Helen (03/04)

Je lui demandais un peu de tolérance envers son ami. Il semblait avoir des problèmes de couple. Avant de sortir courir, je lui annonçais de but en blanc que j’étais lesbienne, et sa fille également. Elle voulait enfin faire son coming out. Je lui demandais de jouer le jeu et de sembler surpris, mais ne pas critiquer et surtout accepter sa décision. Elle aimait les femmes, moi en l’occurrence, mais elle aimait aussi les hommes. Son choix n’est donc pas définitif. Puis, j’allais courir, le laissant réfléchir. En revenant de mon jogging, je montais réveiller Amélie pour lui dire que ses parents étaient préparés. Elle se mit en condition. Dès le début du repas, elle se leva pour faire son annonce. Silence. Francis fronça les sourcils mais il ne dit pas un mot. Corinne baissait les yeux, confuse. Elle avait eu des rapports avec moi et elle n’osait s’avouer qu’elle avait hâte de recommencer. Charlène se leva à son tour pour dire qu’elle-même aimait aussi les femmes, et Lucie, en particulier. Les deux sœurs se tenaient la main. Les parents accusèrent le choc, surtout pour la plus jeune de leurs filles. Je rajoutais, pour les calmer un peu, que rarement un choix est définitif. Ils savent pertinemment qu’ils se doivent de soutenir leurs enfants, toujours. Le repas continua dans la bonne humeur et Amélie et moi reprirent notre train ensemble. Elle se sentait vraiment libérée d’un poids. Charlène sûrement aussi. Deux semaines passèrent avant que nous ne retournions chez elle.

J’avais prévenu Helen que je passerais la voir le samedi matin. Trop pressée de la revoir, j’arrivais chez elle à 9 heures. J’attendis un moment avant qu’elle n’ouvre. Je l’avais réveillée. Encore dans un demi-sommeil, elle ouvrit la porte en robe de chambre, pas bien fermée d’ailleurs. Une fois entrée dans la maison, je me jetais sur sa bouche entrouverte. Elle accepta mon baiser. Mieux, elle me le rendit, au centuple. Mes mains parcouraient son corps, sa gorge, entraient dans son décolleté. Je défis sa ceinture et le vêtement glissa sur le sol. Elle se retrouvait en nuisette, presque transparente. Désirable comme jamais. Mes mains descendirent sur ses fesses, sous le vêtement léger, pour caresser ses globes voluptueux. Le string qu’elle portait ne me cachait rien de son anatomie. Doucement, j’entrepris de relever puis d’ôter sa nuisette. Juste en string, elle était. Je la pris sous les cuisses en la soulevant, son pubis collé au mien. Je sentais la chaleur de sa chatte à travers mes leggins. Sa poitrine enfin à portée de mes lèvres. Je pris un téton en bouche et le tétais amoureusement. Ainsi, je la portais jusqu’au canapé pour l’allonger, les jambes en dehors et les fesses sur l’accoudoir. Je baissais aussi son string. La voilà nue, entièrement nue. Je m’accroupis entre ses cuisses ouvertes pour retrouver le goût de sa chatte. Merveilleuse Helen qui s’abandonne totalement. Son premier orgasme la fait se tendre comme un arc. J’avale tout son miel et puis ma langue s’égare vers son cul. Je relève ses jambes à la verticale pour mieux bouffer son anus. Elle dit : « Non, Non, Non » mais ses mains écartent ses deux globes pour m’en livrer l’accès. Elle jouit une seconde fois, bien plus fort que la première fois. Pourtant, je n’arrête pas, continuant à aspirer son jus d’amour, titillant son clito. Elle s’envole encore une fois au septième ciel et, cette fois ci, je la laisse se remettre doucement. Je la prends sous les bras pour l’allonger complètement sur le canapé, la tête légèrement relevée. Je suis à genou près d’elle. Je caresse son ventre, ses seins. Les tétons toujours dressés. Elle réagit par des petits gémissements. Elle halète comme un jeune chiot qui aurait trop couru. Ses yeux demandent grâce mais son corps souhaite encore vibrer, se tordre de plaisir. Sa main gauche caresse ma cuisse, remonte le long de mes hanches jusqu’aux épaules. Puis passe derrière ma nuque pour attirer ma bouche sur ses seins. Elle en veut encore, et moi, je suis insatiable. Je plonge sur cette poitrine offerte et la tète à tout va. Un téton, puis l’autre. Inlassablement. Je sens l’orgasme arriver. Une vraie déferlante. Ma tête posée sur sa poitrine, je regarde son visage qui s’est illuminé. Ma main droite caresse son ventre avant de descendre vers sa fente humide. Son clito tout érigé ne semblait attendre que ça. L’expression de son visage semblait vouloir me dire « Stop » et pourtant ses jambes s’écartaient d’elles-mêmes pour accueillir mes doigts inquisiteurs. Lasse de résister, elle s’abandonne totalement. Ses yeux semblent me dire :

« Vas-y, donne-moi du plaisir encore et toujours. Emmène-moi une fois de plus au paradis « .

Puis, ils se sont fermés pour profiter complètement de ce moment magique, quand on sait que la jouissance va venir, inéluctablement, pour vous emporter vers de lointains pays. Doucement, je la vis se soulever, entraînée dans ce tourbillon. Je ne lâchais rien, continuant inlassablement de tourner autour de son bouton d’amour. Elle jouit une nouvelle fois, très fort. Je plongeais à nouveau entre ses cuisses pour récupérer le fruit de mon labeur. Elle finit par se calmer enfin. Elle était si belle, ainsi offerte. J’enlevais mon top et m’allongeais sur elle, entre ses cuisses. Chatte contre chatte. J’entamais de doux mouvements d’avant en arrière, lentement. Je me branlais contre son pubis et elle commençait à réagir. D’elle-même, elle me serre entre ses jambes, m’emprisonnant et là, elle se mit à se déhancher, se frottant elle-même contre moi, de plus en plus vite, de plus en plus fort. C’était une vraie furie qui était en train de me transporter avec elle dans un paradis artificiel. Sa chatte était trempée, je sentais ses lèvres intimes à travers le tissu des leggins. Il était trempé, lui aussi, tout comme moi. J’étais sa prisonnière, dans l’étau de ses jambes. Elle s’agrippa à mes seins, triturant mes tétons, les faisant durcir sous sa paume. J’étais emportée. Je ne savais plus où j’étais mais je me laissais envahir par ce bien-être. J’étais aux anges. Helen jouit une nouvelle fois dans un cri et perdit connaissance.

Je surveillais sa respiration pour me rassurer. Petit à petit, elle reprenait des couleurs. Je profitais de cette accalmie pour apprécier les dégâts. Mes leggins étaient trempés entre mes cuisses et je l’enlevais. Mon string, pareil. Je me retrouvais nue, comme elle. Je ramassais les vêtements pour les mettre dans la salle de bains. J’en profitais pour laver mes leggins et les mettre à sécher. Je retournais voir Helen. Elle respirait le bonheur mais elle semblait incapable de bouger. Je la pris dans mes bras pour la porter à l’étage, dans la chambre d’amis, qu’elle m’indiqua. Je la posais sur le lit et elle m’attira sur elle. Sa bouche s’approcha de mes seins pour en gober un téton. J’adore quand on s’occupe de ma poitrine. Et elle le faisait si bien. Elle me retourna pour se placer au-dessus de moi, continuant ses tendres baisers. Puis doucement se dirigea vers mon ventre, ma fente dégoulinante. Elle se plaça en 69 pour me donner accès à sa fente tout aussi humide que la mienne. Et l’on fit durer le plaisir, arrêtant quand on sentait l’autre prête à exploser, puis on reprenait. On resta ainsi plus d’une heure, jusqu’à l’extase finale.

3 réflexions sur “Helen (03/04)

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