongea aussitôt sur la fente baveuse d’Odile.

« Bonne nouvelle pour toi. À chaque dénonciation, tu recevras une prime d’assiduité qui se cumuleront mois après mois « .

« Si tu le souhaites, ou que je te l’ordonne, tu pourras également participer à certaines punitions, certains dressages de ces voleuses et, dans ce cas aussi, tu devras jouer le rôle de soumise pour ne pas griller ta mission au sein des vendeuses ».

« Comme cela existe partout, il y a certainement des personnes que tu aimes moins, qui t’ont fait du mal, d’une manière ou d’une autre. Il te suffira de les impliquer dans un vol, une arnaque et tu te vengeras directement sur elles, en suivant mes ordres. Une belle vengeance, non ? »

Fatima hocha la tête pour me dire qu’elle avait bien compris. Mais elle ne lâcha Odile que lorsqu’elle jouit sous sa langue. Évidemment, Odile n’était pas restée inactive. Elle ne s’était pas privée de bouffer la chatte qui lui était offerte. L’avantage de sa position, sous Fatima, c’est qu’elle avait également accès à son anus et son doigt était planté bien profond. Ce qui fit jouir la jeune beurette peu de temps après. Sans vraiment comprendre ce qu’il se passait, je lui fis sucer la protubérance du gode ceinture avant de m’équiper. Puis, Odile la maintenant fermement, je commençais à la baiser brutalement, comme un homme le ferait. Un bourrin, je veux dire. Un vrai sauvage. Un mec qui sortirait de prison après dix ans sans femme. Mais elle semblait apprécier la façon brute.

Odile continuait à s’occuper de son clito pendant que je la ramonais. Sous mes yeux, la rondelle de son anus frétillait. Je rentrais facilement un doigt et commençais à l’élargir. Un second doigt vint s’ajouter sans cris ni pleurs. J’avais calmé mes à-coups pour mieux la préparer. Enfin, je sortais le gode de sa chatte pour investir son cul qui m’appelait. Doucement, mais inexorablement, je la pénétrais pendant qu’elle râlait littéralement de plaisir. J’arrivais au fond de son cul qu’elle gémissait encore. Douce sensation que de prendre appui sur ses hanches.

Je sortais à demi pour rentrer à nouveau, et comme ça, plusieurs fois. Elle hurlait quand je sortais, et gémissait quand je rentrais à nouveau, bien au chaud tout au fond de son fondement. Odile lui aspirait le clito en la baisant avec deux doigts.

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