Céline soumise (15/18)

Elle ignorait ce qu’Océane avait prévu pour la suite de l’après-midi mais elle avait vu, dans son regard, qu’elle préparait quelque chose de grandiose. Elle ne s’occupa plus que d’elle-même et entra sous la douche. Elle était évidemment la dernière, la plupart de ses camarades étaient déjà habillées et reparties. Certaines continuaient à papoter dans le vestiaire, tout en continuant de s’habiller. Une seule fille restait encore sous la douche mais elle avait presque fini et elle laissa Céline toute seule, après l’avoir remerciée pour son excellent entraînement.

Océane entra dans le vestiaire avec Émeline pour attendre le retour de Céline. Quand la dernière fille fut sortie, elle fit entrer JR avec elles. Océane poussa lentement Émeline vers les douches communes, elle ne résista presque pas. Elle savait pertinemment qu’elle allait voir son amie entièrement nue. Elle observa Céline qui se lavait, consciencieusement. Elle ne réagit pas quand Océane lui ôta son tee-shirt, puis sa jupe courte. Elle l’avait vaguement entendu dire que c’était pour ne pas mouiller ses vêtements. Le soutien-gorge suivit, puis sa culotte. Toujours sans réaction.

Céline avait parfaitement vu ses amis qui l’observaient, JR le premier semblait très intéressé. Mais quand Océane déshabilla Émeline totalement, c’est vers elle qu’il détourna toute son attention. Il est vrai que c’était une très belle jeune fille, un très joli cul qu’on avait envie de fesser. Une petite tape sur son cul, justement, pour qu’elle s’avance vers Céline qui, elle, la fixait intensément. Et, quand elle fut à portée, Céline la força à s’agenouiller devant elle. Quand je dis « forcée », c’est vraiment exagéré car la jeune fille était prête à tout pour reconquérir son amie. JR venait lui aussi de quitter son tee-shirt, qu’il avait laissé près de la porte et s’apprêtait à ôter son pantalon également. Océane l’encouragea à continuer et il déposa son pantalon avec son tee-shirt. Sans objection de la part d’Océane, il ôta également son boxer avant de se rapprocher des deux filles.

Pour Océane, comme pour Céline, c’était la première fois qu’elles voyaient un homme entièrement nu, mis à part dans des films, ou des vidéos. Mais là, c’était en vrai. En live. Émeline était aussi dans le même cas, enfin presque, mais ça, elle ne pouvait pas en parler. Pas encore. Une fois près des filles, il aida Émeline à se relever, à lui faire face, avant de se coller à elle. Il l’avait poussée contre la paroi en faïence des douches et elle avait passé les bras autour de son cou. Il a simplement posé ses mains sous ses fesses pour la soulever légèrement et elle a compris qu’elle devait croiser les jambes dans le dos du garçon pour bien rester en place.

La queue bien dure du jeune homme frottait désormais le long de sa fente. Céline avait passé sa main entre les cuisses de la jeune fille et massait cette grosse queue tandis que le garçon allait et venait, d’avant en arrière. Elle avait la possibilité, si elle le souhaitait, de guider le gland vers l’entrée de cette grotte encore inviolée. C’était un véritable sentiment de puissance, mais également une terrible responsabilité. Émeline semblait consentante mais avait-elle le choix ? Et elle-même, avait-elle le droit de décider pour l’autre, malgré son envie de vengeance ? Ne risquait-elle pas de regretter, plus tard, cette action irrémédiable ? Et d’ailleurs, la question ne se posait même pas puisque le jeune homme n’avait pas prévu de préservatif. Comment aurait-il pu prévoir le déroulement de cette journée ?

Le résultat de cette double sollicitation ne se fit pas attendre. Le jeune homme éjacula abondamment sur le bras de Céline. Océane appuya sur le bouton de la douche pour que les trois intervenants puissent se laver de nouveau. Ce fut surtout JR qui se fit une joie de caresser les deux poitrines comme leurs fesses rebondies. Il se retrouva bien vite de nouveau en érection et c’est Émeline, toute seule, qui comprit que c’était désormais son rôle de sucer la grosse queue du jeune homme. Océane s’occupa donc de Céline sous les yeux exorbités de JR qui assistait, pour la première fois, à un léchage en règle d’une femme, par une autre femme.

Ils étaient bien évidemment les derniers présents dans le gymnase. Océane eut une nouvelle idée en arrivant au centre-ville. Une nouvelle épreuve pour Émeline, et JR. Entrer dans la pharmacie pour demander une boite de préservatifs. Océane précisa que cela pourrait servir très bientôt, en fixant Émeline et le jeune garçon. Il retrouva sa timidité maladive, il était incapable de faire une telle demande. Émeline par contre, ne se démonta pas une seconde. Elle entra dans l’officine, suivie par un JR blafard. Elle observa les préparatrices en pharmacie présente et se dirigea hardiment vers une jeune femme.

« Bonjour. Je voudrais une boite de préservatifs, s’il vous plait. C’est pour mon copain et moi ». Dit-elle en prenant la main de JR. Elle ajouta, bien plus bas.

« Par contre, il faudrait une très grande taille, si vous avez ».

Avec un clin d’œil complice vers la jeune femme. Ils se trouvaient tous les trois dans un angle de la pièce, presque invisibles des autres clients. La jeune femme s’approcha d’eux et, sans prévenir, posa sa main droite directement sur la braguette de JR. Celui-ci réagit immédiatement et se mit à bander très fort. Plus elle le massait, plus il grossissait.

« Oui, je vois cela. Il va falloir effectuer des essais. Si vous êtes d’accord, évidemment ? »

Le jeune homme était prêt à tout pour qu’elle continue sa caresse. Océane et Céline avaient tout entendu. Un signe de tête et Émeline accepta que la jeune femme entraine JR vers une petite pièce. Seule elle et lui furent autorisés à entrer. Ils en sortirent près de quinze minutes plus tard. La femme était, semble-t-il, très heureuse. JR, on n’en même parle pas. Il avait de nouveau ce sourire béat comme lorsqu’il avait apprécié sa première fellation. Il raconta plus tard aux filles que la jeune femme lui avait littéralement sauté dessus, une fois son pantalon baissé, et qu’elle s’était empalée entièrement sur sa queue en pleine érection. Vu qu’il ne bougeait pas, c’est elle-même qui allait et venait sur le monstre.

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